Le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, a lancé hier un processus de réconciliation très attendu, 40 ans après les massacres dits de «Gukurahundi», au cours desquels quelque 20 000 civils de la minorité ndébélé ont été tués dans l’ouest du pays.
Les relations entre la Russie et l’Otan se sont profondément dégradées depuis le début de l’offensive russe en 2022 sur l’Ukraine, pays soutenu par les membres de l’Alliance atlantique. Les pays occidentaux ont adopté de sévères sanctions économiques contre la Russie, qui s’est rapprochée de la Chine.
Un proche d’un célèbre imam au Mali a été arrêté vendredi par la junte au pouvoir, ont indiqué un membre de son entourage et une organisation proche de lui, a rapporté hier l’AFP.
Le Président nouvellement élu a déclaré que les deux parties pourraient explorer «de nombreux domaines de coopération», si les Européens «mettaient de côté la suprématie morale qu’ils s’attribuent et les crises créées de toutes pièces qui ont miné nos relations pendant si longtemps».
Ankara a haussé le ton hier dans un litige qui l’oppose à la France sur le statut des écoles françaises en Turquie, dont les élèves turcs risquent d’être privés d’accès au grand dam des parents à six semaines de la rentrée, rapporte l’AFP, citant des sources officielles.
L’envoyé personnel pour le Soudan du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a invité des délégations de l’armée régulière et des FSR à des pourparlers à Genève centrés sur l’aide humanitaire et la protection des civils dans ce pays du nord-est de l’Afrique.
Des combats ont opposé hier des combattants d’un groupe armé local, allié de l’armée congolaise, aux rebelles du M23 dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), où une «trêve humanitaire» était supposée tenir jusqu’au 19 juillet rapporte l’AFP, citant des sources concordantes.
Le patron du groupe Bourbon, spécialiste de l’assistance maritime au secteur pétrolier offshore, a été condamné hier par la justice française à deux ans de prison avec sursis et trois ans d’interdiction de gérer une entreprise pour corruption d’agents du fisc dans trois pays africains, rapporte l’AFP.
Les alliés ont annoncé le transfert imminent de F-16 de fabrication américaine, de nouveaux systèmes de défense antiaérienne, un engagement financier d’au moins 40 milliards d’euros en aide militaire, et le caractère «irréversible» de la trajectoire d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Le sommet des 75 ans d’existence de l’OTAN a pris fin jeudi à Washington avec de nouveaux engagements en faveur de l’Ukraine.
La Chine a annoncé hier mener des exercices militaires conjoints avec la Russie au sud de son territoire, après un sommet de l’OTAN lors duquel Tokyo a mis en garde contre la menace croissante que représente le resserrement des relations sino-russes, rapporte l’AFP.
Les douanes sénégalaises ont annoncé jeudi avoir saisi une quantité de 365,4 kg de cocaïne dans le sud-est du pays.
Jamais un sommet n’a eu une importance aussi cruciale comme celui-ci du fait de la guerre en Ukraine, même si l’OTAN n’est pas officiellement en guerre contre la Russie.
L’Ukraine attend de recevoir une invitation formelle à rejoindre l’Alliance atlantique, mais plusieurs pays, dont les Etats-Unis, s’y opposent. La déclaration reprend sur ce point ce qui avait déjà été décidé lors du sommet de Vilnius l’an dernier, selon ces diplomates.
Le chef d’un des mouvements citoyens les plus actifs contre la junte au pouvoir en Guinée ainsi qu’un autre responsable ont été arrêtés mardi soir, a annoncé leur organisation sur les réseaux sociaux, relayée hier par l’AFP.
Sans fournir de détails, le président américain, Joe Biden, a promis qu'il annoncerait, avec ses alliés de l'OTAN, «de nouvelles mesures pour renforcer la défense antiaérienne de l'Ukraine afin d'aider à protéger ses villes et ses civils des frappes russes».
Le Premier ministre indien, Narendra Modi, a dit hier au Kremlin à son «ami» Vladimir Poutine que continuer de bombarder l'Ukraine n'allait pas «résoudre les problèmes», plaidant pour «un chemin vers la paix par le dialogue», selon des propos recueillis par l’AFP.
Le Mali, le Niger et le Burkina Faso reprochent à la Cédéao les sanctions imposées face aux putschs et aujourd’hui largement levées ; ils l’accusent d’être manipulée par la France et de ne pas les soutenir contre le djihadisme.
Des vents violents et des pluies torrentielles ont endommagé des bâtiments et laissé des milliers de personnes sans abri en Afrique du Sud, où d'autres intempéries sont prévues, ont annoncé hier les autorités et les services météorologiques.