Le tribunal de Sidi M’hamed (cour d’Alger) a condamné, hier, Bilal Tahkout, fils de l’homme d’affaires Mahieddine Tahkout, poursuivi dans l’affaire Cima Motors, à une peine de 5 ans de prison ferme assortie d’une amende de 500 000 DA.
Le ministère de tutelle est en train de mener des contacts avec toutes les parties concernées pour trouver un compromis et reprendre l’activité en suspens.
Après une grève qui aura duré une quinzaine de jours à l’échelle nationale, les greffiers exerçant au niveau des tribunaux et des cours de justice ont repris leurs activités hier, a-t-on appris auprès de sources judiciaires.
Le procès de l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khelil, de l'ancien P-dg du groupe Sonatrach, Mohamed Meziane et de son adjoint, Abdelhafidh Feghouli, prévu, lundi 17 janvier, au pôle pénal économique et financier près le tribunal de Sidi M'hamed (Alger), a été reporté au 24 janvier prochain, en raison de la grève des avocats.
Le président de la Fédération des boulangers considère que cette augmentation des prix est «plus que légitime», notamment parce que les négociations tenues avec la tutelle depuis 2012 n’ont pas abouti.
La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a annoncé, hier, l’arrestation de trois personnes dans l’enquête sur l’escroquerie dont ont été victimes des étudiants désirant s’inscrire dans des universités en Russie, Turquie et Ukraine.
Réuni hier, le bureau politique du Parti des travailleurs (PT) a mis en garde contre une éventuelle explosion sociale. Le parti de Louisa Hanoune demande au gouvernement d’avoir «le courage» et la «décence» d’écouter les cris de souffrance et de colère des Algériens.
Les syndicats représentent une force de suggestion, d'accompagnement et de participation pour résoudre tous les problèmes et difficultés qui se posent dans le secteur de l'éducation nationale.»
La décision de la direction du FFS de prendre part aux sénatoriales du 5 février prochain suscite la colère des membres de conseil national et des cadres du parti qui dénoncent «une entreprise de normalisation de cette formation politique de l’opposition».
L’Agence nationale pour l’amélioration et le développement du logement (AADL) et le Crédit populaire d’Algérie (CPA) ont signé, hier à Alger, une convention pour le financement d’un nouveau quota de 15 000 logements dans le cadre du programme location-vente (AADL).
Depuis la propagation de la Covid-19, partir en voyage est devenu compliqué. Les mesures adoptées visent la lutte contre la propagation du virus en Algérie comme à l’étranger. Chaque pays instaure ainsi de nouvelles règles d’entrée et de sortie de ses frontières et notre pays n’échappe pas à la règle.
Cette commission «entamera son travail à partir du 16 janvier 2022 en se rendant dans les wilayas frontalières». Il s’agit notamment de Tébessa, Souk Ahras, El Tarf, Naâma, Tlemcen, Béchar, Adrar, Bordj Badji Mokhtar, Tamanrasset, In Guezzam, Ouargla, El Oued, Illizi et Djanet.
L’ambassadeur d’Algérie à Paris, Mohamed-Antar Daoud, qui a repris récemment ses fonctions dans la capitale française, a été reçu à l’Elysée et au Quai d’Orsay, a indiqué, hier, un communiqué de l’ambassade d’Algérie en France.
L'alimentation en eau potable sera suspendue dans six communes du centre de la wilaya d'Alger, à partir du lundi 17 janvier, pour une durée de 24 heures, en raison de travaux de maintenance, a indiqué dimanche la Société des eaux et de l'assainissement d'Alger (Seaal) dans un communiqué.
Un incendie s’est déclaré, samedi 15 janvier à 20h45, dans un dépôt de matériel de la police à Bachdjarah (Alger).
L’Ambassadeur d'Algérie à Paris, Mohamed-Antar Daoud, qui a repris récemment ses fonctions dans la capitale française, a été reçu à l'Elysée et au Quai d’Orsay, indique, samedi 15 janvier, un communiqué de l'Ambassade d'Algérie en France.
Une convention a été signée, samedi 15 janvier à Alger, entre l'Agence de l'amélioration et du développement du logement (AADL) et le Crédit populaire d'Algérie (CPA) pour le financement de la réalisation de 15.000 logements de type location-vente.
Le Delta représente 67% des variants circulants, tandis qu’au 30 décembre dernier, il représentait 80%, contre 33% pour le variant Omicron qui ne représentait que 10% à la même date, selon l’IPA.
Les élections locales viennent de clore un processus électoral mené à pas de charge par les autorités sur fond de défiance populaire. Comblant ainsi le vide institutionnel né des événements déclenchés par le mouvement populaire, le hirak, un certain 22 février 2019, pour le rejet du 5e mandat de l’ex-président déchu, Abdelaziz Bouteflika, et pour la démocratie. Mais aussi paradoxal que cela puisse paraître, c’est au moment où le pays subit le plus d’attaques sur le front externe que les autorités semblent avoir choisi l’option du verrouillage au plan interne. Mohand Amokrane Cherifi est ancien ministre et expert auprès des Nations unies. Dans cet entretien, il insiste sur la nécessité de consolider le front interne face à tout ennemi potentiel, et ce, en poursuivant nécessairement, selon ses dires, la démocratisation effective de l’Etat pour assurer la confiance des citoyens à l’égard de leurs institutions.
L’Union nationale des Ordres des avocats (UNOA) avait précédemment décidé, en fin de semaine dernière, d’engager une grève illimitée lors de l’assemblée générale extraordinaire tenue le 8 janvier à Constantine.