Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune préside, dimanche 2 janvier, une réunion du Conseil des ministres
Vingt-trois (23) terroristes ont été neutralisés et 222 éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés lors d'opérations menées par les forces de l'Armée nationale populaire (ANP) durant l'année 2021, indique samedi 1er janvier un bilan opérationnel de l'ANP.
Internet est devenu une nécessité de la vie au vu de la dépendance à laquelle sont soumis de nombreux services administratifs, économiques, culturels et de divertissement, et l’Algérie n’échappe pas au mouvement mondial pour adopter cette technologie révolutionnaire qui a fait du monde un petit village.
L’ancienne ministre de la Culture Khalida Toumi a été arrêtée à la suite d’une lettre anonyme, pour des soupçons de «dilapidation de l’argent public», «abus de fonction» et «octroi d’indus avantages à autrui». L’instruction dans son affaire est terminée et le procès de Mme Toumi devrait être programmé pour «bientôt», annonce son avocat, Boudjemaa Ghechir.
Les trois peines, allant de 4 à 5 ans de réclusion criminelle, retenues contre l’ancien wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, ont été allégées, pour être portées à des condamnations d’un an ferme, de 3 ans, dont 2 ans avec sursis, et 3 ans ferme. Les décisions ont été prononcées hier par la cour de Tipasa, dans le cadre de trois affaires liées aux biens immobiliers et fonciers accordés à l’ex-patron de la police, Abdelghani Hamel, et aux deux hommes d’affaires, Ali Haddad et Mahieddine Tahkout, pour lesquelles le procureur général avait requis une peine de 12 ans de prison ferme.
L’ancien député FLN Ahmed Belkacemi a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle pour avoir «collecté et fourni des informations de nature à porter atteinte aux intérêts économiques et sécuritaires du pays», à l’ambassade d’Espagne. Lors de son procès en appel devant la cour d’Alger, il s’est présenté comme victime de la «vengeance» de son épouse qui l’avait dénoncé et du «clan Bouteflika» qui lui reprochait son «ralliement», en 2004, au candidat à la présidentielle Ali Benflis.
L’historien Daho Djerbal vient de publier aux éditions Chihab Lakhdar Bentobbal. Mémoires de l’intérieur. A l’évidence, il s’agit là d’un véritable événement éditorial, surtout quand on sait que cela fait 35 ans que l’on attend la sortie de ces Mémoires de l’ancien membre du CCE et ancien ministre de l’Intérieur du GPRA. Dans cet entretien, Daho Djerbal revient sur les conditions de sa rencontre avec Bentobbal et la genèse de ce travail de mémoire exceptionnel à partir du témoignage de «Si Abdellah» et le long entretien qui les a réunis pendant cinq ans. Il revient également sur le cheminement militant du successeur de Zighout Youcef à la tête de la Wilaya II en insistant sur l’importance de comprendre le terreau social et culturel et l’environnement politique dans lequel il a évolué et comment, à travers lui, le projet indépendantiste a pris racine dans le Nord Constantinois et les autres régions avant d’embraser les maquis de l’insurrection anticoloniale.