L’association Mémoire de la Wilaya IV historique n’a plus de siège. La bâtisse ayant abrité le siège de la Fondation, présidée par l’ancien commandant de la Wilaya IV, Youcef Khatib (Si Hassan), a été vendue par son acquéreur, qui prétend l’avoir achetée en 1963, selon des indiscrétions.
Après deux reports successifs, le procès de l’ancienne ministre de l’Industrie, Djamila Tamazirt, en tant que PDG du groupe agro-alimentaire Eriad, s’est tenu jeudi dernier devant pôle pénal financier près le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger.
En réaction aux déclarations du ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, relatives au départ de 1200 médecins spécialistes algériens à l’étranger, lauréats de l’examen d’aptitude, en vue d’exercer en France, le collectif des professeurs en sciences médicales estime que « la réponse» du ministre de la Santé au journaliste est «ahurissante et laisse perplexes les professionnels de santé».
La situation des détenus d’opinion ayant entamé, depuis plus de 15 jours, une grève de la faim inquiète. Les avocats de la défense donnent l’alerte et dénoncent le silence des autorités judiciaires depuis le début de cette action et le transfert de certains d’entre eux vers les prisons de Bouira et de Berrouaghia.
Le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations envisage de prendre des mesures «rigoureuses» à l’encontre des producteurs de pomme de terre qui refusent de procéder au ramassage de leurs récoltes, et ce, pour augmenter les prix du produit sur le marché, a indiqué un responsable du ministère.
Plus d’une trentaine d’anciens ministres, hauts cadres de l’Etat et officiers de l’armée poursuivis ou condamnés par la justice pour corruption, trouvent refuge dans des pays où l’extradition est souvent le fruit de négociations politiques.
Plus d’une trentaine d’anciens ministres, hauts cadres de l’Etat et officiers de l’armée poursuivis ou condamnés par la justice pour corruption, trouvent refuge dans des pays où l’extradition est souvent le fruit de négociations politiques. Aussi bien pour Chakib Khelil, Farid Bedjaoui ou encore Réda Hamech, Abdessalem Bouchouareb, Omar Habour ou le général Ghali Beleksir, le choix des pays d’asile n’est pas fortuit. Il répond à des garanties souvent assurées, par ces Etats aux criminels au col blanc.
La cour d’Alger a confirmé, hier, le verdict de première instance prononcé à l’encontre de l’ancienne ministre de la Poste et des Télécommunications, Houda Imane Feraoun, soit une peine de trois ans de prison ferme, assortie d’une amende d’un million de dinars pour son implication dans une affaire de corruption alors qu’elle était ministre du secteur.
La chambre pénale près la cour de justice de Boumerdès a reporté, hier, au 2 mars 2022, le procès en appel de l’ancien Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, de son fils, d’anciens walis ainsi que d’ex-cadres de la wilaya de Tipasa, poursuivis pour plusieurs chefs d’accusation, dont «détournement de foncier agricole» et «abus de fonction».
Les membres du PAD ont exprimé leurs préoccupations devant la réaction des autorités à la grève de la faim de dizaines de détenus politiques et d’opinion dans plusieurs prisons du pays.
Le collectif des praticiens de chirurgie générale et digestive de l’hôpital Ibn Rochd, relevant du CHU de Annaba, sont en colère contre leur direction générale. Dans une lettre adressée avant-hier au directeur général de ce CHU, Naceur Nacer, plusieurs médecins, spécialistes en chirurgie générale, vasculaire et digestive, ont annoncé une grève générale à partir du 20 février courant.
La chambre d’accusation près la cour d’Alger confirme le placement sous contrôle judiciaire du président du RCD, Mohcine Belabbas. C’est ce qu’a annoncé, hier, l’avocate et cadre du parti, Fetta Sadat, sur sa page Facebook.
L’ONG Amnesty International appelle les autorités algériennes à cesser «leur répression implacable contre toutes formes de dissidence». «Le droit international relatif aux droits humains et la Constitution algérienne garantissent les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique pour les partis politiques. Les autorités doivent cesser immédiatement leurs attaques contre les libertés fondamentales en Algérie», lance l’organisation dans un communiqué rendu public, hier, sous le titre de «Algérie : dans le cadre de la répression, les partis politiques se retrouvent dans le collimateur des autorités».
Des boulangers n’ont pas attendu une quelconque décision du gouvernement pour vendre la baguette de pain à 15 DA, soit le double du prix fixé par la loi.
Conçu pour remédier aux déserts médicaux dans les régions isolées du pays, le service civil continue de nourrir la grogne des médecins praticiens de santé publique, lesquels réclament son abrogation. Les autorités, quant à elles, reconnaissaient les limites de ce dispositif et promettaient une révision de la loi, qui contraint les jeunes médecins, à la fin des six années de spécialisation, à exercer entre un et quatre ans dans des régions reculées du pays.
Un mouvement de protestation a été observé par tous les médecins de l’hôpital de Timimoun suite à l’agression, à la violence et à l’injure contre un médecin de garde du service des urgences par l’agent de sécurité de l’établissement, selon la page Fecebook «Timimoun news» du 6 février. Le site a accompagné cette information par des images prises sur le lieu de la protestation.
Des tentatives d'introduction de grandes quantités de drogues à travers les frontières avec le Maroc, s'élevant à plus de 7 quintaux, ont été déjouées par des détachements combinés de l'Armée nationale populaire (ANP) au cours de la période du 2 au 8 février, indique mercredi 9 février un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
La Chambre pénale près la Cour de justice de Boumerdes a reporté, mercredi 9 février, au 2 mars 2022 le procès en appel de l'ancien Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, de son fils et d'anciens walis ainsi que d'ex-cadres de la wilaya de Tipasa, poursuivis pour plusieurs chefs d'accusation dont "détournement de fonciers agricoles" et "abus de fonctions".
La Cour d’Alger a confirmé, mercredi 9 février, le verdict de première instance prononcé à l’encontre de l’ancienne ministre de la Poste et des Télécommunications, Houda Imane Feraoun, soit une peine de trois (03) ans de prison ferme, assortie d’une amende d'un (01) million de dinars pour son implication dans une affaire de corruption alors qu’elle était ministre du secteur.
Le manque de rigueur de la part de l’administration et l’inconscience regrettable des résidents ont provoqué une hausse des cas de contamination à la Covid-19.