La présence de la femme dans la politique, notamment dans les hautes sphères de l’Etat et les institutions élues, connaît une régression significative dans notre pays.
Le procès des trois anciens ministres des Travaux publics, Amar Ghoul, Abdelkader Kadi et Abdelkader Ouali, également ancien wali de Aïn Defla, ainsi que le patron de l’ETRHB, Ali Haddad, lié au marché de réalisation, en 2008-2009, de la pénétrante de Bourached, reliant Aïn Defla à l’autoroute Est-Ouest, s’est poursuivi très tard dans la nuit de lundi, à hier mardi, avec la fin des auditions vers 2h30 et le réquisitoire, alors qu’hier, et jusqu’en fin de journée, les plaidoiries étaient toujours en cours.
Le procès de Mohamed Abdellah, qui devait se tenir tenir au tribunal militaire de Blida pour son affaire de désertion des rangs de la gendarmerie, a été renvoyé lundi à une «date ultérieure» à la demande de ses avocats.
L’ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh, et son inspecteur général ont écopé d’une peine respective de 3 et 2 ans de prison ferme assortie d’une amende de 100 000 DA, prononcée lundi par le pôle financier près le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, pour «avoir donné des instructions» aux magistrats de la cour de Mostaganem afin qu’ils annulent les 16 mandats d’arrêt et d’amener lancés en 2016 contre l’homme d’affaires Karim Noah Kouninef, dans le cadre d’affaires liées à des infractions douanières et bancaires.
Confrontées à l’obligation de se conformer à la loi sur les partis, plusieurs formations politiques ont prévu de tenir leurs congrès nationaux en 2022. L’année en cours sera donc, par excellence, celle des congrès pour au moins cinq partis, de l’opposition ou du pouvoir, qui sont contraints de s’adapter aux exigences de la loi, au risque de subir des sanctions. Les partis concernés sont le FFS, le RCD, le PT, Talaie El Hourriyet et le FLN.
Le Conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapeste) a décidé de suspendre sa grève cyclique de deux jours et de changer de stratégie de protestation dans l’espoir de faire aboutir ses revendications socioprofessionnelles, selon son porte-parole Messaoud Boudiba. «Le Cnapeste a décidé de suspendre sa grève cyclique, en réponse à la base qui réclamait un changement de stratégie en matière de lutte syndicale.
Le haut commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet, exprime sa préoccupation sur «les restrictions des libertés en Algérie». Intervenant à l’occasion de la 49e session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, où elle a lu le rapport annuel sur la situation dans le monde, elle appelle les autorités algériennes à «changer de cap».
Le verdict du procès en appel de Fethi Ghares, coordinateur national du Mouvement démocratique et social (MDS), sera prononcé le 22 mars prochain.
Le Général de Corps d’Armée, Saïd Chanegriha, chef d’Etat-Major de l'Armée nationale populaire, a présidé, mardi 8 mars, au nom du Président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, la cérémonie d'installation officielle du général-major Hamid Fekane dans ses fonctions de Directeur de l'Ecole supérieure de Guerre, indique le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.
Des pluies parfois sous forme d'averses orageuses s'abattront sur plusieurs wilayas du Centre du pays jusqu'à mardi soir, selon un bulletin météorologique spécial (BMS) émis par l'Office national de la météorologie.
Vingt-trois (23) personnes ont trouvé la mort et 1237 autres ont été blessées dans 1050 accidents de la circulation survenus en une semaine dans plusieurs wilayas du pays, indique mardi 8 mars un communiqué de la Protection civile.
Le gouverneur de la Banque d’Algérie, Rostom Fadli, a indiqué que ce sont les banques qui sont réticentes à donner des crédits. Le secrétaire du Conseil de la monnaie et du crédit (CMC), Salah Eddine Taleb, a soutenu que la Banque centrale n’a pas envoyé de missives aux banques pour leur demander d’exiger des garanties.
Nous avons perdu Keltoum Rekhila, Fatima Rahmani, Tinhinan Laceb, Hafida Mansouri, Kenza Sadate, Rahima et sa fille de 10 ans, Linda Belharet, Dehbia Cherif, Meissem Bouazzizi, Maria Ben Madani, pour ne citer que les crimes les plus récents, sans oublier Amira Merabet, Chaïma, Amal et tant d’autres assassinées par des proches.
Le président Abdelmadjid Tebboune a affirmé, hier, que la Constitution de 2020 a consolidé les acquis réalisés par la femme algérienne, qui a prouvé sa compétence dans l’occupation des responsabilités et des hautes fonctions au sein de l’Etat.
Derrière l’anonymat d’internet, des centaines de commentaires justifient ou glorifient le discours haineux. Toutes les plateformes sont concernées : Facebook, Youtube ou encore Twitter.
Les victimes d’actes sanglants et immondes deviennent ainsi les coupables de leur propre mort.
Dans le rapport de la Banque mondiale sur «Les femmes, l’entreprise et le droit 2022», l’Algérie réalise un score moyen de 57,5 sur 100. Ce score est supérieur à la moyenne régionale observée au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (50), mais il est inférieur par rapport aux résultats de certains pays de la région.
Une peine de 3 ans de prison ferme assortie d'une amende d'un million de dinars a été infligée à l'ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh par le pole financier prés le tribunal de Sidi M’hamed à Alger.
Malgré la multitude de mesures prises, que ce soit pour agir directement sur les prix, en déstockant des quantités non négligeables ou en luttant contre la supposée spéculation, en procédant à la saisie de certaines quantités stockées, parallèlement à l’adoption d’une loi anti-spéculation, le marché reste instable et les prix maintiennent toujours leur hausse.
De plus en plus de pays ont décidé la réouverture totale des frontières pour permettre de voyager sans restriction. Cette décision a été prise après avoir constaté un net recul du nombre des cas Covid-19 et ayant pris conscience que le transport aérien sera un élément vital de la reprise économique mondiale après la crise sanitaire.