Dans sa note de conjoncture sur les tendances monétaires et financières pour les neuf premiers mois de l’année écoulée, la Banque d’Algérie fait état d’une baisse de 16,4% du niveau de la liquidité bancaire qui est passé à 1644,1 milliards de dinars en septembre 2023 contre 1966,4 mds de dinars à la fin décembre 2022.
L’Organisation de la coopération et le développement économique (OCDE) a relevé ses prévisions de croissance mondiale pour l’année 2024, mais alerte sur le risque que constituent les fortes tensions géopolitiques à court terme pour l’activité et l’inflation.
Le transport aérien a été l’un des secteurs les plus touchés par la crise sanitaire de la Covid-19. La reprise n’a pas été évidente avec l’application des mesures de contrôle sanitaire mais avec leur annulation, le secteur affiche des niveaux de croissance appréciables.
La prolongation de la guerre contre la population de Ghaza et la persistance de la situation tendue en mer Rouge risquent d’impacter lourdement l’économie des pays de la région, indique un nouveau rapport du Fonds monétaire international sur les perspectives économiques dans la région MENA-Moyen-Orient et Afrique du Nord.
Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a assuré, à partir de Hassi R’mel (wilaya de Laghouat), que l’Algérie «est un fournisseur d’énergie sûr et fiable pour l’Europe».
Le transport maritime connaît de graves perturbations depuis le début du conflit russo-ukrainien avec ses retombées sur le trafic en Mer Noire, et actuellement avec les attaques houthies en mer Rouge et sans oublier les conséquences climatiques dévastatrices sur le niveau de l’eau dans le canal de Panama.
L’indice CyclOpe sur les prix des matières premières prévoit une nouvelle baisse des cours pour l’année 2024. Après un niveau de recul des prix mondiaux de 14% enregistré en 2023, l’indice s’attend à une poursuite de la tendance baissière cette année, à l’exception de l’uranium, du cuivre, de l’aluminium, du cacao, du blé et du tourteau de soja.
L’Agence internationale de l’énergie emboîte le pas au groupe de producteurs de pétrole de l’OPEP et rejoint ses prévisions de hausse de la demande de pétrole en 2024. Même si les projections de l’OPEP sont de loin plus optimistes avec un niveau de 2,25 millions de barils par jour, l’AIE prévoit une augmentation de 1,24 million de barils par jour pour cette année.
Cette banque servira, selon Finabi, à «accompagner le financement stratégique de la sphère économique réelle dans l’industrie, l’agriculture et le tourisme» en justifiant que «l’Algérie a besoin» de l’apport du groupe pour s’affranchir de la dépendance aux hydrocarbures.
Dans l’attente de la publication à la fin du mois de ses prévisions sur la situation économique mondiale, le Fonds monétaire international anticipe d’ores et déjà un atterrissage en douceur de l’économie mondiale en 2024, après la démonstration de résilience en 2023, mais des risques subsistent.
L’année 2024 verra-t-elle l’entrée sur le marché algérien du leader pétrolier américain ExxonMobil ? C’est en tout cas ce que suggère la rencontre qui a eu lieu le 9 janvier 2024 entre le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, et une délégation de la compagnie américaine conduite par son vice-président, John Ardill, chargé de la recherche et de la prospection.
L’Organisation des Nations unies prévoit un ralentissement de la croissance économique mondiale pour l’année 2024. Dans un rapport sur la «Situation et perspectives de l’économie mondiale», publié par le département des Affaires économiques et sociales de l’ONU, le taux de croissance, qui a été de 2,7% en 2023, passera à 2,4% en 2024, toujours bien inférieur au niveau d’avant la pandémie de Covid-19 (3%).
Le phénomène climatique El Nino fera encore des ravages durant le premier semestre de l’année prochaine, dans certaines parties du monde, mettant en péril l’approvisionnement en riz, blé, huile de palme et autres produits agricoles.
Les transferts de fonds des diasporas vers leurs pays d’origine ont augmenté en 2023 de 3,8%, indique la dernière note d’information de la Banque mondiale (BM) sur les migrations et le développement.
La compagnie britannique Harbour Energy a accepté l’offre d’acquisition des actifs pétroliers et gaziers de Wintershall Dea et ce, dans le cadre d’un accord d’une valeur de 11,2 milliards de dollars en actions et en espèces avec les copropriétaires BASF et LetterOne.
Tout en se félicitant du nouveau cadre législatif encadrant l’activité de l’investissement en Algérie, les invités panélistes de la 3e édition de l’AIC (Algerian Investment Conférence) ont appelé à des réformes pour rendre le marché algérien plus concurrentiel.
Après l’euphorie de l’adoption de l’accord de la COP28, place maintenant à la réalité du terrain. La transition vers les énergies renouvelables nécessite un coût financier colossal, que les pays en développement ou en voie de développement n’ont pas. Le Brésil a d’ailleurs exhorté, hier, les pays développés à mener la transition énergétique et apporter les moyens nécessaires aux nations en voie de développement.
L’ensemble des sous-groupes de l’alimentation a contribué largement à la hausse des prix des produits alimentaires.
Plus de 3000 parties prenantes de 130 pays se penchent depuis le 4 décembre à Genève sur le thème comment «façonner l’avenir de l’économie numérique» dans le cadre de la semaine du commerce électronique 2023.
L’Assemblée populaire nationale a donné son quitus, hier, au texte de loi de finances pour l’exercice 2024. Laaziz Faid, ministre des Finances, s’est félicité de l’adoption à la majorité de son texte, en justifiant que la hausse des dépenses publiques prévues pour l’année prochaine permettra «de prendre en charge une série d’engagements pris par les pouvoirs publics» dont ceux portant amélioration du niveau des salaires, renforcement de l’investissement public, lutte contre la fraude et l’évasion fiscales, l’élargissement de l’assiette fiscale et la préservation du pouvoir d’achat des citoyens, ainsi que l’élargissement et le développement des projets de numérisation.