Née le 30 juin 1936, à Cherchell, l’écrivaine Assia Djebar, de son vrai nom, Fatma Zohra Imalhayene, a connu un parcours dense et varié qui la place parmi les pionnières dans le domaine de l’écriture en langue française à s’imposer sur la scène internationale en décrochant un fauteuil à l’Académie française, le 16 juin 2005, ce qui constitue pour elle le Graal et la récompense suprême.
Dans le monde des saveurs, Chef Lamine, issu d’une famille riche d’une longue tradition culinaire, a bien mérité son nom de Chef, un titre gratifié de tous les honneurs auprès des goleadores du Santiago Bernabeu de Madrid, un roi chez le Real.
Face au regain de tension et à l’insécurité permanente de la population civile palestinienne, surtout en cette période, soumise à une escalade de la violence et des menaces récurrentes de l’occupant israélien, la question palestinienne est plus que jamais au cœur de l’actualité et suscite des inquiétudes.
Issue d’une noble famille de Aïn El Hammam, les Toudert, Zahra Fetta est une brave femme âgée aujourd’hui de 87 ans. C’est l’épouse du moudjahid Khider Mohamed, l’un des leaders de la Révolution, assassiné le 3 janvier 1967, à Madrid. Opposant, il paie son refus de la dictature sur fond de dissensions politiques et de manœuvres occultes autour du trésor du FLN. Zahra, qui est la belle-sœur de Hocine Aït Ahmed, a bien voulu répondre à nos questions.
La question palestinienne est une blessure ouverte, un drame toujours d'actualité, malgré les vœux pieux et les résolutions onusiennes, gelées et non appliquées, depuis plus d'un demi-siècle.
Dans les années 1960, un journaliste français, accompagné de son collaborateur, Patrice Lumumba, devenu icône de la décolonisation et Premier ministre congolais, rapportait les propos du chantre de la libération de l'Afrique, le Ghanéen progressiste Kwame Nkruma, qui les recevait sur la terrasse de son antre romantique, battu par les vents de l'océan Atlantique.
Hollywood avait inventé l’industrie du rêve. Aujourd’hui, les médias inventent l’industrie du mensonge pour imposer une normalisation des idées et des comportements. Joel Labruyère
Quelques jours avant sa mort en juillet 2019, Tahar Gaïd, moudjahid et cofondateur de l'UGTA, m'avait fait l'honneur de m'entretenir sur le mouvement syndical en Algérie, particulièrement des équipes qui se sont relayées à la tête du syndicat national lors de ces dernières années.
Nassim Akrour, vous vous souvenez de cet avant-centre racé de l’équipe nationale, qui se distinguait autant par sa conduite exemplaire que par son talent et son sens du but. Actuellement, il a ajouté une autre facette à son riche palmarès.
La mémoire collective a bien retenu, il y a quelques semaines, l'attitude choquante du wali d'Oran, en interpellant un marchand de rue clandestin d'une manière peu élégante, condescendante et arrogante, qui lui a valu une volée de bois vert de la part des internautes, qui avaient pris le parti du jeune contrevenant, enfreignant certes la loi, mais qui n'avait pas besoin d'être humilié de la sorte, comme l'a massivement contesté la Toile.
Le 20 janvier 2018, il nous quittait , après une longue maladie, non sans avoir à l’article de la mort terminé son dernier livre Parcours d’un militant où il a résumé son itinéraire, parsemé d’actions et d’attitudes qui l’honorent. Militant pour la cause nationale, journaliste, académicien, écrivain, historien, professeur... Autant de casquettes qui dévoilent un homme d’envergure au service de son pays . Jusqu’à son dernier souffle.
Dans la dépréciation de l'école algérienne, l'enseignement, plus que la famille, est souvent mis à l'index, fustigé, s'il n'est pas carrément objet de critiques acerbes, focalisant les «ratés», que la société a eu à endurer depuis de nombreuses années.
De son balcon sur le boulevard du Front de mer au cœur de Bab El Oued, Mahiedine laisse son esprit voyager au-delà des horizons.
On sait qu'un flou, un scepticisme, bien visible, habitent la modernité occidentale, qui semble se chercher des alibis, des boucs émissaires, voire des ennemis.
Blessures de la colonisation», «guerre mémorielle», «repentance française», «traumatismes historiques», telles sont les questions qui reviennent souvent et occupent l’actualité politique des deux côtés de la rive méditerranéenne depuis quelques années.
Il y a 12 ans, le 13 janvier 2010, nous quittait l’artiste peintre Ali Ali-Khodja. En ce triste souvenir, je rends hommage à ce grand humaniste à travers le portrait que je lui ai consacré dans El Watan du 14 avril 2005.
Il déteste la complaisance, n’aime pas le bricolage et se revendique comme un auteur libre, qui se délecte de la saveur des mots qu’il a choisis et ciselés, pour les faire danser, depuis 1956 dans une quarantaine d’ouvrages qui reflètent son parcours.
Il y a 7 ans, le 3 janvier 2016, nous quittait, notre ami, l’écrivain Tahar Benaicha, à l’âge de 90 ans, après une vie bien remplie. Mon hommage à Tahar, mon ami et confrère, à travers ce portrait que je lui ai consacré dans les colonnes d’El Watan , le 26 juin 2008 Allah yerahmou.
Que penser de la situation créée par des centaines de partisans de l’ex-président brésilien d’extrême-droite, Jair Bolsonaro, qui ont pris d’assaut dimanche soir les édifices abritant le Congès, le palais présidentiel et la Cour suprême à Brasilia ?
C’est toujours agréable de converser avec Ahmed Taleb-Ibrahimi, tant l’homme renferme diverses facettes et reste, à 91 ans, prolifique en livrant des messages aussi variés qu’instructifs.