A l'invitation du Premier ministre saoudien, Mohammed Ben Salmane, un sommet réunissant plusieurs dirigeants arabes s’est tenu hier à Riyad, en Arabie Saoudite, pour discuter d’un plan alternatif à celui proposé par Donald Trump qui dit vouloir transformer Ghaza en «Riviera du Moyen-Orient» après en avoir expulsé les Palestiniens. Outre «MBS», le prince héritier saoudien, le président égyptien Abel Fattah Al Sissi, le roi de Jordanie Abdallah II et l’émir du Qatar Tamim Ben Hamad Al Thani ont pris part à ce conclave, de même que d’autres représentants des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG).
Les discussions ont porté sur la façon de contribuer à «reconstruire la Syrie en tant qu’Etat unifié, indépendant et sûr pour tous ses citoyens, où le terrorisme n’a pas sa place, où sa souveraineté ne sera pas violée et où son intégrité territoriale ne sera pas attaquée, d’où que ce soit», ont déclaré les Etats participants.
La perspective d’un dialogue national, censé être le point de départ d’une refonte institutionnelle, suscite autant d’espoirs que d’inquiétudes.
Attaf est arrivé samedi à Riyad pour prendre part à la réunion spéciale du Forum économique mondial; qui se tient depuis hier dans la capitale saoudienne et qui se poursuit aujourd’hui.
Quatre athlètes algériens prendront part aux Championnats du monde d’haltérophilie, prévus du 4 au 17 septembre à Ryad (Arabie saoudite), une étape cruciale, en vue d’une qualification pour les Jeux olympiques de Paris-2024 et qui devra drainer quelque 894 athlètes (469 hommes et 425 dames).
Le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, s’est entretenu hier avec ses homologues saoudien et émirati d’une diversification des approvisionnements des Européens en énergie afin de réduire leur dépendance vis-à-vis de la Russie.