Les Philippines et les États-Unis ont signé un accord militaire lundi à Manille pour renforcer leur coopération face à l’influence croissante de la Chine dans la région du Pacifique.
Ce «super typhon», avec des vents pouvant atteindre 215 km/h, sera la sixième tempête majeure à frapper le pays en un mois.
La déclaration du président philippin Ferdinand Marcos selon laquelle les Philippines n'ont pas l'intention d'ouvrir davantage de bases militaires aux États-Unis reflète une position ferme du gouvernement philippin sur la question de la souveraineté et des relations avec les puissances étrangères.
Lundi soir (heure française métropolitaine), un séisme d'une magnitude de 6,7 a eu lieu dans l'océan Pacifique au large des côtes des Philippines, selon l'annonce de l'Institut américain de géophysique (USGS).
Un bateau philippin et un navire des garde-côtes chinois sont entrés en collision hier dans les eaux des îles Spratleys, les deux pays se rejetant la responsabilité de l’incident, au lendemain d’une autre confrontation en mer de Chine méridionale disputée, rapporte l’AFP.
Dans un communiqué, l'Unité opérationnelle nationale des Philippines occidentales a accusé les navires des garde-côtes chinois d'avoir utilisé des canons à eau pour entraver les bateaux du gouvernement philippin qui approvisionnaient des bateaux de pêche.
Les Philippines ont signalé dimanche la présence d'une «nuée» de plus de 135 bateaux chinois déployés autour du récif qu'elles revendiquent, qualifiant cette concentration massive de «préoccupante».
La secousse, qui a été suivie samedi de quatre répliques puissantes, a fait au moins deux morts et quatre blessés.
Le 17 novembre, un séisme d'une magnitude de 6,7 a frappé le sud des Philippines, selon l'Institut américain d'études géologiques (USGS), sans déclencher d'alerte au tsunami.
La défenseure philippine des droits humains, Leila de Lima, farouche opposante à l'ex-président Duterte (2016-2022), a été libérée sous caution lundi 13 novembre après plus de six ans de détention, a confirmé son avocat, Filibon Tacardon, dans un message à la presse.
Debout face au micro, le comédien Phil Cruz fait mine de brandir une amulette pour triompher du diable, en enregistrant le dernier épisode d’un des rares feuilletons radiophoniques qui subsistent aux Philippines et font le bonheur des auditeurs.
Les Philippines et la Chine continuent à échanger les accusations quant à la responsabilité des deux collisions survenues dimanche près de l’atoll Second Thomas Shoal, dans les Spratleys, où la marine philippine est stationnée et Pékin déploie des navires pour faire valoir ses revendications territoriales.
Au niveau d’un terminus de tuk-tuks très fréquenté de Manille, le chauffeur Edgar Soriano glisse une pièce de monnaie dans une machine et entonne sa chanson préférée en plein milieu de la journée. Il n’est jamais trop tôt - ni trop tard - pour un karaoké aux Philippines. Des villes aux campagnes, on trouve des machines partout, dans les bars bon marché des villages reculés comme dans les boîtes à karaoké modernes.
Les garde-côtes philippins se sont engagés hier à «faire tout ce qui est en leur pouvoir» pour supprimer toute barrière flottante installée par la Chine sur un récif de la mer de Chine méridionale que se disputent Pékin et Manille, rapporte l’AFP.
Un tremblement de terre d’une magnitude de 5,7 a secoué hier matin la province philippine de Batanes (nord), a annoncé l’Institut philippin de vulcanologie et de sismologie.
Après les tirs des garde-côtes chinois au canon à eau sur des navires philippins samedi, dans la mer de Chine méridionale contestée, Manille a convoqué hier l’ambassadeur de Chine. «Notre secrétaire aux Affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur Huang aujourd’hui (lundi, ndlr) et lui a remis une note verbale comprenant des photos et des vidéos sur ce qui s’est passé, et nous attendons leur réponse», a expliqué le président philippin Ferdinand Marcos Jr. à la presse, selon des propos recueillis par l’AFP.
Le président philippin Ferdinand Marcos Jr avait 28 ans lorsqu’il s’est enfui aux Etats-Unis à bord d’un avion militaire américain, après qu’une révolution a chassé son père dictateur du pouvoir et envoyé sa famille en exil. Près de 40 ans plus tard, c’est à bord de son avion présidentiel que M. Marcos s’est rendu à Washington, où il a été accueilli sur un tapis rouge et salué par le président américain Joe Biden comme le meilleur des partenaires.
Le président philippin Ferdinand Marcos est attendu hier aux Etats-Unis, rapporte l’AFP. Cette visite intervient dans un contexte de fortes tensions avec la Chine.
La Chine a accusé, hier, les Philippines d’avoir «délibérément» voulu provoquer un incident dans les eaux disputées de la mer de Chine méridionale, rapporte l’AFP.
Les Philippines et les Etats-Unis ont débuté hier les plus grandes manœuvres militaires conjointes de leur histoire, rapportent des médias.