CARE revient sur l’objectif du gouvernement d’atteindre 30 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures d’ici 2030.
Le commerce mondial des marchandises devrait reprendre progressivement cette année après avoir connu une contraction en 2023, qui résultait des effets persistants des prix élevés de l’énergie et de l’inflation, a indiqué l’Organisation mondiale du commerce (OMC) dans un nouveau rapport publié ce 10 avril.
La treizième Conférence ministérielle (CM13) de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) s’est ouverte hier à Abou Dhabi (Emirats arabes unis) pour se poursuivre jusqu’au 29 février.
Les économies en développement doivent saisir les opportunités du commerce numérique et à relever les défis qui y sont liés, a indiqué un récent rapport que l’OMC vient de publier en coopération avec le Fonds monétaire international (FMI), l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED) et la Banque mondiale.
Le directeur de la division du commerce et de l’environnement de l’OMC, Aik Hoe Lim, a estimé, lors des travaux de la COP28, que «le commerce mondial de l’hydrogène vert et de ses dérivés sera essentiel pour relier les lieux où les coûts de production sont faibles et ceux où la demande est forte».
Après une forte baisse connue pendant des mois, le volume mondial des marchandises se redresse, selon le dernier Baromètre trimestriel du commerce des marchandises de l’OMC publié hier.
Selon les explications fournies par l’OMC, le commerce mondial et la production ont brusquement ralenti au quatrième trimestre de 2022, «car les effets d’une inflation persistante et d’une politique monétaire plus stricte ont été ressentis aux Etats-Unis, dans l’Union européenne et ailleurs, tandis que les difficultés du marché immobilier en Chine empêchaient une reprise plus forte après la Covid-19».
Le nouvel impératif de l'OMC est de faire en sorte que le commerce reste ancré dans des règles mutuellement convenues tout en favorisant une croissance durable, inclusive et équitable.
Alors que la Conférence ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) se tient du 12 au 15 juin 2022 à Genève (Suisse), le Cercle d’action et de réflexion pour l’entreprise (CARE) estime que la présence de l’Algérie en tant qu’observateur et non en tant que membre à part entière de cette enceinte multilatérale «nuit gravement à ses intérêts économiques et à son image internationale».
Marqués par les coûteuses erreurs dans la lutte contre la pandémie de Covid-19, les ministres de l’OMC pourraient lever les brevets sur les vaccins anti-Covid et enlever les obstacles à la circulation des produits médicaux cruciaux.
La première réunion ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) depuis plus de quatre ans s’est ouverte hier sur fond de risque de crise alimentaire.