#l’année économique 2024

Marché pétrolier : En dents de scie au gré des événements géopolitiques

29/12/2024

Alors que l’année 2024 a été marquée par un marché pétrolier particulièrement nerveux face aux évènements géopolitiques, l’année 2025 aura également son lot d’incertitudes avec notamment l’investiture de Donald Trump à la tête de l’administration américaine et sa promesse d’augmenter la production américaine.

Gros industriels : Fin des subventions de l’énergie

29/12/2024

Face à la hausse de la consommation interne d’énergie, les pouvoirs publics ont pris la décision de mettre fin aux subventions généralisées des prix du gaz naturel pour les gros consommateurs industriels.

Le secteur minier prend son envol

29/12/2024

Selon toute vraisemblance, le plan d’action (2020-2024) initié par les pouvoirs publics en vue de redynamiser le secteur de la mine et lui permettre de faire fructifier, significativement, la croissance nationale commence à porter ses fruits.

Numérisation dans le secteur des finances : Des progrès significatifs

29/12/2024

L’Algérie a fait des progrès significatifs dans la numérisation du secteur des finances en 2024, faisant dire au ministre de tutelle Laaziz Faid, que l’année 2025 sera celle du «renforcement du processus de numérisation par excellence».

Redynamisation du marché boursier

29/12/2024

2024 aura été une année particulière pour le secteur des finances en Algérie, principalement pour le marché financier. 2024 a marqué une nouvelle phase dans la dynamisation du marché boursier national. Un marché qui cherche à s’affirmer comme un levier alternatif de financement de l’économie.

Energies renouvelables : Des projets ambitieux

29/12/2024

L’Algérie a lancé plusieurs projets ambitieux dans le domaine des énergies renouvelables en 2024. Des projets qui montrent l’engagement de l’Algérie à diversifier ses sources d’énergie et à réduire sa dépendance aux énergies fossiles.

Cap sur les stations de dessalement

29/12/2024

L’accès à l’eau, dans un territoire en proie à la sécheresse, n’est pas toujours une sinécure. Fort heureusement, en plus des barrages, qui «mettent à gauche» le débit pluvial (si tant est qu’il pleuve, ce qui n’est pas toujours le cas) pour pallier au manque d’eau, rien de mieux que de mettre à profit les 1200 km de côtes algériennes.


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