C’est lors d’un Conseil des ministres, tenu il y a quelques semaines, que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a donné des instructions pour obliger toutes les communes du pays à utiliser l’énergie solaire dans l’éclairage public.
Tenu du 7 au 9 février 2022 à l’université de Ouargla, le premier Séminaire international sur la synthèse des matériaux et la surveillance environnementale (ISMSEM 2022) s’est voulu un espace d’échanges scientifiques que les dernières avancées technologiques et applications des nanostructures et nanomatériaux synthétisés et de partage d’expériences des résultats de recherche, des tendances et préoccupations les plus récentes ainsi que les solutions adoptées dans les domaines de la synthèse, de la caractérisation et du traitement des matériaux. Il a également offert une opportunité aux entrepreneurs et investisseurs pour découvrir et discuter autour de thèmes de recherche liés à leurs activités industrielles. Parmi les jeunes chercheurs en génie des procédés chargés de la coordination des travaux, le Dr Fethi Achi. Entretien.
Comment convaincre les responsables à la tête des APC à opter pour l’utilisation des énergies renouvelables ? D’autant que le choix en question réduira considérablement la facture d’électricité des collectivités locales, notamment au niveau des écoles, de l’éclairage public, considéré comme budgétivore.
Une superficie totale de 400 hectares, localisée dans les zones désertiques de la wilaya de Ghardaïa, a été retenue pour la réalisation de deux stations de production d’énergie solaire d’une capacité globale de 200 mégawatts, a-t-on appris jeudi de la direction de l’énergie de la wilaya.