Amnesty International a souligné hier que les auteurs des crimes perpétrés sous le pouvoir de Bachar Al Assad devaient être jugés lors de «procès équitables» excluant la peine de mort, saluant une «opportunité historique» de rompre la spirale de violence.
Dans son dernier rapport, Amnesty International a affirmé sur la base d’une enquête documenté qu’Israël «a commis et continue de commettre un génocide contre la population de Ghaza». Le rapport a été précédé par la publication par des médias américain et britannique, de nombreux aveux glaçants de soldats israéliens sur les crimes de guerre commis à Ghaza.
Amnesty International a documenté plusieurs cas où des soldats israéliens ont ouvert le feu sur des Palestiniens sans défense en Cisjordanie occupée, dont un adolescent de 15 ans. Amnesty dénonce également les attaques répétées contre des équipes de secouristes et des ambulances pour les empêcher d’évacuer les blessés, les laissant se vider de leur sang de façon inhumaine.
Le nombre des victimes de l’agression israélienne en cours contre la Bande de Ghaza dépasse de loin les chiffres officiels communiqués par le ministère palestinien de la Santé.
A travers le cas de deux opérations militaires exécutées par l’armée sioniste, en octobre dernier, à Deir El Balah, qui ont fait 43 morts au total, et que l’ONG a minutieusement documentées, Amnesty International accuse ouvertement Israël de «crimes de guerre» à Ghaza. L’organisation basée à Londres évoque également la complicité des Etats-Unis dans ces crimes.
Dans son rapport annuel sur les droits de l’homme dans le monde, Amnesty International dénonce le deux poids deux mesures dans la condamnation des violations des droits humains. Le rapport 2022-2023 de l’ONG, publié le 28 mars dernier, met en évidence l’incapacité de la communauté internationale à s’unir autour d’une application systématique des valeurs universelles de protection des droits fondamentaux.
Comme un cheveu sur la soupe occidentale, le rapport 2022 d’Amnesty International sur la situation des droits humains dans le monde épingle l’hypocrisie de l’Occident et la politique des deux poids deux mesures qui marque honteusement la planète globalisée sous l’hégémonie des Etats-Unis et de l’Union européenne.
Amnesty international vient de publier son rapport annuel portant sur l’année 2021. Le constat est sombre, la plupart des violations sont liées à l’impact dévastateur de la crise sanitaire sur les droits humains et aux effets de conflits armées qui ont accru les discriminations et les inégalités dans le monde.
L’ONG Amnesty International appelle les autorités algériennes à cesser «leur répression implacable contre toutes formes de dissidence». «Le droit international relatif aux droits humains et la Constitution algérienne garantissent les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique pour les partis politiques. Les autorités doivent cesser immédiatement leurs attaques contre les libertés fondamentales en Algérie», lance l’organisation dans un communiqué rendu public, hier, sous le titre de «Algérie : dans le cadre de la répression, les partis politiques se retrouvent dans le collimateur des autorités».
L’organisation Amnesty International a qualifié hier «d’apartheid» la politique d’Israël envers les Palestiniens, traités comme un «groupe racial inférieur», rapporte l’AFP. «Les politiques cruelles d’Israël de ségrégation, de dépossession et d’exclusion à travers ces territoires tiennent clairement de l’apartheid», a déclaré la secrétaire générale d’Amnesty,
Amnesty International publiera mardi 1er février son rapport qualifiant "d'apartheid" la politique de l'entité sioniste envers les Palestiniens en dépit des appels de cette dernière à ne pas le diffuser, a indiqué lundi la secrétaire générale de l'ONG, Agnès Callamard.