Dans son rapport annuel sur les droits de l’homme dans le monde, Amnesty International dénonce le deux poids deux mesures dans la condamnation des violations des droits humains. Le rapport 2022-2023 de l’ONG, publié le 28 mars dernier, met en évidence l’incapacité de la communauté internationale à s’unir autour d’une application systématique des valeurs universelles de protection des droits fondamentaux.
Comme un cheveu sur la soupe occidentale, le rapport 2022 d’Amnesty International sur la situation des droits humains dans le monde épingle l’hypocrisie de l’Occident et la politique des deux poids deux mesures qui marque honteusement la planète globalisée sous l’hégémonie des Etats-Unis et de l’Union européenne.
Amnesty international vient de publier son rapport annuel portant sur l’année 2021. Le constat est sombre, la plupart des violations sont liées à l’impact dévastateur de la crise sanitaire sur les droits humains et aux effets de conflits armées qui ont accru les discriminations et les inégalités dans le monde.
L’ONG Amnesty International appelle les autorités algériennes à cesser «leur répression implacable contre toutes formes de dissidence». «Le droit international relatif aux droits humains et la Constitution algérienne garantissent les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique pour les partis politiques. Les autorités doivent cesser immédiatement leurs attaques contre les libertés fondamentales en Algérie», lance l’organisation dans un communiqué rendu public, hier, sous le titre de «Algérie : dans le cadre de la répression, les partis politiques se retrouvent dans le collimateur des autorités».
L’organisation Amnesty International a qualifié hier «d’apartheid» la politique d’Israël envers les Palestiniens, traités comme un «groupe racial inférieur», rapporte l’AFP. «Les politiques cruelles d’Israël de ségrégation, de dépossession et d’exclusion à travers ces territoires tiennent clairement de l’apartheid», a déclaré la secrétaire générale d’Amnesty,
Amnesty International publiera mardi 1er février son rapport qualifiant "d'apartheid" la politique de l'entité sioniste envers les Palestiniens en dépit des appels de cette dernière à ne pas le diffuser, a indiqué lundi la secrétaire générale de l'ONG, Agnès Callamard.