Le stratagème repose sur un chantage qui tire profit de la situation de détresse humanitaire dans laquelle sont enfoncés près de deux millions de civils et de l’absence de toute autorité pouvant assurer un minimum d’ordre public, pour forcer la main aux notables de Ghaza.
Les projets de l’occupant israélien visant à établir une administration politique sous des appellations civiles pour gérer Ghaza «échoueront face à la fermeté du peuple palestinien».
En dépit de l’avancée de la numérisation de l’administration et notamment des services de l’état civil et des documents biométriques, des dysfonctionnements ont été constatés par le ministère de l’Intérieur des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire. Une situation jugée inadmissible qu'il «faudra remédier en urgence».
Entamée en 2016, l’opération de délocalisation des administrations publiques à la périphérie de la ville de Chlef se poursuit toujours au niveau des sites de Haï Meddahi, Haï Cherifi Kaddour et Haï Bensouna.
Dans la wilaya de Boumerdès, des centaines d’opérateurs attendent avec impatience la levée des entraves ayant retardé la concrétisation de leurs projets. Plus de 250 projets parmi les 607 prévus dans les 32 zones d’activités depuis plusieurs années, des décennies pour certains, tardent à voir le jour.