L’Union européenne (UE) envisagerait de prolonger le plafonnement d’urgence des prix du gaz, appliqués depuis le début de l’année, dans un contexte de ce qui est appelé en Occident «le conflit au Moyen-Orient» et le récent «sabotage» d’un gazoduc dans la mer Baltique.
Alors que les bombes pleuvent sur Ghaza, l’Union européenne choisit de «réexaminer» son aide financière à la Palestine. Bruxelles a multiplié les déclarations contradictoires sur cette question, annonçant d’abord une «suspension» de cette aide, puis plaidant – dans une déclaration avec le Conseil de coopération du Golfe (CCG) – pour «un soutien financier durable» aux Palestiniens. L’UE s’achemine vers une suspension des aides au développement, l’aide au développement réservée aux Territoires palestiniens, en maintenant néanmoins l’aide humanitaire. Une démarche déjà entamée par l’Allemagne et le Danemark.
Le vice-président de la Commission européenne, Margaritis Schinas, s’est dit samedi à Thessalonique, deuxième ville grecque, en faveur d’une «amélioration» du pacte entre l’Union européenne (UE) et la Turquie, conclut en 2016 pour parer à l’époque à la crise migratoire.
La Tunisie refuse de prendre les modestes fonds dégagés par l’Union européenne (UE) pour l’assister dans sa lutte contre les flux migratoires. «La Tunisie qui accepte la coopération, n’accepte pas tout ce qui s’apparente à de la charité ou à de la faveur», a déclaré, lundi, le président tunisien, Kaïs Saïed, assurant que la Tunisie et son peuple «ne veulent pas de la sympathie et ne l’acceptent pas quand elle est sans respect». «Par conséquence, la Tunisie refuse ce qui a été annoncé ces derniers jours par l’UE», a conclu M. Saïed.
Cette réunion s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Mémorandum d’entente (MoU) sur le partenariat stratégique entre l’Algérie et l’UE dans le domaine de l’énergie, signé à Alger en 2013, qui vise à développer et renforcer les relations énergétiques, tout en respectant les intérêts des deux parties.
L’Europe intensifie sa politique d’enfermement face à la persistance du phénomène migratoire, à l’intérieur de l’espace Schengen, mais aussi face à la grande bande maritime de la Méditerranée.
La Commission européenne a annoncé vendredi 22 septembre que les fonds convenus dans l'accord de juillet avec la Tunisie, visant à réduire les arrivées de migrants depuis ce pays, seraient débloqués "dans les prochains jours".
Malgré le risque de provoquer des tensions avec le gouvernement chinois, l'Union européenne a confirmé sa volonté de poursuivre son enquête sur les subventions chinoises aux voitures électriques, accusant des prix "artificiellement bas".
La Commission européenne a révisé à la baisse ses prévisions de croissance économique pour la zone euro en 2023 et 2024, en raison notamment des difficultés de l'Allemagne, dont l'industrie est en difficulté.
Déplorant le «blocage» que connaissent les relations de partenariat avec l’UE, le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, espère voir la Hongrie «jouer un rôle afin de surmonter cette situation qui porte atteinte aux intérêts des deux parties».
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, a reçu hier un appel téléphonique du Haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, Josep Borrell, lors duquel ils ont évoqué les développements de la situation au Niger. L’entretien téléphonique a porté, selon un communiqué du ministère, sur «les développements inquiétants en République du Niger».
Le protocole d’accord signé par la Tunisie avec l’Union européenne contient, cependant, des termes très vagues, ce qui traduit les difficultés des négociations entre les deux parties depuis le 11 juin dernier, lorsque la présidente de la Commission européenne Mme Von Der Leyne a fait un premier déplacement à Tunis avec deux chefs de gouvernement, l’Italienne Georgia Meloni et le Hollandais Mark Rutte.
Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a annoncé la signature d'un accord entre l'Union européenne et la Tunisie pour un «partenariat stratégique complet».
La Commission européenne veut imposer aux Vingt-Sept de réduire de 30% d'ici à 2030 les déchets alimentaires des commerces, restaurants et ménages dans l'Union européenne (UE) par rapport à 2020, selon une proposition législative présentée mercredi.
Une véritable bataille a eu lieu au sein du parlement italien, entre Giorgia Meloni et ses opposants, autour de la Tunisie et du régime de Kaïs Saïed. A l’opposition qui l’accuse de soutenir une dictature naissante en Tunisie, la cheftaine du gouvernement réplique qu’il «vaudrait mieux ne pas parler de dictatures de la part de mouvances ayant, par le passé, régulièrement soutenu Cuba et d’autres régimes communistes, sans oublier le fait que j’étais en Tunisie avec la présidente Von Der Leyne et mon collègue hollandais Mark Rutte».
La Commission européenne a confirmé, mardi, qu'il n'y aurait pas de négociations pour renouveler l'accord de pêche UE/Maroc, étendu illégalement au Sahara occidental occupé, avant une décision de la Cour de justice européenne (CJUE) dont le verdict est attendu en fin d'année, a rapporté l'agence Europa Press.
C’est dans le cadre des objectifs du programme «Facilité aux priorités du partenariat UE-Algérie», et plus précisément dans le contexte de la priorité commune de partenariat axée sur l'énergie, l'environnement et le développement durable, qu’un projet de jumelage a officiellement été lancé hier à Alger entre l'Algérie et l'Union européenne (UE).
Le président du Conseil européen, Charles Michel, est attendu vendredi au Kirghizstan pour un sommet Union européenne-Asie centrale, le deuxième en moins d’un an, ont annoncé hier Bruxelles et des pays de cette région, rapporte l’AFP.
Twitter envisage de quitter le code de bonnes pratiques de l’UE contre la désinformation en ligne, un accord regroupant les principales plateformes sur une base volontaire, ont indiqué jeudi des sources européennes. Selon ces sources, le réseau social aux mains d’Elon Musk a informé la Commission européenne de ses intentions mais n’a pas encore notifié formellement la décision.
La Pologne a confirmé, hier, être prête à entraîner des pilotes ukrainiens sur des avions de combat américains F-16, après le feu vert des Etats-Unis en ce sens.