L’apport en hydrocarbures de l’offshore permettrait d’augmenter le potentiel énergétique de l’Algérie et par la même le niveau de production et d’exportation.
La compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach prévoit de réaliser son premier forage de pétrole en offshore en 2023, a indiqué dimanche 9 janvier le vice-président responsable de la stratégie, de la planification et de l'économie à Sonatrach, Rachid Zerdani.
Le Président-directeur général (P-dg) de Sonatrach, Toufik Hakkar a indiqué que les recettes de la société avaient augmenté de 70% en 2021, comparativement à l'année 2020, et ce, grâce à l'augmentation de ses exportations en hydrocarbures.
Sonatrach compte mettre en service ce janvier le 4e turbocompresseur du gazoduc MEDGAZ qui assure le transport du gaz algérien vers l'Espagne et le Portugal, a annoncé le P-dg du groupe, Toufik Hakkar.
La première semaine du mois de janvier s’annonce avec de gros dossiers liés aux groupes Amar Benamor, Metidji et Amenhyd, mais aussi celui de Sonatrach, communément appelé GNL3.
Le P-dg de Sonatrach, Toufik Hakkar, a annoncé que la société s'apprêtait à reprendre ses projets pétroliers en suspens en Libye.
Au moment où la nouvelle loi sur les hydrocarbures fait l’actualité économique algérienne, un aspect important des enjeux semble insuffisamment abordé dans les discussions : la stratégie de Sonatrach. A cet égard, Ahmed Kebaïli, spécialiste de l’industrie pétrolière et ancien expert à la Banque mondiale, nous livre ici son point de vue sur cette question critique. Il suggère en particulier que Sonatrach doit orienter sa stratégie non pas seulement sur le partenariat pour l’exploration/production nationale, mais de plus en plus vers des partenariats pour l’exploration/production à l’international.