Compte tenu de la désinflation et de la stabilité de la croissance, «la probabilité d’un atterrissage brutal s’est estompée et les facteurs qui influent sur la croissance mondiale sont globalement équilibrés».
Après une année difficile, un rebond significatif pour l’économie mondiale est improbable pour 2024, selon divers rapports d’organisations internationales spécialisées.
Selon une enquête Reuters, le prix du brut Brent se maintiendrait autour de 80 dollars et pourrait éventuellement dépasser les 90 dollars en 2024.
Même si le secteur du tourisme a connu ces dernières années une relative dynamique de croissance, force est de reconnaître que des entraves persistent et freinent son développement.
Les prix élevés des denrées alimentaires ont réduit les revenus disponibles des ménages dans de nombreuses économies, en particulier dans certains pays d'Europe centrale et orientale et dans de nombreuses économies, d’Afrique et du Moyen-Orient qui importaient de grandes quantités de céréales en provenance d'Ukraine avant la guerre.
L’activité industrielle a reculé durant ce premier trimestre 2023 par rapport au trimestre précédent, a conclu une enquête d’opinion auprès des chefs d’entreprise industrielle, initiée par les services de l’Office national des statistiques (ONS).
La situation de l’économie mondiale a commencé à s’améliorer, mais la reprise sera faible. La croissance du PIB mondial devrait refluer de 3,3% en 2022 à 2,7% en 2023, avant de rebondir à 2,9% en 2024.» Telle est la conclusion du rapport de l’Organisation de coopération et développement économiques (OCDE) dans sa dernière édition sur les perspectives économiques mondiales.
Après avoir longuement commenté, ces derniers mois, le rapprochement entre l’Italie et l’Algérie, estimant qu’il interférait avec les relations algéro-espagnoles, la presse et les analystes espagnols pointent du doigt actuellement la redynamisation des relations algéro-portugaises. On estime ainsi en Espagne que «le Portugal profite de la rupture diplomatique espagnole pour gagner du terrain économique en Algérie».
Les séquelles de la Covid-19 continuent de limiter la cadence de reprise et d’exacerber la pauvreté et les inégalités dans différentes parties du monde.