Une proposition de résolution votée jeudi par l’Assemblée nationale française reconnaît la répression des Algériens le 17 Octobre 1961 et souhaite l’instauration d’une journée de commémoration officielle.
Les autorités ont annoncé l'arrestation de cinq suspects en lien avec le massacre de six hommes dans le désert californien, une affaire présumée liée à la production de cannabis pour le marché noir.
L'Union européenne a exhorté les autorités de Ouagadougou à élucider un présumé «massacre» de civils qui aurait causé la mort d'environ cent personnes dans le village de Zaongo, région du Centre-Nord du Burkina Faso.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, appelle à «une action collective» impliquant toutes les forces internationales «influentes et agissantes» pour mettre un terme au massacre des Palestiniens à Ghaza et en finir avec l’impunité dont jouit l’occupant israélien.
Dans un acte de cynisme ultime, Israël, qui bombarde sans relâche la bande de Ghaza depuis le 7 octobre, nie être à l'origine de cet acte aussi abject qu’immonde qu’il attribue l'attaque au «Jihad islamique».
Des policiers déchaînés n’ont pas hésité à matraquer, à tuer par balles et à noyer dans la Seine des manifestants dont le seul tort était d’avoir dénoncé la discrimination et d'appeler à l’indépendance de leur pays. Les réclamations de l’Algérie portant sur la reconnaissance de ces massacres restent aussi sans suite du côté français.
Des images insoutenables de dévastation sont retransmises en boucle sur les chaînes de télévision, montrant des familles entières anéanties et enterrées sous les décombres de leurs maisons détruites par l’aviation sioniste.
La porosité des frontières, en raison de l’insuffisance et de la désorganisation des moyens locaux de lutte, permet aux groupes terroristes une aisance de mouvement qui leur fait traverser les lignes et prendre refuge dans des sanctuaires naturels protégés.
Ici, le 8 février 1962, au cours d’une manifestation du peuple de Paris pour la paix en Algérie, neuf travailleuses et travailleurs, des communistes, des militants de la CGT, dont le plus jeune avait 16 ans, sont morts victimes de la répression».
Force est de constater que l’hommage rendu par M. Macron aux victimes vaut surtout par sa symbolique.