Dans le cadre des Nuits ramadanesques, l’auteur-compositeur et interprète algérien, «Ptit Moh», donne rendez-vous à ses fans, le 15 mars, à 21h30, à l’Institut français d’Algérie, à Alger.
C’est un spectacle original, placé dans la catégorie jazz, qui est proposé par la formation que dirige Abdelhakim, dont une version de ce projet intitulé «Abdelhakim’s steps» a été proposée jeudi à Oran, sur invitation de l’Institut français après une tournée qui englobe également les villes d’Annaba, Constantine et Tlemcen. Un spectacle qu’on pourrait dire divisé en deux parties avec, dans un premier temps, des compositions axées plutôt sur les mélodies et, ensuite, tout un pan où la percussion domine.
La prestation n’est cependant pas dénuée d’intérêt, car il y a certainement de l’effort et du travail derrière, mais il lui manquait peut-être cet élan créatif.
Six pieds sur terre est le premier long métrage que signe Karim Bensallah, ce cinéaste à l’identité multiple, tant il est tout à la fois Algérien, Brésilien et Français. Loin d’avoir ennuyé les spectateurs, rassemblés, mercredi dernier, dans la salle des spectacles de l’Institut français d’Oran, Six pieds sur terre en a scotché plus d’un, tant personne, dans la salle, pendant les 90 minutes que durait le film, n’a eu l’impolitesse de jeter un coup d’œil à sa montre, et cela en dépit du thème abordé, en l’occurrence la mort, qui n’est pas «vendeur», loin s’en faut.
l Dans cet ouvrage paru en 2024, l’auteure retrace l’histoire des monuments coloniaux de l’Algérie, leur devenir après l’indépendance, leur rôle comme témoins d’un passé colonial contesté et les raisons et les circonstances de leur rapatriement.
Un film mettant sous les feux des projecteurs la grande diva algérienne Hasna El Becharia a été projeté mercredi dernier à l’Institut français d’Oran, en présence de la réalisatrice Sara Nacer.
Une deuxième série de courts métrages a été projetée dans la soirée du 12 avril à l’antenne d’Oran de l’Institut français.
Une première série de courts métrages a été projetée mercredi à l’Institut français d’Oran en présence des réalisateurs.
La Caravane passe est un groupe qui porte bien son nom. Il a marqué son passage en Algérie. Après avoir observé des haltes à Annaba, Oran, Tlemcen et Constantine, ces saltimbanques sont passés à Alger. Et ils ont fait la fête. Ils ont célébré le solstice et la fête de la musique, le mardi 21 juin de 20h30 à 22h à l’Institut français d’Algérie à Alger.
Cette finale a permis à quatre jeunes orateurs d’étaler leurs talents, donnant un bel exemple de maîtrise de la langue et des techniques du discours, malgré le trac et le stress.
Au moment où les centres culturels de la ville baignent dans un vide sidéral, l’Institut français de Constantine (IFC) a mis au point un programme intéressant consacré à des films du patrimoine cinématographique algérien, ayant marqué des générations de cinéphiles, en partenariat avec le Centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel (CNCA).
Notre ami Slimane Zeghidour, écrivain et journaliste au long cours, grand reporter, rédacteur en chef et éditorialiste à TV5 Monde, donnera demain, à partir de 18h, une conférence à l’Institut français d’Alger sur un thème captivant : «La géopolitique des diasporas». «L’existence et l’enjeu international des diasporas sont aussi vieux que l’humanité.