Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a mis l’accent, lors de la visite de travail et d’inspection qu’il a effectuée, hier, à l’est du pays, sur l’«impératif respect des délais contractuels de réception des nouveaux projets de développement», en particulier les grands projets structurants.
Saddek Bourouina, natif de la ville de Guelma, cadre retraité du secteur des travaux routiers, est un septuagénaire handicapé moteur à 100% depuis 1985.
Les mesures visant à identifier les céréaliculteurs touchés par la sécheresse au titre de la campagne agricole 2022-2023 à Guelma suivent leur cours. Incombant à la CRMA (Caisse régionale mutuelle agricole) la réception et l’enregistrement, des demandes des fellahs ont été organisées, rappelons nous, du 11 juin au 17 juillet dernier. Une liste de plus de 4000 fellahs a été arrêtée et les dossiers soumis au CTW (Commission technique de wilaya) qui n’est autre qu’une instance installée pour traiter les dossiers.
Un terrain d’atterrissage pour les hélicoptères d’intervention contre les incendies de forêt est attendu qu’il soit réceptionné avant la mi-août dans la commune d’Aïn Ben Beïda, située à l’est de la wilaya de Guelma.
La générale de cette pièce mise en scène par Ahmed Merzougui à partir d’un texte du défunt Abderahmane Kaki sera présentée à Constantine, car le bâtiment du théâtre régional de Guelma étant en cours de réaménagement, a précisé à l’APS le chargé de communication de ce théâtre, Amine Guernine.
Depuis plusieurs années, les malades atteints d’insuffisance respiratoire, notamment résidants à Guelma sont confrontés à une multitude de facteurs environnementaux aggravants les symptômes de leur affection. Les dernières chaleurs qu’a connues Guelma, accompagnées d’une hygrométrie accablante, a multiplié les consultations médicales quelles soient en médecine générale ou spécialisées, dans le secteur public ou privé. «Nous recevons quotidiennement de nouveaux malades en plus des personnes connues par nos services.
Hier matin, la présence d’étudiants en habits de cérémonie accompagnés de leurs parents, aux portes du cinéma El Intissar (ex-Le Triomphe) de la ville de Guelma, n’est pas passée inaperçue.
La réserve naturelle de Beni Salah dans la wilaya de Guelma a été classée en aire à protéger par arrêté de wilaya en 2015. Située à l’extrême nord-est du pays, cette étendue boisée de quelque 4667 hectares constitue le dernier sanctuaire du cerf de Barbarie (Cervus elaphus barbarus) en plus d’autres espèces en voie d’extinction ou menacées de disparaître.
La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Madame Fazia Dahleb, a déclaré, hier samedi, à partir de Guelma, que «les centre d’enfouissement technique (CET) sont appelés à disparaître» et de préciser en substance «que cette façon d’éliminer les ordures ménagères est révolue car ce procédé est non seulement contre productif, mais il génère beaucoup plus d’inconvénients d’ordre écologique et nécessite aussi de grosses enveloppes financières pour la réalisation des cassiers d’enfouissement et de grands espaces réservés à cet effet».
Faute de distribution d’eau potable régulière par l’ADE de Guelma, accentuée par des restrictions et un programme contraignant, le stockage de l’eau dans les domiciles est devenu, depuis quelques mois, une priorité absolue pour les habitants.
Encore une fois, et en l’espace de quelques jours, après la saisie de 8550 capsules de Pregabaline à Héliopolis, c’est un coup de filet ayant permis la saisie de 12 000 capsules du même produit pharmaceutique qui vient d’être opéré par la police à Guelma, et les trafiquants écroués.
Les dernières intempéries qui ont touché la wilaya de Guelma et plus précisément le bassin versant du barrage de Hammam Debagh ont eu un impact positif.
Les températures extrêmement élevées en période hivernale et les pluies diluviennes en saison printanière ont eu l’effet d’une «douche écossaise» pour les céréaliculteurs de la wilaya de Guelma. Déjà, les dégâts observés suite à la sécheresse qui s’est abattue sur les régions sud de la wilaya sont irréversibles. «Ajoutez aussi les pluies sur un blé mature avant terme et vous aurez une récolte inexploitable même pour alimenter le bétail. Le blé est pourri de la racine à l’épi», ont révélé, hier, à El Watan, des agriculteurs de la région de Guelma visiblement éprouvés par une situation climatologique exceptionnellement dévastatrice.
C’est à l’initiative de l’association moderne pour la culture et les arts de Guelma en collaboration avec l’APC du chef-lieu qu’une représentation dédiée à la journée mondiale de l’enfance s’est amorcée, jeudi dernier, vers 16 heures au théâtre romain de la ville.
Dix-sept maisons ont été envahies par les crues, dont quatre ont été gravement détériorées à Oued El Maleh, agglomération secondaire de la commune de Hammam N’Bails, lors des intempéries qui ont ébranlé la région de Guelma, dans l’après-midi de mardi dernier.
De mémoire d’habitants de Oued El Maleh, agglomération secondaire relevant de la commune de Hammam N’bail, située à une vingtaine de kilomètres au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Guelma, jamais l’oued éponyme n’a atteint une telle virulence.
Le service vétérinaire auprès de la DSA de Guelma a lancé, jeudi dernier, une opération de vaccination d’urgence contre la fièvre aphteuse, une maladie hautement contagieuse entraînant des conséquences très graves sur le plan économique dans la région touchée par la zoonose. «Nous installons une barrière sanitaire contre cette maladie, qui s’est déclarée en Libye au mois de mars dernier.
Il fallait s’y attendre. Les pluies diluviennes et les crues observées mercredi dernier dans la région de Guelma n’ont pas été sans conséquence. D’une rare violence, ni les villes et encore moins les agglomérations secondaires n’ont échappé à la furie des eaux.
Le médiateur de la République, Madjid Ammour, a déclaré au début de la semaine, à partir de Guelma : «Tout va et doit être programmé selon les priorités. Soyez confiant, toutes vos préoccupations seront prises en considération.
La circulation en milieu urbain à Guelma s’amorce quotidiennement dans des altercations verbales entre conducteurs névrosés et piétons imprudents. Au-delà du constat devenu banal, la situation échappe à tout contrôle lorsqu’il s’agit des conducteurs des deux-roues motorisées. «Ils brûlent les feux rouges.