L’évolution et les perspectives du marché du gaz naturel, ainsi que les développements énergétiques en Algérie et son rôle central dans le dialogue mondial sur le gaz naturel ont été les principaux points abordés par le secrétaire général du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) Mohamed Hamel, lors d’une visite effectuée en Algérie. Mohamed Hamel a rencontré, le ministre de l’Energie, Mohamed Arkab, le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, ainsi que le PDG de Sonatrach, Rachid Hachichi, indique un communiqué du GECF.
L’Algérie demeure l’un des principaux fournisseurs de gaz à destination de l’Europe. Au mois de février dernier, l’Algérie a conservé sa deuxième position, après la Norvège, parmi les principaux fournisseurs de gaz par gazoduc à destination du Vieux Continent.
Le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) estime, dans la 9e édition du rapport «GECF Global Outlook 2050» lancée officiellement cette semaine, à Doha, au Qatar, que la demande mondiale de gaz naturel devrait croître de 32% d’ici 2050, sans qu’aucun pic de la demande ne pointe à l’horizon.
Les prix du gaz en Europe ont atteint un niveau inédit depuis deux ans, alors que les réserves de gaz souterraines sont tombées sous les 50%, entraînant un rythme de retrait parmi les plus élevés jamais enregistrés en cette période de l’année, en raison d’une consommation hivernale soutenue.
Le continent africain est appelé à multiplier les investissements transcontinentaux afin de faire évoluer la frontière énergétique de l’Afrique.
Le gaz naturel a encore de beaux jours. Selon un rapport, publié hier, du plus grand négociant de GNL au monde, la compagnie Shell, la demande mondiale de gaz naturel devrait croître de 60% d’ici 2040.
Le gaz naturel représente un levier essentiel pour soutenir l'économie numérique, a indiqué le Secrétaire général du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF), Mohamed Hamel, soulignant que la recherche et les opérations d'Intelligence artificielle (IA) consomment plus d'énergie que les méthodes conventionnelles.
L'Algérie, le Nigeria et le Niger ont signé, hier à Alger, plusieurs accords en vue de l'accélération de l'achèvement du projet stratégique de Gazoduc transsaharien (TSGP). Il s'agit d'un contrat de mise à jour de l'étude de faisabilité du projet, d'un contrat d'indemnisation et d'un accord de non-divulgation (NDA) signé par les sociétés énergétiques des trois pays.
Quelque 470 foyers situés dans les communes de Bouaïche, Tlet-Douairs et Azziz, dans la wilaya de Médéa, ont été raccordés au réseau de distribution de gaz naturel, a-t-on appris, lundi, auprès des services de la wilaya.
Le marché accumule des inquiétudes à l’approche de l’expiration de l’accord de transit de gaz entre la Russie et l’Ukraine, prévu à la fin de l’année, alors qu’aucun nouvel accord n’est en vue.
L’arrêté prévoit un abaissement progressif du seuil de consommation, concernée par la négociation libre des prix. Il s’agit 200 millions de mètres cubes de gaz naturel par année pour la période 2025-2026 ; 100 millions de mètres cubes de gaz naturel par année pour la période 2027-2028 et 40 millions de mètres cubes de gaz naturel par année à partir de 2029.
La consommation nationale d’énergie est sans cesse en croissance. Elle a augmenté de 5% à la fin du mois de septembre dernier, par rapport à la même période en 2023, selon le ministre de l’energie et des mines, Mohamed Arkab, qui s’exprimait sur le dossier fin octobre devant les députés.
Des projets d’alimentation en eau potable (AEP) et d’alimentation en gaz naturel ont été mis en service à travers les communes de Berrouaghia et de Zoubiria, à l’est de Médéa.
Cinq quartiers de la commune de Béchar situé à Haï Salem ont été privés de gaz de ville en début de semaine en cours à cause d’une fuite d’une conduite de gaz de ville traversant l’oued dit Fayja, à Haï Salem, au nord de la ville.
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la Direction de distribution de Sonelgaz d’Oran a invité ses clients, en cette période automnale où on enregistre des baisses de température, «à faire preuve de vigilance dans l’utilisation du gaz naturel et de tous les appareils fonctionnant avec cette énergie».
Une réunion consacrée au projet du SoutH2Corridor regroupant les différents partenaires européens ainsi que l'Algérie et la Tunisie se tiendra dans les prochains mois, en vue d’une déclaration d'intention visant à mettre en œuvre le projet.
La forte demande à prévoir sur le gaz naturel permettra de rebooster les investissements dans l’industrie du gaz et fera impérativement augmenter les prix de cette ressource.
Le Commissariat aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique (Cerefe ) anticipe déjà la période des grandes chaleurs synonyme de surconsommation d’énergie.
Deuxième plus grand marché gazier d’Afrique, l’Algérie a «été le fer de lance de la croissance de la production de gaz dans la région», indique un rapport du GECF.
l ne s’agit pas pour moi de m’attribuer une quelconque paternité du concept ni de sa mise en œuvre, mais de simplement restituer les faits historiques dans leur contexte. Dans une contribution au journal El Watan du 13 janvier 2010, j’avais considéré qu’à l’instar du pétrole, le gaz méritait une organisation internationale pour défendre les intérêts bien compris des pays producteurs et exportateurs de gaz. Je publie l’intégralité de mon article qui date de plus de…14 ans !