L’expiration de l’accord de transit du gaz russe à destination de l’Europe a provoqué une hausse des prix du gaz sur le Vieux continent et met une pression supplémentaire sur le stress énergétique que connaît l’Europe depuis le début de la guerre en Ukraine.
Moscou a arrêté depuis hier ses exportations de gaz, passant par l’Ukraine, et à destination de l’Europe.
Selon cette organisation internationale, tous les indices des composantes du baromètre restent supérieurs ou égaux à la tendance, à l’exception de l’indice des composants électroniques (95,4), qui s’est stabilisé en dessous de la tendance.
«Les pressions des Etats-Unis sur l’Europe en matière énergétique ont montré qu’elles atteignaient leurs buts, puisque l’Europe s’y est soumise et a renoncé au gaz ainsi qu’au pétrole russes. Les pressions de Trump ont de fortes chances d’aboutir. Les Etats-Unis vont accroître de force leurs parts du marché énergétique européen au détriment des fournisseurs concurrents les plus vulnérables», estime Abdelatif Rebah, économiste.
Les stocks de gaz en Europe ont chuté plus de quatre fois plus vite que la moyenne au cours des dix dernières années.
Mardi, Ilham Aliev, le président de l’Azerbaïdjan, a déclaré que les hydrocarbures sont des «ressources naturelles» et qu’on ne peut «reprocher aux pays d’en avoir et de les fournir aux marchés». Son pays accueille la COP de l’ONU sur le climat à Bakou.
Distribuée en juillet dernier, la cité des 760 logements AADL manque de plusieurs commodités. «Cela fait trois mois qu’on attend l’installation du compteur de gaz. On s’est débrouillés avec les bonbonnes de gaz, mais ça ne doit pas continuer ainsi durant la saison hivernale. Le froid est déjà là, et je ne sais pas quoi faire pour chauffer les chambres de mes enfants», se plaint Aymen (42 ans).
A près le retrait de la British Petroleum du projet, la société sénégalaise Petrosen sollicite les compagnies pétrolières du Moyen-Orient ainsi que Sonatrach pour investir dans le grand projet gazier Yakaar-Teranga en 2025.
Au cours de l’année écoulée, le conflit au Moyen-Orient a entraîné une forte volatilité des cours du pétrole, en raison notamment de la crainte de dommages aux infrastructures pétrolières et gazières des principaux producteurs si le conflit venait à s’intensifier.
La direction de distribution de Bouira (DDB) a procédé récemment à d’importants travaux de raccordement au réseau de gaz naturel et d’électricité à travers le territoire de la wilaya.
Le Sommet de Nairobi a constitué une opportunité pour mettre en exergue le rôle régional et international de l’Algérie en matière de production des engrais qui jouent un rôle déterminant pour garantir la sécurité alimentaire, vu les capacités de production considérables dont elle dispose et qui lui ont permis de répondre au marché local et d’approvisionner le marché mondial à hauteur de 7 millions de tonnes/an.
L’Algérie a confirmé au mois d’avril dernier sa position de principal fournisseur de gaz naturel à destination de l’Espagne, rapportent des médias espagnols. Durant ce mois, Sonatrach a couvert 46,1% des importations totales du Royaume ibérique avec 12,351 gigawattheures GWh, devant la Russie (19,9%) et le Nigeria (10,9%).
La quête d’amélioration du niveau de vie des habitants de la planète nécessitera une utilisation plus importante des engrais dont la production est fortement liée au gaz naturel.
Au total, 387 foyers situés dans les communes de Azziz et El Haoudine, au sud et au nord-est de Médéa, ont été raccordés en ce début de semaine au réseau local de distribution de gaz naturel, a-t-on appris auprès des services de la wilaya.
L’investissement dans la production du gaz naturel est crucial ; car d’ici 2050, la demande va connaître un accroissement important, surtout dans les pays asiatiques.
Invité lors d’un événement organisé par «le Groupe des ambassadeurs africains» à Doha, au Qatar, le secrétaire général du GECF a prononcé une allocution dans laquelle il a notamment mis en avant les résultats importants du 7e Sommet des chefs d’État et de gouvernement du Forum des pays exportateurs de gaz qui s’est tenu du 29 février au 2 mars, à Alger.
L’école primaire Maizi Fatma Zohra, ex- Strasbourg, est sans chauffage depuis près d’un mois. En cette période où le thermomètre est au plus bas, les enfants grelottent de froid.
Le groupe pétrolier et gazier public Sonatrach, a signé, hier à Alger, un protocole d’accord avec la société saoudienne Midad Energy North Africa (MENA), dans la perspective d’un partenariat pour l’appréciation et le développement de gisements gaziers situés dans la wilaya d’Illizi.
En marge de sa visite, hier, à Tiaret, le PDG de Sonelgaz, alors qu’il pénétrait une habitation précaire, a «instruit ses administrés à suspendre provisoirement l’alimentation en gaz jusqu’à ce que l’habitation en question soit mieux aérée».
Le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) vient de parapher la «Déclaration d’Alger» adoptée à l’issue du 7e Sommet de cette organisation qui prône une régulation équitable et vertueuse du marché international du gaz, un plaidoyer déjà formulé lors du précédent Sommet qui s’est tenu, il y a deux ans, à Doha.