Le Crédit populaire algérien (CPA) vient d’allonger la très courte liste des grandes entreprises cotées à la Bourse d’Alger. L’introduction hier au marché boursier de la première banque étatique réussira-t-elle à dynamiser ce marché où figurent déjà, sur le marché principal, les quatre entreprises : le groupe Saidal (pharmaceutique), EGH El Aurassi (tourisme), Alliance assurances, Biopharm (pharmaceutique).
L’Etat donne tout l’air de vouloir reprendre en main l’audiovisuel afin d’y mettre de l’ordre. Le secteur est caractérisé par l’anarchie. C’est encore plus valable en ce mois de Ramadhan.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a souligné l’importance d’une «communication continue avec les citoyens, la société civile et les institutions», précisant que «la vie quotidienne demeure le seul critère pour mesurer le changement, la performance et l’efficacité».
L’élevage ovin et bovin est pratiqué dans l’anarchie totale, ce qui ne permet pas à l’Etat de tout contrôler, ceci au moment où l’Algérien arrive à peine à consommer en moyenne 18 kg/an, soit 10 kg de moins qu’un Tunisien.
Hier, de la fumée s’élevait après un bombardement au-dessus de la grande ville de Khan Younès, dans le sud de Ghaza, où Israël a annoncé concentrer désormais l’essentiel de son offensive contre le Hamas et qui abrite de nombreux déplacés ayant fui le Nord
Le président Tebboune a insisté dans son discours sur la notion de reddition de comptes par «les responsables qui n’ont pas été en mesure d’accomplir les tâches qui leur ont été confiées». Il a ainsi indiqué avoir «récemment pris des décisions à contrecœur en mettant fin aux fonctions de responsables locaux qui ont failli».
Une quinzaine d’anciens membres du parti dissous a été déférée, jeudi, devant le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, puis placés sous mandat de dépôt, pour quatre chefs d’inculpation liés à la «subversion», à l’«atteinte à la sûreté et à l’intégrité territoriale de l’Etat», entre autres. Des griefs liés à la lettre de la mouvance du parti dissous, signée, lue et diffusée le 30 septembre dernier, par Ali Benhadjar, ancien chef du sinistre GIA dans la région de Médéa.
Le général d’armée, Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’ANP a affirmé que le «processus de construction de l’Etat national, avec ses différentes institutions, a atteint des phases avancées, grâce aux efforts consentis par les valeureux enfants du pays».
La nouvelle décision gouvernementale intervient dans le cadre de l’ouverture du secteur des services bancaires participatifs pour se développer davantage sur le marché financier algérien, contribuer à l’inclusion bancaire et tenter d’absorber les fonds circulant dans le marché parallèle.
Le ministre des Finances, Laaziz Fayed, a insisté sur la nécessité d’un meilleur travail de collecte des impôts et juge «inconcevable» que la fiscalité ordinaire n’arrive pas encore à couvrir les salaires des fonctionnaires.