l La ville de Chlef attend toujours une modernisation urbaine d’envergure et la réhabilitation de ses quartiers, voiries et places publiques qui ont été dégradés au fil des années et des décennies.
La situation sécuritaire se dégrade de plus en plus dans le nord du Mali. Le retrait total en ce mois de décembre de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), garante de l’Accord de paix entre le gouvernement malien et les groupes politico-militaires du nord du pays, laisse un vide sécuritaire incommensurable dans ce vaste Etat de l’Afrique de l’Ouest.
Le réseau routier est dans un piteux état dans les cités périphériques de la ville de Chlef, notamment à Hai Nasr, Ouled Mohamed, Chorfa et Lala Aouda.
Les habitants de la troisième tranche de la cité Boussouf, située dans la banlieue ouest, non loin de la RN5, à 5 km de la ville de Constantine, ne cessent de crier leur ras-le-bol, en raison de la dégradation déplorable de leur cadre de vie.
La dégradation des rues et des trottoirs, défoncés lors des travaux d’installation de différents réseaux, se pose désormais comme un sérieux problème pour la population de la ville de Constantine.
Est-ce que le maire a le pouvoir de faire tout ce qu’il désire dans sa commune ? Est-il soumis à d’autres avis contraires au niveau de son assemblée ? Ces interrogations émanent des habitants de la ville d’Annaba, après avoir constaté une dégradation générale de son environnement.
Le gouvernement entend bien effectuer les changements législatifs susceptibles d’agir en faveur de la protection du patrimoine forestier.
Les responsables concernés sont interpellés : automobilistes, transporteurs et voyageurs subissent bien plus qu’un calvaire en empruntant le tronçon routier Sidi Lakhdar Sidi-Sidi Ali, d’une distance de 10 km.
Les habitants de la zone 10 à Haï Nasr, dans la banlieue sud de la ville de Chlef, se plaignent de la dégradation continue du cadre de vie dans leur cité.