Le raccordement effectif des clients à cette nouvelle technologie tarde à se concrétiser, soulevant ainsi interrogations et mécontentement chez les futurs abonnés.
L’échangeur de Oued Ghir, devant relier la pénètrent de Béjaïa, au niveau du point kilométrique PK11 à la RN12, ne sera pas livré en cette fin d’année, comme convenu.
La direction de distribution d’électricité et de gaz de la wilaya de Béjaïa procédera incessamment «aux travaux de raccordement de la ZAC de Taharacht, sise dans la commune d’Akbou, à 70 km au sud de Béjaïa, au réseau du gaz naturel».
Le projet du centre de regroupement et de préparation des équipes sportives, qui sera implanté dans les hauteurs de la commune d’Adekar, à 45 km au sud-ouest de Béjaïa, est enfin lancé en étude.
L’Algérie, qui compte actuellement 25 stations de dessalement de l’eau de mer (SDEM), occupe la première place à l’échelle africaine dans ce domaine, selon le PDG d’Algerian Energy Company (AEC), Lahcene Bada.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a présidé hier une réunion de coordination réunissant les directeurs généraux du secteur ainsi que des responsables de structure afin de faire le point sur l’état d’avancement des textes d’application de la loi de finances (LF) 2025 ainsi que sur la mise en œuvre du contrat d’objectifs et de performance (COP) de la Direction générale des impôts (DGI).
Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Yacine El Mahdi Oualid, a affirmé, hier à Alger, que les assises nationales sur la formation professionnelle avaient pour objectif d’élaborer une feuille de route visant à promouvoir le secteur, conformément aux besoins du marché du travail.
Le patron du RND qui animait, hier, un meeting populaire dans la ville d’El Tarf, a justifié sa proposition d’anticiper l’organisation du dialogue national par, entre autres, les changements qui prévalent à l’échelle régionale et internationale et qui exigent, selon lui, une concertation rapide entre l’ensemble des acteurs.
Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abdelaali Hassani Cherif, a mis en avant, hier à Alger, l’importance de faire preuve de conscience face aux plans ciblant l’Algérie.
Selon l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie, 3,33% des jeunes de moins de 15 ans et 33,17% des adultes âgés de 16 à 25 ans étaient en traitement pour addiction en 2022. Ces statistiques incluent environ 700 mineurs de moins de 18 ans condamnés pour possession et consommation de drogues, une tranche d’âge principalement composée d’élèves.
La wilaya de Annaba a été le point de convergence des efforts nationaux pour la protection de l’enfance, jeudi dernier, lors de la 2e rencontre régionale sur «l’enfance en Algérie». Organisé à l’hôtel Sabri par l’Organe national de protection et de promotion de l’enfance (ONPPE), en collaboration avec le Conseil national économique, social et environnemental (Cnese) et l’Unicef, cet événement coïncidait avec la célébration du 32e anniversaire de la ratification par l’Algérie de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE). La rencontre a réuni des représentants du comité permanent de coordination de l’ONPPE, le wali de Annaba, le directeur de la santé publique (DSP), ainsi que diverses autorités locales et sécuritaires.
Un phénomène préoccupant, souvent invisible : les conduites addictives chez les jeunes en milieu scolaire. La Pre Hocine aborde de manière détaillée les différents types de conduites addictives, qu’elles soient liées à l’usage de substances psychoactives ou à des comportements compulsifs, allant jusqu’à l’addiction aux écrans. Elle met également en lumière les facteurs de risque, les conséquences physiques, psychologiques et sociales de ces addictions, ainsi que les défis auxquels les parents, enseignants et professionnels de santé sont confrontés. A travers cet entretien, elle souligne l’absence de données actualisées et de dépistage structuré dans le milieu scolaire, un enjeu majeur pour la prévention et la prise en charge de ces troubles.
Dans cet entretien, le Dr Nadira Benabdallah, coordinatrice en santé scolaire et universitaire, partage son expertise sur un enjeu crucial : la lutte contre la propagation de la drogue en milieu scolaire. Elle aborde l’ampleur du phénomène, les facteurs de risque, les substances les plus répandues, ainsi que les impacts psychologiques, physiques et sociaux sur les enfants. Le Dr Benabdallah qui œuvre en étroite collaboration avec l’association «Ettahadi de lutte contre les fléaux sociaux et la prévention contre les drogues en milieu des jeunes» met également en lumière les efforts déployés par les institutions de l’Etat et les associations, tout en proposant des mesures préventives pour protéger les élèves à risque et garantir un environnement éducatif sûr et sain.
Le président du Conseil national de la recherche scientifique et des technologies (CNRST), Mohamed Tahar Abadlia, a affirmé, hier à Alger, que le Conseil propose une stratégie axée sur l’encouragement de l’innovation, la promotion de la culture de l’évaluation et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles.
De nouvelles mesures concernant la prise en charge des enfants atteints de cancer permettront, selon le ministre du Travail, de bénéficier de la carte Chifa, qui leur donne ainsi accès au système du tiers payant.
Le complexe sidérurgique Al Solb El Hadjar, autrefois symbole de la puissance industrielle algérienne, entamera l’année 2025 dans une situation alarmante : une rupture imminente de son stock de coke. Ce combustible, essentiel pour le fonctionnement du haut-fourneau HF2 et la production de fonte liquide, est désormais insuffisant, mettant en péril la continuité des activités du complexe. Les sidérurgistes sur place tirent la sonnette d’alarme.
La consommation de drogues est un des principaux facteurs de risque de survenue d’un accident vasculaire cérébral.
Une voix supplémentaire pour rappeler à la France officielle son passé colonial en Algérie. Elle intervient dans un contexte de froid glacial dans les relations entre les deux pays et de surenchère des acteurs de la droite et de l’extrême droite qui font de l’Algérie et de l’immigration algérienne leur sujet de prédilection.
Lors de sa tournée inaugurale au niveau des stands d’exposition, Tebboune a insisté sur l’importance de répondre d’abord à la demande nationale avant de s’engager dans l’exportation.
Le financement du crédit agricole ne sera plus désormais du seul ressort de la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR), puisque toutes les banques publiques devront s’impliquer dès 2025 dans le financement des projets du secteur de l’agriculture. C’est ce qu’a révélé en tous cas, selon l’APS, le ministre des Finances, Laâziz Faïd, jeudi dernier à Alger, lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation.