L’Algérie prépare activement la Foire commerciale intra-africaine 2025 (IATF-2025), prévue à Alger du 4 au 10 septembre 2025. Regroupant plus de 2000 exposants, l’IATF-2025 devrait déboucher sur «des accords commerciaux et d’investissement d’une valeur de plus de 44 milliards de dollars, mettant en lumière l’impact croissant de la foire en tant que premier marché d’Afrique», indiquent les organisateurs.
La Confédération africaine de football (CAF) a renouvelé, partiellement, son comité exécutif (Comex) pour les 4 années à venir (2025-2029), élu Patrice Motsepe pour un second mandat, et procédé à l’élection des 7 représentants de la CAF au Comex de la FIFA, le tout sous le regard paternaliste du président de la FIFA, Gianni Infantino, jamais loin des prises de décisions de l’instance faîtière du football continental.
L’Association des comités nationaux olympiques africains (ACNOA) a honoré, dimanche, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, en lui décernant la Médaille d’or du mérite olympique et sportif africain, une distinction réservée aux chefs d’Etat engagés dans la promotion du sport et de la jeunesse.
L’entreprise tanzanienne Soma Bags crée des sacs à dos équipés de panneaux solaires pour aider les enfants des zones rurales sans électricité à lire dans le noir. Ces sacs sont fabriqués à partir de matériaux recyclés et plus abordables que les lampes à pétrole.
La performance économique des pays africains montre des signes d'amélioration mais reste vulnérable aux chocs mondiaux. C’est ce qu’indique l’édition 2025 du rapport «Performances et perspectives macroéconomiques de l’Afrique» (MEO) de la Banque africaine de développement (BAD) publiée la semaine dernière.
L’Algérie poursuit son offensive diplomatique en Afrique. Preuve en est la consécration de la diplomate algérienne Selma Malika Haddadi, élue, samedi, au poste de vice-présidence de la commission de l’Union africaine (UA).
Connectivité intra-africaine limitée, coûts de voyage élevés, réglementations fragmentées, financement limité des aéronefs et infrastructures aéronautiques sous-développées, des obstacles et tant d’autres ayant, des décennies durant, limité le commerce, le tourisme ainsi que l'intégration économique et sociale du continent que le constructeur aéronautique américain Boeing œuvre à lever pour aider le secteur de l'aviation civile à s’épanouir et à prospérer.
L’Algérie, en tant qu’acteur clé dans la réalisation de l’intégration et de la stabilité en Afrique, porte une attention particulière à l’unification des rangs sur le continent, intimement convaincue que son prolongement africain l’oblige à œuvrer sans relâche à la concrétisation de cette aspiration, affirme la revue El Djeïch dans son numéro du mois de février.
L’Algérie n’est pas citée dans ce rapport, sa dette extérieure est tout simplement insignifiante.
L’Algérie, qui a placé les régions arabe et africaine au centre de ses priorités, a consacré sa présidence du Conseil de sécurité des Nations unies, durant le mois de janvier, à défendre les causes justes, à relever les défis qui menacent la paix et la sécurité dans le monde, et à faire entendre la voix de l’Afrique.
Le Sommet des chefs d’Etat africains sur l’énergie, Mission 300, qui s’est tenu pendant deux jours à Dar Essalam en Tanzanie, s’est clôturé hier avec l’adoption d’une déclaration d’engagement visant à «mener des réformes et des actions concrètes pour élargir l’accès à une électricité fiable, abordable, durable stimulant la croissance économique, améliorant la qualité de vie et encourageant la création d’emplois sur tout le continent».
L’Afrique s’est distinguée en enregistrant ce montant grâce, notamment, à un mégaprojet dans le secteur du tourisme en Egypte.
Le dénouement du rapt d’un ressortissant espagnol, au sud du pays, intervient après une série d’autres rapts qui ont eu lieu au Niger et à sa frontière avec le Burkina Faso, et dont les victimes ne sont toujours pas libérées. Ces actes ont pour points communs le mode d’emploi, les mêmes moyens et le même profil des auteurs, pour qui les enlèvements de ressortissants étrangers ou influents constituent une prestation de service à Al Qaïda et à l’Etat islamique du Sahel, dans une région où les deux organisations terroristes ont étendu leurs tentacules meurtriers aux pays côtiers d’Afrique de l’Ouest, avec une augmentation des attaques violentes de plus de 250% durant ces deux dernières années.
L’Algérie poursuit sa stratégie visant à réactiver ses réseaux africains. Des ministres et des responsables de la diplomatie sillonnent, chaque semaine, le continent noir à la rencontre des présidents et d’autres responsables, à l’effet de renouer le contact en vue de relancer la coopération abandonnée, parfois, pendant plusieurs décennies.
Selon les estimations de l’Energy Research Unit, la production algérienne de pétrole devrait se maintenir à 908.000 barils par jour jusqu’à la fin 2025 en raison d’un assouplissement progressif des réductions de l’OPEP+ jusqu’à la fin de l’année.
Le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies (CDC Afrique) a mis en garde contre une recrudescence préoccupante des urgences sanitaires sur le continent, marquée par plus de 200 épidémies signalées en 2024.
S’agissant de l’Afrique de l’Est, si la transformation numérique des secteurs de la finance, de la santé, de l’agriculture et du transport a contribué à l’accroissement de la productivité, celle-ci demeure inégalement répartie ; l’offre de compétences numériques à vocation intermédiaire et avancée allant de pair avec une forte concentration sectorielle.
Résumé. La loi sur la croissance et les opportunités en Afrique (AGOA), dont la mise en œuvre remonte à 2000, a été déterminante pour favoriser le développement des relations commerciales entre les Etats-Unis, qui détiennent 24% du PIB mondial pour 4% de la population mondiale et l’Afrique subsaharienne en leur permettant d’accéder à plus de 1800 produits en vue de créer des emplois et améliorer les réformes économiques.
Une enquête d’opinion réalisée par l’ONG Tournons la page (TLP), en collaboration avec le Centre de recherches internationales de Sciences Po (CERI Sciences Po, Paris), dans six pays africains livre des enseignements édifiants sur les raisons du «rejet de la France en Afrique».
Une enquête, menée par le mouvement Tournons la page et le CERI de Sciences Po., dévoile un rejet massif de la politique française en Afrique. Réalisée auprès de militants du Bénin, du Cameroun, de Côte d’Ivoire, du Gabon, du Niger et du Tchad, elle met en lumière une volonté d’émancipation et une rupture jugée irréversible avec l’influence française.