A l’échelle mondiale, environ 14% des aliments produits sont perdus entre la récolte et la vente au détail. Près d’un tiers de la part comestible des aliments destinés à la consommation humaine est perdu ou gaspillé, équivalant à environ 1,3 milliard de tonnes par an.
Le représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies à New York, l’ambassadeur Amar Bendjama, a présidé, lundi, les travaux d’une réunion de l’Assemblée générale (AG) des Nations unies, pour débattre de la représentation équitable au Conseil de sécurité et d’autres questions liées au Conseil.
L’homme politique ivoirien Konan Kouadio Siméon a salué, jeudi à Alger, le rôle prépondérant et actif qu’a joué l’Algérie dans le soutien aux mouvements de libération et de décolonisation en Afrique, sa Révolution de Libération ayant constitué une source d’inspiration pour les peuples opprimés en quête de liberté.
L'Algérie a officiellement rejoint l'initiative «1 million, prochain niveau» de l'Union africaine, hier, avec pour objectif de promouvoir des opportunités d'emploi, de formation et d'enseignement pour les jeunes Africains.
Le ministre des Affaires étrangères Hakan Fidan participe depuis hier à Djibouti à la réunion du Partenariat Turquie-Afrique, un organisme de coopération établi en 2008. Rencontre de deux jours qui permettra une fois de plus à Ankara de renforcer sa présence sur le continent aux côtés d’ex-tutelles coloniales (France, Royaume-Uni) et d’autres puissances comme la Chine, la Russie, les États-Unis, l’Inde et le Japon entre autres.
Le premier sommet Corée du Sud-Afrique de l’histoire à Séoul s’est ouvert hier à Séoul. Vingt-cinq chefs d’État et des délégations de 48 pays du continent prennent part à cette rencontre qui a pour objectif d’approfondir les rapports économiques entre l’Afrique et la Corée du Sud.
Depuis le début du XXe siècle, l’Afrique a connu pendant plusieurs décennies un déclin généralisé de la qualité des sols agricoles, un phénomène qui se poursuit aujourd’hui et qui a un impact négatif sur la capacité de production agricole et la sécurité alimentaire du continent.
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, s’est rendu dimanche en République du Kenya, en sa qualité de représentant du président de la République, pour prendre part au Sommet IDA21 pour l’Afrique.
Alors que l’e-commerce en Afrique devrait toucher plus de 83,5 millions d’utilisateurs d’ici 2029, soit une augmentation de +56%, la catégorie FinTech (secteur spécialisé dans les solutions numériques liées à la finance) qui s’ouvre au e-commerce pourrait être créateur d’environ 3 millions d’emplois sur le continent africain d’ici à 2025.
Selon l’ONS, les importations depuis le Maghreb, les pays arabes et de l’Afrique ont progressé en 2022 de respectivement 64,2%, 29,5% et 25,4%.
Invité lors d’un événement organisé par «le Groupe des ambassadeurs africains» à Doha, au Qatar, le secrétaire général du GECF a prononcé une allocution dans laquelle il a notamment mis en avant les résultats importants du 7e Sommet des chefs d’État et de gouvernement du Forum des pays exportateurs de gaz qui s’est tenu du 29 février au 2 mars, à Alger.
Ouverts hier à Alger, par la présidente de la Haute Autorité de transparence et de lutte contre la corruption, Salima Masrati, les travaux de la 12e réunion du bureau exécutif de l’Association des autorités africaines de lutte contre la corruption ont drainé de nombreux participants.
Sur le Sahara occidental, une pléthore d’opinions d’universitaires, d’experts et de diplomates dans les chancelleries occidentales, et un afflux de visiteurs dans la région, ont émergé récemment, chacun à sa manière, tous enflammés par le désir d’une «solution» au conflit.
Sur fond d’une confluence de tensions géopolitiques, notamment depuis l’éclatement du conflit armé en Ukraine, l’Europe se tourne vers l’Afrique pour sécuriser une partie de ses approvisionnements en énergie.
L’Afrique devrait compter la moitié des 20 économies à la croissance la plus rapide au monde en 2024. Si la vigueur de la reprise à la suite de la pandémie de Covid-19 et sa résilience dans le contexte actuel d’incertitude géopolitique et économique sont généralisées sur le continent, les performances économiques varient d’une région à l’autre.»
Strident coup de gueule de la Chambre africaine de l’énergie (AEC) : à peine quelques jours après la clôture de la 30e édition de l’Investing in African Mining Indaba qui s’est tenue du 5 au 8 février au Cap (Afrique du Sud), cette instance représentant la voix du secteur de l’énergie du Continent africain s’est fendue d’un sévère communiqué où elle «rejette avec véhémence la notion et l’état d’esprit selon lesquels les Africains ne sont en quelque sorte pas qualifiés pour diriger et accueillir des événements importants tels que Investing in African Mining Indaba sur leur propre territoire».
L’Organisation des Assurances africaines, présidé par le Directeur général de la Caisse nationale de mutualité agricole, CNMA, a signé une convention de partenariat avec l’Union générale arabe des assurances.
Les indicateurs économiques ne sont pas au beau fixe dans de nombreux pays africains. Idem pour les situations budgétaires qui continueraient d’être vulnérables aux chocs mondiaux.
Que serait l’Afrique si ses différents pays arrivaient à concrétiser leur intégration économique et à se fédérer autour de projets économiques concrets ? Jusque-là, les pays africains s’orientaient principalement vers l’étranger et très peu vers leur voisinage immédiat. Entamé timidement dans les années 1960, le vaste et long chantier de l’intégration du continent s’accélère désormais.
L’interaction des crises mondiales et régionales avec les faiblesses structurelles régionales existantes menace d’interrompre la reprise économique progressive de l’Afrique et entrave les développements socio-économiques.