La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, a plaidé hier pour une «nouvelle approche» à l’égard de l’Afrique, notamment sur le dossier migratoire, lors d’une visite en Tunisie, l’un des principaux points de départ de migrants clandestins vers l’Europe, rapporte l’AFP.
Les Etats-Unis vont imposer de nouvelles sanctions visant l’Iran après l’attaque lancée contre Israël le week-end dernier. C’est ce qu’a annoncé hier la Maison-Blanche, indiquant «s’attendre» à ce que ses alliés fassent bientôt de même. «Dans les prochains jours, les Etats-Unis vont imposer de nouvelles sanctions visant l’Iran, dont ses programmes de drones et missiles», son corps des Gardiens de la révolution et son ministère de la Défense, a détaillé dans un communiqué Jake Sullivan, le conseiller à la Sécurité nationale du président Joe Biden, cité par l’AFP.
Durant le règne du Shah, l’Iran et Israël ont entretenu une coopération fructueuse touchant différents domaines, comme le renseignement et les hydrocarbures. Depuis plusieurs années, les deux pays ont basculé dans une guerre larvée marquée par des assassinats, cyberattaques et sabotages, entre autres.
L’ambassadrice des Etats-Unis auprès de l’ONU s’est rendue hier à la frontière intercoréenne hautement sécurisée, exhortant Pyongyang à «s’asseoir à la table des négociations».
Les élections législatives en Inde débutent vendredi pour une durée de six semaines, la victoire apparemment inéluctable du Premier ministre nationaliste hindou Narendra Modi suscitant des inquiétudes pour l’état de santé de la plus grande démocratie du monde. M. Modi est encore très populaire après deux mandats, au cours desquels l’Inde a accru son influence diplomatique et son poids économique.
Les Etats-Unis ne «cherchent pas l’escalade» mais continueront à défendre Israël après l’attaque sans précédent de l’Iran. C’est ce qu’a déclaré hier le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken, selon des propos recueillis par l’AFP.
Nations unies au sujet du territoire contesté du Haut-Karabakh pour mener une «campagne médiatique» contre l’Azerbaïdjan, a accusé Bakou hier devant la Cour internationale de justice (CIJ).
Le président philippin Ferdinand Marcos a exclu, hier, que les Etats-Unis aient accès à plus de bases militaires dans l’archipel d’Asie du Sud-Est. Ces déclarations interviennent quelques jours après un sommet trilatéral inédit entre les Etats-Unis, le Japon et les Philippines à Washington, au cours duquel les tensions concernant la mer de Chine méridionale, que Pékin revendique presque entièrement, ont tenu le haut de l’affiche.
Les autorités militaires birmanes ont condamné hier des tirs de roquettes commis par des combattants anti-junte, qui ont tué quatre personnes et blessé douze autres, dont des élèves officiers de l’académie militaire nationale.
Le Hezbollah libanais a affirmé hier avoir activé des «engins explosifs» au passage de soldats israéliens qui ont traversé la frontière côté libanais, Israël faisant état de quatre soldats blessés, rapporte l’AFP, citant un communiqué. C’est la première fois que le Hezbollah, qui échange des tirs avec Israël depuis le début de la guerre à Ghaza il y a plus de six mois, annonce une telle opération.
Le départ annoncé du Premier ministre singapourien Lee Hsien Loong après 20 ans de mandat marque une transition significative dans la direction politique de la cité-État. Lawrence Wong, actuel vice-Premier ministre et ministre des Finances, est désigné pour lui succéder, devenant ainsi seulement le deuxième non-membre de la famille Lee à occuper cette fonction.
La déclaration du président philippin Ferdinand Marcos selon laquelle les Philippines n'ont pas l'intention d'ouvrir davantage de bases militaires aux États-Unis reflète une position ferme du gouvernement philippin sur la question de la souveraineté et des relations avec les puissances étrangères.
Les manifestations en Géorgie contre la loi sur les « agents de l'étranger » reflètent une préoccupation croissante quant à la restriction des libertés civiques et à l'orientation politique du pays. Cette législation, inspirée par des modèles russes controversés, suscite des inquiétudes quant à la liberté d'expression et d'association en Géorgie.
Dans la nuit de samedi à hier, l’Iran a mené une attaque massive avec drones et missiles à partir son territoire contre Israël. Une première, sachant qu’un conflit plus ou moins larvé de plusieurs décennies oppose les deux pays du Moyen-Orient. Hier, Téhéran a appelé Tel-Aviv à ne pas réagir militairement à son opération, qu’il a présentée comme une riposte justifiée à la frappe ayant détruit son consulat à Damas le 1er avril.
Sur un bout de gazon d’un township de Johannesburg, des militants s’égosillent devant quelques dizaines de curieux : «Nous avons besoin de nouveaux dirigeants», répètent-ils, espérant gagner des voix lors des élections prévues en Afrique du Sud le 29 mai.
Les élections législatives et régionales prévues le 29 avril a démarré samedi dans un contexte de forte tension politique, après l’adoption d’une nouvelle Constitution fin mars par l’Assemblée nationale.
Le parti du Premier ministre Narendra Modi a promis hier un code civil commun à tous les Indiens, le présentant comme crucial pour l’égalité entre les sexes, une semaine avant le début d’élections générales dans le pays. Près d’un milliard d’Indiens sont appelés aux urnes pour désigner un nouveau gouvernement au cours d’un processus de vote sur six semaines qui débutera le 19 avril, soit la plus vaste opération électorale du monde. De nombreux analystes estiment acquise la reconduction du Premier ministre Narendra Modi sous la bannière de sa formation nationaliste hindoue le Bharatiya Janata Party (BJP).
Entre 10 et 15 civils ont été tués depuis vendredi dans la région de Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo, dans de nouvelles attaques des rebelles ADF, affiliés au groupe autoproclamé Etat islamique (EI), a-t-on appris hier de sources locales.
La situation chaotique au Proche-Orient et sur les territoires occupés prend une nouvelle tournure et une énième escalade.
La récente escalade armée jeudi, en début de soirée, sur la route de l’aéroport à Tripoli, montre que le gouvernement Dbeiba n’est pas parvenu à centraliser l’autorité sécuritaire entre ses mains dans la capitale libyenne, ni à faire sortir les milices en dehors de la ville, comme il l’avait promis il y a plus de trois ans, lors de son installation au pouvoir en mars 2021.