Le Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA) est entré, samedi soir à Alger, en compétition du 17e Festival national du théâtre professionnel (FNTP), avec Aqd El Djouhar (le collier de perles), une épopée historique qui a plongé le nombreux public présent dans les profondeurs de l’histoire.
L’Indonésie poursuit un processus de rapatriement complet des œuvres culturelles pillées durant la période coloniale. À la mi-décembre, 828 objets avaient été restitués par les Pays-Bas, selon l’Agence indonésienne du patrimoine.
Le château classé au patrimoine de l’Unesco, longtemps disputé par les rebelles et les forces de Bachar el-Assad, a subi d’importants dégâts. Avec la chute du régime, son directeur espère maintenant récolter les fonds nécessaires pour le restaurer.
Le Haut-Commissariat à l’amazighité a élaboré un riche programme pour la célébration nationale officielle de Yennayer 2975-2025 dans la nouvelle wilaya de Timimoun, qui sera parée de ses plus beaux atours pour accueillir de manière grandiose cet événement.
On ne peut pas évoquer l’âge d’or du cinéma algérien dans les années 1960 et 1970, ayant vu la production de chefs d’œuvre du 7e art, sans citer le célèbre duo «Inspecteur Tahar-l’Apprenti», incarné par les regrettés Hadj Abderrahmene et Yahia Benmabrouk.
L’artiste photographe Rachid Ayadi revient sur la scène artistique avec une collection de photographies intitulée «L’âme dans le flou». Cette série de clichés en couleurs se décline sous la forme d’un ballet dans lequel des silhouettes filiformes évoluent dans un univers musical. Les gestes sont gracieux. Les mouvements des corps sont synchronisés.
Le burnous algérien, un habit tissé depuis plusieurs générations à travers certaines régions du pays, souvent par les femmes pour habiller les hommes, est un habit traditionnel chargé de symboles qu’il faut préserver et promouvoir, ont souligné les participants au 5e festival du burnous de Halli Ali, dans la commune d’Assi Youcef, au sud-ouest de Tizi Ouzou.
La 13e édition du Festival culturel national de la musique hawzi s’est clôturée mercredi dans la soirée au palais de la culture Abdelkrim Dali d’Imama, dans une grande ambiance.
La pièce de théâtre Adh’ghath, une comédie aux traits burlesques sur l’importance de préserver la cellule familiale, fondement d’une société saine et d’un pays prospère, est entrée, jeudi soir à Alger, en compétition du 17e Festival national du théâtre professionnel (FNTP), devant un public relativement nombreux.
La chanteuse Dulce, une des voix les plus puissantes de la musique mexicaine, interprète de ballades comme Déjame Volver ou Ta poupée, est décédée mercredi à 69 ans des suites de complications liées à une opération pulmonaire, a annoncé sa famille.
Bapsi Sidhwa, autrice pakistanaise de romans sur la partition des Indes britanniques, est décédée mercredi à 86 ans à Houston, au Texas, dans le sud des Etats-Unis, a fait savoir sa fille à l’AFP. Née le 11 août 1938 au sein d’une famille parsie de Karachi, Bapsi Sidhwa a grandi à Lahore, ville située à la frontière indienne où se déroulent nombre de ses romans.
La fin de l’année est toujours propice aux bilans, la littérature aussi, car en chaque livre, c’est une somme d’expériences qu’il nous est donné de lire et de méditer.
Le 6 décembre, le chanteur constantinois Salah Rahmani a tiré sa révérence à l'âge de 81 ans. Issu d’une famille où la passion musicale, initiée par son père, a réuni toute la fratrie. Il en fut le premier, dès le début des années soixante, à se démarquer sur la scène artistique en tant que chanteur. Dans la continuité d’un Abdelmoumen Bentobbal, il s’imposa comme garant d’une approche musicale fondée sur la fidélité d'exécution et le raffinement esthétique. Avec son départ, une page se tourne, marquée par la rigueur d’un style d'interprétation purement constantinois hérité des chouyoukh et s’éloignant des exigences commerciales.
La onzième édition du Salon national des arts plastiques, dédiée à la mémoire du célèbre artiste peintre M’hamed Issiakhem, a été clôturée, hier, à la maison de la culture d’Azazga, dans la wilaya de Tizi Ouzou. Il s’agit d’une rencontre qui a regroupé une quarantaine de participants aux activités figurant dans le programme de cette manifestation organisée par la direction de la culture et des arts de la wilaya de Tizi Ouzou.
Des spectacles artistiques variés ont été présentés, mercredi soir, à la maison de la culture «Abi Ras Ennaciri « de Mascara, au grand plaisir du public présent, dans le cadre de la manifestation nationale «Caravanes de la mémoire», organisée par l’Office national de la culture et de l’information.
Les journées nationales du théâtre de marionnettes se sont ouvertes, mardi après-midi à Annaba, avec des spectacles et activités pédagogiques bien accueillis par les enfants venus nombreux avec leurs parents à la maison de la culture Mohamed Boudiaf du centre-ville.
Avant théâtre, un spectacle de théâtre épique basé sur les expressions chorégraphiques, a été présenté mardi à Alger en compétition officielle du 17e Festival national du théâtre professionnel (FNTP).
Le rideau est tombé sur les Journées internationales de la marionnette et le théâtre d’objets à Constantine, laissant derrière elles un écho vibrant et des souvenirs enchantés.
Le coup d’envoi de la 15e édition du Festival culturel national de la musique gnawa a été donnée lundi soir au stade municipal d’Ain Sefra, dans la wilaya de Naâma, avec la participation d’environ 18 groupes artistiques de différentes wilayas du pays.
La scène culturelle algérienne vient de perdre une énième plume, et pas des moindres. Boudaoud Amier, l’enfant prodige de Aïn Sefra (Naâma) nous quitte prématurément à l’âge de 64 ans.