Le ministère de la Communication a édité une publication spéciale sur les cycles de formation qu’il a organisés au profit des journalistes en 2024.
Adepte du «stop motion», une technique d’animation image par image, Tim Burton intègre Disney grâce à une bourse et y use ses premiers crayons. Il est l’une des petites mains qui travaille sur le dessin animé Rox et Rouky (1981).
Venise est plus que jamais la destination de rentrée du tout-Hollywood : Angelina Jolie, Nicole Kidman, Brad Pitt, George Clooney ou la jeune Jenna Ortega sont attendus à partir de mercredi à la Mostra, où brillera aussi Lady Gaga, à l’affiche du nouveau «Joker».
Les Rencontres cinématographiques de Béjaïa et Fianso lancent la «Bourse Zermani» à destination des auteurs de premier long métrage de fiction résidant en Algérie.
Un document, une œuvre rare, qui nous ouvre les portes des forteresses, particulièrement du vieil Oran Sid E Houari. Une thèse remarquable, certifiée par des professeurs émérites espagnols.
Francis Ford Coppola, Michael Douglas, Natalie Portman... Le festival du cinéma américain de Deauville, en Normandie, qui révèle depuis un demi-siècle les futurs talents du cinéma outre-Atlantique accueillera en septembre une farandole de stars pour souffler ses 50 bougies.
Après une vie sous les projecteurs, c’est dans l’intimité que famille et proches d’Alain Delon lui ont rendu un dernier hommage samedi, lors d’une cérémonie religieuse célébrée dans sa propriété de Douchy, dans le centre de la France, où ont afflué une centaine d’admirateurs.
La nouvelle directrice du Festival du cinéma américain de Deauville, en France, a annoncé que le trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf ne faisait plus partie du jury, en raison d’un «malaise dans l’équipe» en lien avec la vague îMeToo.
Aude Hesbert, la nouvelle directrice du Festival du cinéma américain de Deauville, a annoncé que le trompettiste Ibrahim Maalouf ne ferait plus partie du jury de la 50e édition du festival, en raison d'un «malaise dans l'équipe» lié à la vague #MeToo.
L'humour, le comique, la dérision, genre cinéma qui fonctionne encore, surtout en Algérie. Après plusieurs essais, l'Algéro-Hollandais Hakim Traïdia va tourner un remake de l'inénarrable Inspecteur Tahar, entre la Hollande et l'Algérie, début du tournage en septembre. Retour sur ce phénomène de société.
Patron de la première agence de casting créée en 2008 avec son épouse pour les professionnels du cinéma, l’une des rares dans le pays, il est aussi dans le cinéma, assistant réalisateur et directeur de casting. A la tête de woojooh et ses têtes d’affiche, Lyes Salem, Adila Bendimered, Khaled Benaïssa et la nouvelle génération d’acteurs, Ali Namous, Idir Benaïbouche, Imène Noël, Rym Takoucht ou encore Lydia Larini qui vient d’obtenir deux distinctions internationales. Lien : agence-woojooh.com
La Palestine sera présente à la 97e édition des Oscars en 2025 avec le long métrage From Ground Zero.
Dar El Bachtarzi, un lieu ainsi rebaptisé, chargé d’histoire qui avait servi depuis les années 1920 de local de répétitions à Mahieddine Bachtarzi et El Hadj M’Hamed El Anka, a rouvert ses portes, vendredi à Alger, avec un concert inaugural animé par le chanteur andalou Mahmoud Hadj Ali.
L’artiste algéro-belge Hamsi Boubekeur exposera du 19 septembre au 9 octobre prochains sa dernière collection de tableaux intitulée «Motifs tissés».
Lee Festival international du film de Busan (BIFF) en Corée du Sud, le plus grand d’Asie, rendra hommage en octobre à titre posthume à l’acteur Lee Sun-kyun, célèbre pour son rôle dans Parasite, ont annoncé les organisateurs hier.
Le public de Batna s’est montré particulièrement réceptif à la pièce El Khotwa El Akhira (Le dernier pas) du Théâtre national professionnel de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), présentée mercredi soir sur la scène de la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa.
Le théâtre de verdure M’cheddou Salah de la ville de Bouira abrite depuis jeudi soir les journées nationales de la comédie «One man show» et du rire avec la participation d’artistes humoristes, a-t-on appris de la maison de la culture Ali Zaâmoum.
Est-il, en littérature, des œuvres essentielles et celles accessoires ? Difficile question en ces temps bouleversés, où l’insoutenable légèreté des êtres, dont média et réseaux sociaux sont les caisses de résonances, tirant notre quotidien vers le bas, constitue l’étalon-or du préjugé érigé en jugement.
Les travaux de la première édition des Journées «Le prix de la liberté» ont débuté, jeudi à la Maison de la culture «Abi Ras Ennaciri» de Mascara, dans le cadre de la commémoration de la Journée nationale du Moudjahid.
Au -delà de mes rêves, une œuvre romanesque, synonyme d’un monde meilleur qui se dessine sur la toile en fêlures d’une réalité saignant l’amertume du présent, tout en pansant les blessures du passé, mais en nourrissant aussi ses cicatrices de la sève de la postérité pour un éternel souvenir sur le chemin du futur.