Le wali de Tipasa, Aboubakr Esseddik Boucetta, semble avoir fait le pari de lever les entraves qui bloquent l’investissement et la production au niveau de sa wilaya. Les responsables des deux unités de production, l’une de médicaments et l’autre de biscuits, implantées à Oued Bellah, après avoir été reçus au bureau du chef de l’exécutif de la wilaya, ont été ainsi surpris de le voir débarquer chez eux de façon inopinée. Le but du wali de Tipasa était visiblement de s’enquérir personnellement de la situation de ces entreprises et de voir en quoi il pouvait les aider à s’épanouir. Ces deux usines sont opérationnelles depuis plus de deux décennies.
Un village composé de maisons similaires à celles de la vie réelle, où les enfants orphelins évoluent dans un environnement sociale sain et favorable à leur épanouissement.
Cette exposition ayant pour slogan «Des femmes qui relèvent le défi», propose des produits alimentaires sains, des objets confectionnés minutieusement de la manière traditionnelle et avec des produits nobles.
Des associations de quartiers se mobilisent pour améliorer le cadre de vie, notamment dans les nouvelles cités. La plantation d’arbres et l’entretien de la verdure sont devenus parmi les préoccupations majeures des résidents, qui ne supportent plus de voir les espaces verts entourant leurs habitations, laissés en jachère. C’est pourquoi, de plus en plus de citoyens s’organisent pour veiller à la beauté de leur lieu de résidence.
La présidente de l’Assemblée populaire de wilaya (APW) d’Alger, Nadjiba Djilali, a présidé une cérémonie organisée en l’honneur de femmes de différents secteurs d’activité à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes (8 mars).
Les branchements illégaux au réseau de l’alimentation de l’eau potable (AEP) continuent d’impacter la qualité de distribution de l’eau à travers les ménages de la capitale. Ce constat a été fait récemment par les responsables de la Société des Eaux et d’Assainissement d’Alger (SEAAL).
Les habitants du quartier Hassan Badi ex-Belfort dans la commune d’El Harrach déplorent l’absence d’hygiène dans leur quartier. «Les agents de Netcom balayent certaines rues, particulièrement celles qui se trouvent sur l’axe principal, en l’occurrence la rue dite des téléphones portables.
La ferme «Santouhi», dans la localité de Heuraoua, a été raccordée au réseau de gaz de ville, apprend-on au niveau local.
A quelques jours de la rentrée scolaire, les commerces qui changent d’activité pour la circonstance se multiplient d’une manière déconcertante.
Les recommandations émises à l’issue du séminaire régional sur la ‘‘cybercriminalité’’ organisé, jeudi à la salle de conférences de la wilaya de Blida, ont été particulièrement axées sur les moyens de réduire les crimes cybernétiques, notamment à travers l’intensification des efforts pour l’ancrage d’une prise de conscience à l’égard de l’usage des nouvelles technologies, avec l’implication des médias, qui peuvent jouer un rôle important en la matière.
Des automobilistes préfèrent stationner leurs véhicules dans des parkings payants aménagés au niveau de certaines gares de train et à proximité de bouches de métro. Un bon réflexe susceptible d’atténuer la pression sur le centre d’Alger et bien d’autres grands centres urbains.
La localité de Belkalem relevant de la commune de Rouiba continue de souffrir de multiples problèmes de commodités. Profitant pourtant du programme de prise en charge des zones enclavées, cet ensemble de lotissements accuse un grand problème d’AEP.
La cité Cosider est ceinturée par des vendeurs informels qui s’y sont installés durablement. Les commerçants informels continuent d’occuper les moindres espaces attenants aux immeubles. Les accès à la cité sont obstrués par les étals de ces marchands qui ont élu domicile durablement dans les entrailles de la cité.
La commune des Eucalyptus est envahie ces derniers jours, par des canidés errants. Dès la tombée de la nuit, la population est soumise à un «couvre-feu» à cause du déplacement de meutes qui écument la cité.
Les jeunes de Mouatsa se tournent vers les localités qui dépendent de la wilaya de Boumerdès.
Au lieudit SNTR dans la commune de Bordj El Kiffan, une intersection mal aménagée est derrière la formation d’interminables embouteillages.
A l’est de la capitale, plusieurs structures dédiées au commerce de proximité ne sont pas exploitées. Réceptionnées il y a quelques années pour certaines d’entre elles, ces structures sont livrées à la dégradation.
A la cité Diplomatique dans la localité de Dergana, les déchets envahissent les moindres recoins de la cité, lui conférant des allures de décharge publique. A proximité des carrés d’immeubles, des bacs entreposés par l’APC de Bordj El Kiffan débordent d’ordures.
Les piétons qui traversent la chaussée à proximité de la cour d’Alger mettent leur vie en danger. Plusieurs accidents se sont produits dans cet endroit qui a pris une réputation «de route très dangereuse».
Un projet pilote de tri et de récupération des déchets a été lancé jeudi au niveau du port d’El-Djamila en présence de la ministre de l’Environnement, Samia Moualfi, de cadres du ministère de la Pêche et des Productions halieutiques ainsi que des représentants de l’Institut coréen de l’industrie et technologie de l’environnement (Keiti).