L’ancien ministre de l’Energie, Abdelmadjid Attar, qui gère aujourd’hui son propre cabinet d’études et de conseil dans les domaines de l’énergie, l’hydraulique et l’environnement, évoque dans cet entretien le rôle de l’Algérie dans la garantie de la sécurité énergétique des pays européens.
L’expertise proposée par la CAPC, présidée par Mohamed Sami Agli, estime qu’«un changement de cap est nécessaire». L’idée, propose-t-elle, est «de mettre en ligne de mire la balance commerciale en lieu et place du taux d’intégration».
«Le challenge est d’attirer de nouveaux opérateurs polonais en Algérie, qui est intégrée dans l’agenda des pays attractifs du gouvernement polonais», affirme la chargée d’affaires, Niemier-Pawlowska Ewa.
C’est aujourd’hui que doit se tenir un Conseil des ministres entièrement consacré à l’avant-projet du code des investissements.
L’avant-projet de loi sur l’investissement sera examiné jeudi prochain lors d’un Conseil des ministres qui lui sera exclusivement consacré. Opérateurs économiques nationaux et étrangers l’attendent depuis belle lurette.
Dans cet entretien, M. Achir analyse la dernière décision d’interdire les exportations de produits alimentaires, son impact sur l’économie et son opportunité. Selon lui, il y a absence d’une véritable stratégie d’exportation. Il s’agit d’«une gestion quasiment au jour le jour du commerce extérieur à travers des décisions disjonctives et non suffisamment maturées et concertées».
Le président de la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC) parle dans cet entretien des blocages qui empêchent la relance de l’économie nationale, aborde les retards dans la mise en place des lois qui encadrent l’économie et demande à placer l’entreprise au centre de toutes les préoccupations
En dépit des réformes menées à maintes reprises, la logique rentière et distributive prend toujours l’ascendant sur la logique productive.
Crise économique, Covid-19, augmentation des prix des matières premières et du transport... quel l’impact tout cela a-t-il produit sur votre filière ? La crise sanitaire de la Covid-19 est une crise mondiale, avec des conséquences économiques et politiques qui ont véritablement impacté les relations internationales avec des changements dans le fonctionnement du commerce et de l’industrie de tous les pays.
Mohamed Achir, professeur d’économie, estime que l’économie algérienne nécessite un redressement profond, une refondation économique et institutionnelle et une vision globale à long terme susceptible de construire un nouveau modèle de développement économique et social affranchi de la rente, performant et ouvert à l’horizon 2030, dans lequel seront justement définis les étapes, les moyens et ressources à mobiliser, les secteurs d’activité et les objectifs de croissance. D’après lui, ce n’est qu’à travers une planification stratégique que nous pouvons mettre un terme à l’instabilité de la décision économique, aux mesures incohérentes, disjonctives et même contre-productives. Entretien.
Le président du Syndicat national du patronat citoyen du numérique et vice-président CAPC en charge du numérique revient sur les dernières décisions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, relatives à la détaxation de l’achat en ligne pour les particuliers et les startup. Il parle de l’impact de ces mesures sur les entreprises, mais aussi des entraves auxquelles ces dernières sont confrontées.
364 entreprises ayant bénéficié d’autorisations exceptionnelles ont déjà commencé à travailler. Ahmed Zeghdar a indiqué que 50 sociétés publiques à l’arrêt depuis longtemps, et 40 autres ayant des problèmes de financement seront redynamisées.
«Les dernières perspectives de l’économie mondiale du FMI anticipent donc que si Omicron pèsera sur l’activité au premier trimestre 2022, cet effet s’estompera à partir du deuxième trimestre».