Pour la première fois à l’échelle nationale, le thème des cancers professionnels est abordé d’une manière plus pragmatique par la direction de la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS).
Les commerçants du marché couvert Boumezzou sollicitent la visite du wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda, qui sera présent sur les lieux à l’occasion de l’inauguration de la place de la Révolution, prévue pour le 1er novembre, dans le cadre des célébrations du 69e anniversaire de la Révolution, comme cela a été annoncé par la direction de l’urbanisme, maître de l’ouvrage pour cette opération.
Forte de ses nombreuses infrastructures hôtelières, dont le nombre a nettement augmenté, ces dernières années, en raison des investissements importants consentis par des opérateurs locaux et nationaux, la wilaya de Sétif, qui demeure un carrefour stratégique entre les quatre régions de l’Algérie, est en passe de devenir un véritable pôle touristique.
Les travaux de réhabilitation de la gare routière Mohamed Boudiaf de la ville de Skikda tardent à être lancés, alors que l’infrastructure se trouve dans un état de dégradation déplorable. Une situation qui dure depuis des années et continue de susciter encore la colère des usagers.
Jeudi dernier, les services de la police de l’urbanisme et de la protection de l’environnement (PUPE) ont assisté les agents de la commune de Constantine dans une campagne contre le squat de la voie publique.
Organisé par le group Sunflower communication en partenariat avec l'Association nationale des exportateurs algériens (Anexal) et la Chambre de commerce et d'industrie Rhumel de Constantine, le Salon international Agrest-Expo, dédié à l’agriculture et à l’industrie agroalimentaire, organisé pour la deuxième fois dans la capitale de l’Est, a prouvé qu’il demeure une très bonne opportunité pour réaliser des partenariats gagnant-gagnant, et un espace pour la promotion de projets innovants initiés par des compétences issues des universités algériennes.
Nul être humain, avec tout ce que l’humanisme porte comme valeurs, ne peut rester insensible à ce qui se passe à Ghaza depuis le 7 octobre. La guerre menée par l’armée israélienne contre les civils palestiniens a pris, désormais, les allures d’une campagne d’extermination totale, face au silence complice des pays occidentaux, au mutisme des régimes arabes et l’incapacité du Conseil de sécurité de Nations unies.
La colère a atteint son comble au CEM Toufouti Rabah, situé au site de Retba dans la commune de Didouche Mourad à environ 20 km de Constantine.
Le complexe Zenith de la ville de Constantine sera au rendez-vous à compter du 26 octobre et pour quatre jours avec la deuxième édition du Salon international Agrest-Expo. Selon un communiqué diffusé par les organisateurs, l’événement sera tenu sous forme de deux grands pavillons, dont l’un sera réservé au secteur de l’agriculture et le second pour celui de l’agroalimentaire.
La plateforme numérique Narakom, présentée hier devant la presse, servira à informer sur des dossiers de corruption dans un cadre fiable, sécurisé et assurant la confidentialité des documents, grâce à une inscription avec mot de passe.
Cela fait 16 ans que des souscripteurs au projet de 40 logements dans la formule du LSP (Logement social participatif), réalisé à la cité El Yasamine, dans l’UV13 d’Ali Mendjeli, commune d’El Khroub, wilaya de Constantine, attendent de réaliser leur rêve d’avoir un foyer pour leur famille. Un projet devenu pour eux un véritable cauchemar.
Alors que le boulevard de Djebel Ouahch dans la banlieue nord de la ville de Constantine est au centre de l’intérêt des autorités de la wilaya pour en faire une belle vitrine pour le chef-lieu, puisqu’il est l’un des accès depuis l’autoroute Est-Ouest, avec toutes les commodités nécessaires, juste derrière et à quelques encablures seulement, la cité Ziadia, avec toutes ses artères, ses immeubles, ses écoles et ses commerces sombre toujours dans l’obscurité depuis six mois.
En application des décisions du président de la République lors du Conseil des ministres du mois de septembre dernier, les services agricoles de la wilaya de Mila viennent de mettre au point la liste des agriculteurs bénéficiaires de la gratuité des semences et des engrais, en prévision des préparatifs de la nouvelle saison agricole.
La région de Bir El Ater, dans la wilaya de Tébessa, a toujours été un foyer de contamination à la brucellose plus connue par la fièvre de Malte, en dépit de toutes les mesures prises par les services concernés.
Le wali de Jijel, Ahmed Meguellati, s’est rendu tôt dans la matinée d’hier vendredi, dans les régions affectées par des incendies de forêt, qui se sont déclarés dans la journée de mercredi 18 octobre, et dont les opérations d’extinction des derniers foyers se poursuivaient, hier, après la maitrise de la plupart d’entre eux grâce à la mobilisation d’importants moyens des services de la Protection civile et de la Conservation des forêts, avec des renforts venus des wilayas de Mila et de Constantine.
La ville de Bordj Bou Arréridj vient d’accueillir le 15e Congrès national de la formation médicale continue, qui s’est déroulé les 18 et 19 octobre à la résidence de la wilaya.
La manifestation, qui a vu la participation de 140 exposants, sera marquée par la signature d’une soixantaine de conventions de partenariat.
La saison agricole qui vient de s’écouler a été l’une des plus mauvaises en Algérie depuis les années 1990. La sécheresse a provoqué des conséquences sans précédent en matière de production de céréales, mais aussi de légumineuses et d’aliment de bétail, ce qui a largement impacté aussi les productions animalière et laitière.
Les sorties inopinées du wali de Skikda, Houria Meddahi, dans les établissements de santé ne cessent de révéler de nombreuses défaillances de gestion et de fonctionnement.
Bien des choses ont été dites sur la relation qu’entretiennent les Algériens avec le livre, et la lecture en général. Un sujet qui continue de susciter les débats. Durant des décennies, on s’est posé la question, devenue lancinante : «Les Algériens lisent-ils ?» Est-ce qu’ils le font souvent ou seulement durant le Salon international du livre d’Alger ? Le SILA est-il un baromètre pour mesurer l’importance et l’impact de cet intérêt ?