Huit individus constituant une bande organisée dans le commerce de psychotropes, kif et boissons alcoolisées ont été arrêts au niveau du chef-lieu de wilaya.
Bien que l’automne s’installe peu à peu et que les écoliers ont repris le chemin de l’école, les noyades n’ont pas cessé, tous les estivants n’ayant pas déserté les plages. Ainsi, un baigneur a disparu depuis jeudi dernier.
Ce qui émerge peu à peu d’un flot d’images gorgées d’une violence inouïe, à force d’une spectacularité extrême, c’est l’insistance non sur la témérité des combattants turcs mais sur une bestialité qui leur est prêtée par leurs gestuelles et leurs hurlements de fauves.
Parlant du métier d’écrivain en réponse à un aspirant à l’écriture romanesque : «Vous avez dit que n’importe qui peut écrire. Cela est juste car ce qui est véritablement le propre de l’homme, ce n’est le rire selon l’adage, mais écrire. L’animal ne peut pas écrire mais peut rire. Maintenant, il faut que l’État s’investisse. Mais c’est aussi à nous de créer notre monde et de nous imposer.»
Salle de spectacle devenue l’une des plus prestigieuses de Paris, le Cabaret Sauvage vaut aussi par son créateur, Méziane Azaïche, un Algérien. D’ailleurs, dans L’olivier sauvage, le succulent documentaire qui est consacré à cet antre de la fête, ce fabuleux personnage lui a ravi la vedette.
Les images d’archives insérées, comme à brûle pourpoint, sont là pour rappeler que l’on n’est pas en mode fiction.
Le commissaire du FNLCF n’a pas le sourire gêné qu’il présentait à ses hôtes, par devers lui, l’année passée. Pour cette 6e édition, les moyens, qui ont permis à Abdelkrim Moulay de l’organiser, n’ont pas été aussi chiches. Le sponsoring des entreprises locales, le soutien de la wilaya ainsi que celui de l’ONDA les ont requinqués.
Asma Cheikh, dont nous avons loué la remarquable qualité de jeu dans «Nostalgia» (El Watan du 22 juin 2023), vient de décrocher le prix de la meilleure comédienne à la 30e édition du Festival international du Théâtre expérimental du Caire à laquelle le Théâtre du Point-Oran représentait l’Algérie.
Du 13 au 17 septembre, le Festival de cinéma et de littérature de Saïda (FNCLS) revient. Il promet de bons moments cinéphilo-littéraires, au regard de son alléchante affiche.
Selon les statistiques établies par la Protection civile, cet été a été très nettement moins meurtrier, soit 3 décès, comparativement à la saison estivale 2022 qui en a enregistré treize, et cela bien qu’il s’est produit presque le même nombre d’accidents sur les routes, respectivement 332 contre 338.
Une vaste descente sur toutes les plages de la wilaya de Aïn Témouchent,effectuée de 20h jusqu’à 6h du matin, a été opérée par la gendarmerie dans le cadre de la lutte contre le commerce illicite des stupéfiants.
Durant les dix derniers jours, spécialement le week-end, quatre personnes sont mortes dont trois par noyade en mer.
Les éditions Bel Horizon ont publié récemment un beau livre intitulé Oran méditerranée signé par Kouider Métayer.
La fréquentation des 80 km de littoral témouchentois a atteint le nombre de près de 2 millions, exactement 1 915 850, selon les estimations effectuées au quotidien par la Protection civile, entre le 1er juin et le 2 août, depuis l’ouverture de la saison estivale.
De nouveau, des estivants ont perdu la vie, cette fois non pas à cause des flots, mais de s’être installés de trop près au bas des vertigineuses falaises qui entourent l’immense plage de Sbiat, dans sa partie ouest, à un endroit appelé Le Puits, interdit à la baignade et connu pour les éboulements qui s’y produisent.
Le plaisir de la baignade en mer et malheureusement la pendaison ont chacun emporté une vie. Dans le deuxième cas, ce samedi, c’est encore en zone rurale qu’a été enregistré le macabre acte, cette fois sur le territoire de la commune côtière de Bouzedjar.
La saison estivale bat son plein le long des 80 km de littoral témouchentois. Ce ne sont pas que les résidents des wilayas de l’intérieur du pays et du Sahara mais aussi ceux très nombreux des grandes voisines, Oran, Tlemcen et Sidi Bel Abbès.
Hamida Aït El Hadj, dramaturge et formatrice de comédiens à l’ISMAS, s’est illustrée à la faveur de la 4e édition du Festival du film arabe de Casablanca en décrochant le prix d’interprétation féminine pour «la puissance de son jeu», selon le jury, dans El aïla, le dernier long métrage de Merzak Allouache.
Contrairement à ce qui a été supputé dès l’annonce de l’incendie près du village de Siga, ce n’est pas le braséro d’une grillade qui l’a provoqué, les campeurs d’après l’Aïd étaient nombreux, mais un des trois câbles électriques tombé d’un pilonne.
l Le recours à la langue arabe classique a toujours été problématique dans le théâtre algérien, depuis ses premiers balbutiements à aujourd’hui, pour des raisons généralement extra-théâtrales et extralinguistiques.