La brigade de lutte contre la migration clandestine et le trafic des êtres humains de la sûreté de wilaya, en collaboration avec les gardes frontières du port de Béni-Saf, a fait avorter une tentative d’émigration clandestine par voie maritime.
Solidement diplômé, Abdellaoui Cheikh devient enseignant de musique. Sauf que, nullement carriériste pour un sou, il papillonne successivement entre diverses institutions en différentes villes.
Le 1er octobre coïncidant avec le jour du lancement officiel de la campagne labours semailles, les esprits étaient taraudés par deux lancinantes questions, la première étant de savoir si cette année agricole sera la cinquième à être marquée par la sécheresse ?
Le jardin public du chef-lieu de wilaya s’est brusquement ébroué pour faire honneur à une semaine de floralies et de savoir-faire artisanal, lui dont la création remonte au milieu du XIXe siècle, avec la fondation de la ville.
Reçus à la veille de la rentrée universitaire au niveau du cabinet du wali, trois nouveaux étudiants aux besoins spécifiques ont été ses hôtes à une réception en reconnaissance de leurs mérites scolaires. Azzedine, 22 ans, est inscrit pour des études en psychologie. Il est atteint de cécité totale à l’instar de Bouchra Chahrazad, 18 ans, qui a choisi un cursus en droit.
Pour avoir associé le même jour la rentrée des établissements relevant du ministère de l’Education nationale et celle de l’unique école de la wilaya accueillant les sourds-muets relevant du ministère de la Solidarité ainsi que les classes spécialisées ouvertes pour les enfants aux besoins spécifiques, la rentrée des classes, cette année à Témouchent, s’est voulue symboliquement inclusive.
17 camions de gros tonnage se sont ébranlés depuis Aïn Témouchent pour s’arrêter en chemin à 450 km de là à Naâma. Cependant, une partie de ce convoi reprendra la route pour rejoindre Béchar, 250km plus loin.
La brigade de lutte contre le commerce illicite de stupéfiants et de substances psychotropes de la Sûreté de wilaya a procédé à la saisie de 6,7 kg de cannabis et arrêté deux individus.
Une salvatrice opération d’amélioration urbaine concerne depuis ce mercredi l’un des plus anciens parmi les nouveaux quartiers de la ville après sa reconstruction suite au séisme de décembre 2000.
Deux affaires de trafic de stupéfiants et de psychotropes ont été conclues cette semaine par les services de police, révèle la Sûreté de wilaya de Aïn Témouchent. La première a été déclenchée à la suite d’agissements suspects d’un groupe de six individus.
Dans le but d’élever le théâtre marionnettique au rang qui lui est dû et le sortir, in fine, de son statut de «semi-professionnel», l’Association nationale des marionnettes, basée à Aïn Témouchent, annonce l’organisation, pour le mois de décembre prochain, des Journées théâtrales internationales dédiées à cet art.
Clôturée dimanche dernier, la 14e édition du Festival de théâtre de marionnettes, qui s’est tenue dans la wilaya d’Aïn Témouchent, a permis à plusieurs troupes de marionnettistes de faire découvrir au public leurs nouvelles pièces.
Pour cette saison estivale, dont le coup d’envoi a été donné samedi dernier, ce sont 17 plages dans la wilaya d’Aïn Témouchent qui sont autorisées à la baignade sur les 25 existantes l Cette même wilaya recense pas moins de 42 structures hôtelières totalisant environ 7000 lits.
Pour être rentabilisé, le considérable parc de moissonneuses- batteuses de la wilaya, soit 632 unités, devra presqu’en totalité se redéployer en d’autres régions, le temps de la campagne de moissons battages qui, à Témouchent, a été lancée lundi. En effet, en raison de l’extrême sécheresse qui y a sévi, la céréaliculture a subi un catastrophique sinistre de l’ordre de 85% sur les 69 697 ha emblavés.
A travers un communiqué qui nous a été adressé, le Palestine Film Institute (PFI), sis à Ramallah en Palestine occupée, annonce sa participation au principal Festival de documentaires du Royaume-Uni qui se tient du 12 au 17 juin à Sheffield, ville située au nord de l’Angleterre.
La Journée nationale de l’artiste a été célébrée de façon originale, cette année à Aïn Témouchent, en ce sens qu’il s’était agi d’une «lemma» (retrouvailles) à l’occasion de laquelle des artistes de différents bords et disciplines se sont retrouvés dans une ambiance chaleureuse et fraternelle.
Forcément, son auteur a sagement attendu que s’accumule en lui le nombre des années pour qu’il dépasse ses appréhensions, lui l’ancien professeur de langue anglaise, averti de ce qu’exigence littéraire signifie. Covidium, la première nouvelle qui ouvre le bal d’une dizaine d’autres, est la plus longue.
Hier, Mohamed Charfi, le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), était à Témouchent, poursuivant son périple à travers le pays afin d’évaluer le niveau de préparation des structures locales de l’ANIE, cela «au regard des dispositions de la Constitution et des lois au plan de l’organisation et de l’encadrement de l’élection présidentielle prochaine, de façon qu’elle soit à la hauteur des attentes de l’électeur».
Le quatrième jour du festival a été incontestablement celui de la cinéphilie qui s’affiche. Il a coïncidé avec le samedi, jour férié, en après-midi, où cinq courts métrages concouraient pour l’unique sacre consacré par le festival au profit de ce seul genre.
Chroniques fidèles survenues au siècle dernier à l’hôpital psychiatrique Blida, Joinville, au temps où le docteur Frantz Fanon était chef de la cinquième division entre 1953 et 1956, c’est même un avertissement à tout spectateur qui s’attendrait à voir un flamboyant et épique biopic sur Frantz Fanon auquel, d’ailleurs, Zahzah a précédemment consacré un documentaire, Mémoire d’asile, un 54 min en 2002, un genre dans lequel il excelle comme dans son superbe L’oued, l’oued.