La wilaya de Aïn Témouchent s’apprête à dépasser la gestion de la saison estivale dont l’objectif se limite à contribuer au maintien de la paix sociale dans le pays. Ainsi, sur une zone de ses 120 km de littoral, celle de Rachgoun, elle vient d’initier une démarche pilote complémentairement à la mise en place récemment d’un EPIC pour assurer la préservation et la valorisation de Layella, l’île qui lui fait face.
Le Maroc a obtenu à sa demande l’inscription du melhoun, «élément de référence incontournable de l’identité culturelle marocaine ancienne», comme patrimoine immatériel de l’humanité auprès de l’Unesco, selon des sites d’information marocains.
Dans le détail, la régression des revenus se situe concomitamment à la baisse progressive du revenu de la Taxe sur l’activité professionnelle (TAP), une taxe supprimée dans la loi des finances 2024 afin, est-il escompté d’encourager l’investissement dans le pays.
Dans le cadre de la lutte contre les délits de cybercriminalité, la brigade spécialisée de la Police Judiciaire d’Aïn Témouchent a procédé à la surveillance de deux pages Facebook.
Le dragage du port de Béni Saf, entamé en septembre dernier, doit théoriquement s’achever en fin d’année, après l’extraction d’un volume de 270 000 m3 de sable. Interrogé, le directeur des travaux publics indique que les travaux ont actuellement atteint 70% de taux de réalisation alors que de nouvelles projections ont été arrêtées afin de pousser l’extraction du sable jusqu’à 310 000 m3.
La question de l’ajustement de la formation professionnelle aux besoins exprimés en matière d’emplois par les unités économiques implantées localement, la formation par apprentissage en entreprise et l’employabilité des diplômés des centres et instituts de la formation professionnelle, ont fait l’objet d’une rencontre entre les différents partenaires concernés, à l’effet de lever les contraintes qu’elles rencontrent : exécutif de wilaya, élus, secteur de la formation et entreprises.
L’autorisation de baignade à la plage de Sidi Safi que domine le mausolée de ce saint tutélaire de la ville de Béni Saf devient enfin envisageable au grand bonheur des estivants comme de ceux qui ont pour souci la défense de l’environnement.
l C’est une première nationale par laquelle se distingue la wilaya de Témouchent en créant un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) pour assurer la préservation d’une zone protégée, en l’occurrence l’ile de Rachgoun, qui présente un triple intérêt écologique, historique et économique.
Le superbe documentaire L’olivier sauvage qui porte sur le fameux cabaret sauvage et Méziane Azaiche, son hors norme fondateur et directeur, vient de décrocher la mention spéciale du Grand Prix Kilimandjaro Documentaire de la 10e édition du festival Africlap de Toulouse.
2,100 kg de kif traité ont été saisis ainsi que l’arrestation d’un individu effectué par la brigade de lutte contre le commerce illicite des stupéfiants ainsi qu’un montant de 958 000 DA résultant de son activité criminelle.
Pour la relater, elle s’offre les services d’une aventurière qui s’y rend afin d’entamer une nouvelle vie en cet alléchant Eldorado que décrivaient les marins faisant escale en sa déshéritée Sicile. Plébéienne réduite contre son gré à l’état d’esclave sexuelle, elle vient de s’en extraire par une manigance vengeresse, gagnant une fortune et s’adjugeant, grâce à de vrais-faux papiers, un titre de noblesse et un nom kilométrique afin de mieux mystifier ses protagonistes à venir.
Après de nombreux et rocambolesques rebondissements, le hold-up sur 58 ha du domaine privé de l’Etat à Béni Saf, rapporté sur ces mêmes colonnes (El Watan du 23 avril 2014), vient de connaître un premier dénouement devant la cour de justice d’Aïn Témouchent.
Huit individus constituant une bande organisée dans le commerce de psychotropes, kif et boissons alcoolisées ont été arrêts au niveau du chef-lieu de wilaya.
Bien que l’automne s’installe peu à peu et que les écoliers ont repris le chemin de l’école, les noyades n’ont pas cessé, tous les estivants n’ayant pas déserté les plages. Ainsi, un baigneur a disparu depuis jeudi dernier.
Ce qui émerge peu à peu d’un flot d’images gorgées d’une violence inouïe, à force d’une spectacularité extrême, c’est l’insistance non sur la témérité des combattants turcs mais sur une bestialité qui leur est prêtée par leurs gestuelles et leurs hurlements de fauves.
Parlant du métier d’écrivain en réponse à un aspirant à l’écriture romanesque : «Vous avez dit que n’importe qui peut écrire. Cela est juste car ce qui est véritablement le propre de l’homme, ce n’est le rire selon l’adage, mais écrire. L’animal ne peut pas écrire mais peut rire. Maintenant, il faut que l’État s’investisse. Mais c’est aussi à nous de créer notre monde et de nous imposer.»
Salle de spectacle devenue l’une des plus prestigieuses de Paris, le Cabaret Sauvage vaut aussi par son créateur, Méziane Azaïche, un Algérien. D’ailleurs, dans L’olivier sauvage, le succulent documentaire qui est consacré à cet antre de la fête, ce fabuleux personnage lui a ravi la vedette.
Les images d’archives insérées, comme à brûle pourpoint, sont là pour rappeler que l’on n’est pas en mode fiction.
Le commissaire du FNLCF n’a pas le sourire gêné qu’il présentait à ses hôtes, par devers lui, l’année passée. Pour cette 6e édition, les moyens, qui ont permis à Abdelkrim Moulay de l’organiser, n’ont pas été aussi chiches. Le sponsoring des entreprises locales, le soutien de la wilaya ainsi que celui de l’ONDA les ont requinqués.
Asma Cheikh, dont nous avons loué la remarquable qualité de jeu dans «Nostalgia» (El Watan du 22 juin 2023), vient de décrocher le prix de la meilleure comédienne à la 30e édition du Festival international du Théâtre expérimental du Caire à laquelle le Théâtre du Point-Oran représentait l’Algérie.