Que ce soit dans les transports, notamment en commun, dans les marchés, en milieu professionnel ou lors de regroupements familiaux ou autres, la tendance globale est à la baisse de vigilance.
Fiha oualla mafihach ?, telle est la question posée à un moment par le protagoniste de la nouvelle pièce de Mohamd Adar intitulée El bahthân el haouiya (A la recherche de l’identité) produite par la coopérative Boudour et dont la générale vient d’être présentée jeudi au théâtre régional d’Oran (TRO).
Une profusion de couleurs, de senteurs mais aussi de rythmes pour garder vivante une tradition dont l’origine se perd dans la nuit des temps.
Dans le rayon réservé aux huiles de table de cette supérette située sur un des grands axes de la ville d’Oran, il restait seulement deux bidons de 4 litres hier, mais de qualité supérieure, donc plus chère. Une femme hésite avant de se décider à en prendre un, car ce n’est pas ce qui est recherché par les ménages pour la consommation courante. Il n’y a pas de pénurie à proprement parler, mais ce dérèglement est récurrent.
La première réunion de travail de la nouvelle équipe à la tête de l’APC d’Oran a eu lieu avant-hier lundi 3 janvier 2022, même si ce n’est qu’une réunion de préparation de celle devant, dit-on, se tenir aujourd’hui mercredi et devant concerner le dossier des Jeux méditerranéens.