Après l’annonce du projet l’été dernier, la production du lait infantile en Algérie passe à la vitesse supérieure. L’accord algéro-belge signé ce 15 mai est un pas majeur pour un segment dépendant à 100% des importations, en vue d’assurer les besoins de près d’un millions de nourrissons par an. En effet, l’Algérie franchit une étape décisive vers l’autosuffisance dans la production du lait infantile grâce à un partenariat sans précédent entre les entreprises algérienne Achir-Lait et belge Ninolac.
La culture du safran dans les zones montagneuses de l'Algérie s'avère être un succès économique, offrant des perspectives prometteuses pour les habitants de ces régions. Avec des conditions climatiques favorables et des coûts de production peu élevés, cette culture offre des opportunités de revenus supplémentaires pour les agriculteurs locaux, en particulier les femmes, tout en valorisant des produits dérivés, tels que les huiles, les savons et les confitures.
Le ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique a invité, hier, les PME à bénéficier d’une assistance technique sur les exigences des marchés locaux et internationaux dans le secteur de la datte.
Lancé en 2009 et relancé en 2018, le projet «e-Algérie» peine à atteindre tous les objectifs tracés. Même si l’Algérie est à 112e place dans le e-Gouvernment Development Index établi en 2022 par les Nations unies, le projet de la numérisation rencontre toujours des obstacles. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, s’est d’ailleurs plaint des lenteurs à de nombreuses reprises.
-Le processus de la numérisation a été lancé il y a déjà quelques années à travers plusieurs plateformes. Où en sommes-nous réellement aujourd’hui ? Dire que nous n’avons pas avancé serait un tort pour les ingénieurs qui ont digitalisé plusieurs services, tels que celui de l’état civil ou de la justice. Toutefois, nous sommes loin d’atteindre les véritables objectifs de la transformation numérique de l’administration publique. Nous avons des plateformes qui existent. C’est une bonne chose. Mais combien de citoyens les utilisent ? Combien de personnes les ont introduites dans leur routine de procédures administratives ? Nous avons une plateforme pour le retrait d’extrait de naissance en ligne. Peu de gens la connaissent et l’utilisent. La preuve est qu’on continue à voir des chaînes interminables devant les guichets de l’état civil. Pis encore, le manque de coordination fait que les documents retirés en ligne ne sont pas acceptés par certaines administrations qui exigent le fameux cachet rond rouge. C’est le même souci qu’on a avec le e-paiement. Selon les derniers chiffres dévoilés par GIE monétique, il n’y a que quelque 50 000 TPE opérationnels dans le pays. Nous avons plus de superettes et de pharmacies.
Véritable banque de données et statistiques de l’activité commerciale et industrielle du pays.» C’est en ces termes que le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni, a qualifié le Centre national du registre du commerce (CNRC).
Classée 4e producteur mondial de dattes, l’Algérie recèle d’importantes potentialités dans cette filière, ce qui lui permettrait d’améliorer son classement en matière de présence sur le marché international notamment pour la Deglet Nour.
Crise énergétique mondiale, réduction des émissions de gaz à effet de serre et réchauffement climatique sont les éléments qui poussent les experts mondiaux à relancer le débat sur les énergies propres. La Banque mondiale (BM) et le Fonds monétaire international (FMI) appellent à tripler les investissements, estimés aujourd’hui à plus de 1300 milliards de dinars.
Après la signature des contrats et mémorandums d’entente avec le groupe Tayal, Mango, Celio, LC Waikiki et Jennyfer commenceront la production avant la fin de ce mois.
Le Salon national des produits textiles, des vêtements et des chaussures est une opportunité pour les producteurs locaux et les ateliers de confection pour rendre compte des défis qu’ils rencontrent sur le terrain et mettre en lumière les enjeux auxquels est confrontée l’industrie textile et de l’habillement en Algérie.
La flambée des prix de la banane qui perdure depuis près d’un an inquiète les consommateurs et les intervenants dans la filière. Le kilo n’est pas cédé à moins de 800 DA. Il avait même atteint les 1000 DA l’été dernier pour redescendre à 788 DA dans les marchés de gros.
Les géants technologiques américains tels que Microsoft, Google et Meta ont pris une avance importante dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). Pris de court, les Européens espèrent se rattraper avec des IA spécialisées. L’Algérie n’est pas en reste et veut faire de cette année 2023 celle de l’intelligence artificielle.
Meta abandonne son investissement dans le Metavers pour se concentrer sur l’Intelligence artificielle, selon une lettre envoyée par le PDG Mark Zuckerberg.
Dans leur journée mondiale, les trisomiques et leurs parents ont lancé une campagne médiatique et digitale pour le reconnaissance des droits des personnes atteintes de cette maladie. Sous le slogan Lazem Tesem’ouna» (vous devez nous écouter), ces enfants et jeunes adultes réclament le droit à l’existence à part entière.
Campagne lancée il y a plus de deux années, les entreprises algériennes spécialisées dans l’industrie des boissons œuvrent à réduire le taux de sucre dans leurs produits afin de préserver la santé publique et se conformer à la nouvelle réglementation qui sera bientôt en vigueur.
Malgré les voix refusant son contenu, le projet de loi relatif à l’exercice du droit syndical a été adopté mardi, à la majorité, par les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN).
Après trois années consécutives de crise sanitaire, le marché de l’immobilier en Algérie peine à se relever. Miné par le circuit de l’informel et appuyé par la chute du pouvoir d’achat des citoyens et les difficultés économique, les agents immobiliers baissent tour à tour le rideau.
Comme convenu, le débrayage national lancé par les syndicats autonomes en signe de refus des deux projets de loi sur l’activité syndicale et le droit à la grève a bien été tenu.
Demain, plus d’une trentaine de syndicats autonomes entreront en grève nationale d’une journée en signe de contestation des deux projets de loi sur les modalités de l’exercice syndical et le droit à la grève. Une relative paralysie est promise, malgré la réponse claire du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
Rejetant le contenu des projets de loi relatifs à l’activité syndicale et au droit à la grève, les syndicats autonomes ont annoncé hier le recours à une grève nationale dès la semaine prochaine.