Selon le document exposé, hier, dans les locaux de l’Institution à Alger, les économistes en charge du dossier de l’Algérie ont mis en évidence les bonnes performances de l’économie de notre pays qui a enregistré une croissance de 3,9% au premier semestre 2024 par rapport à la même période de l’année précédente, malgré la baisse de la production d’hydrocarbures.
M. Kaoubi attire l’attention, dans cet entretien, sur l’ampleur du déficit budgétaire en 2025 qui augmente de 17% par rapport à 2024 et prévient contre «le poids des déséquilibres» alors que les finances publiques pourraient connaître des difficultés dans les prochaines années compte tenu des tendances du marché pétrolier.
Plusieurs grands pays producteurs européens dénoncent le projet d’accord de libre-échange entre l’UE et les pays latino-américains du Mercosur. Pour l’Association des agriculteurs allemands (DBV) «il est urgent de renégocier» cet accord.
En ces temps de stress hydrique, la question relative à l’assurance contre les calamités agricoles continue de faire débat. Autant dire que le dossier revêt une importance cruciale. Dans cet entretien, Cherif Benhabiles, directeur général de la Caisse Nationale de Mutualité Agricole (CNMA), revient sur les réponses que préconise son organisme aux différentes préoccupations du monde agricole.
CARE revient sur l’objectif du gouvernement d’atteindre 30 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures d’ici 2030.
Le ministre a réaffirmé l’engagement du gouvernement à développer une infrastructure financière avancée garantissant un environnement propice à l’épargne afin d’encourager les citoyens et les entreprises à épargner et faciliter les moyens d’un investissement. Le secteur des finances se dote désormais d’un observatoire national de l’épargne.
Présentant le texte de la loi de finances 2025, lors d’une séance plénière au Sénat, ce jeudi, le ministre des Finances, Laaziz Faid, a souligné que la résilience de l’économie algérienne se poursuit.
Le marché accumule des inquiétudes à l’approche de l’expiration de l’accord de transit de gaz entre la Russie et l’Ukraine, prévu à la fin de l’année, alors qu’aucun nouvel accord n’est en vue.
Les banques multilatérales de développement (BMD) porteront leurs financements climatiques en faveur des pays à revenu faible et intermédiaire à un montant total de 120 milliards de dollars par an d’ici 2030, dont 42 milliards de dollars consacrés à l’adaptation, tandis qu’elles prévoient de mobiliser 65 milliards de dollars auprès du secteur privé.
Le revenu disponible des ménages en Algérie a enregistré une «augmentation significative» en 2024 par rapport à 2019, reflétant une nette amélioration de leur pouvoir d’achat et de leurs indicateurs de niveau de vie, a indiqué Kamel Meraghni, directeur général de la prévision et des politiques au ministère des Finances.
Le département de l’Agriculture des Etats-Unis et le ministère algérien de l’Agriculture ont signé un accord «historique» autorisant l’importation par l’Algérie de vaches laitières américaines, a annoncé l’ambassade américaine en Algérie dans un communiqué.
La croissance des prix va continuer de ralentir à 2,1% en 2025 selon les chiffres publiés ce vendredi 15 novembre par la Commission européenne.
Du côté des partenaires commerciaux de l’Algérie, plus particulièrement les pays où ces filières sont bien développées, c’est la course pour arracher des parts de ce marché. Dans ce sillage, l’Office alimentaire irlandais (Bord Bia) a présenté, le 12 novembre, une offre aux opérateurs algériens dans le secteur du bétail, de la viande rouge et des ingrédients laitiers.
Malgré les changements opérés par la hiérarchie, aucun résultat concret n’a permis d’endiguer la crise. La situation de l’ENAD reflète les défis structurels que rencontrent de nombreuses entreprises publiques.
Le Palais de la culture Mohamed Boudiaf de Annaba abrite, depuis le 12 novembre, le très attendu Salon de la production nationale 2024, un rendez-vous majeur pour les acteurs économiques, industriels et universitaires d’Algérie.
L’Ecole supérieure d’agriculture saharienne d’El Oued organisera les 20 et 21 novembre 2024 la conférence internationale Technology and Innovation to Modernize Saharan Agriculture (Timsa 24) visant à mettre en évidence l’importance de la technologie et de l’innovation dans la modernisation de l’agriculture saharienne.
L’OPEP affirme que la consommation sera soutenue en 2024 par une forte demande de carburants pour le transport et une croissance économique saine et continue.
Dix-huit futures industries pourraient remodeler l’économie mondiale et générer de 29 à 48 billions de dollars de revenus d’ici 2040, a indiqué un récent rapport du McKinsey Global Institute, pour qui ces industries vont transformer le monde des affaires.
L’arrêté prévoit un abaissement progressif du seuil de consommation, concernée par la négociation libre des prix. Il s’agit 200 millions de mètres cubes de gaz naturel par année pour la période 2025-2026 ; 100 millions de mètres cubes de gaz naturel par année pour la période 2027-2028 et 40 millions de mètres cubes de gaz naturel par année à partir de 2029.
La consommation nationale d’énergie est sans cesse en croissance. Elle a augmenté de 5% à la fin du mois de septembre dernier, par rapport à la même période en 2023, selon le ministre de l’energie et des mines, Mohamed Arkab, qui s’exprimait sur le dossier fin octobre devant les députés.