La direction de la jeunesse, des sports et des loisirs de la wilaya d'Alger organise, à partir de dimanche, un concours de fresques de street-art, à l'occasion du 61e double anniversaire de la fête de l'indépendance et de la jeunesse et le début de la 15e édition des Jeux sportifs arabes, indique un communiqué de la direction.
Lors de l'audience lundi à Londres, la vidéo d'un interrogatoire de police a été diffusée. Le plaignant y décrit l'acteur comme «agressif» et à la sexualité «très perturbée».
La sculpture en pierre du pharaon vieille de 3400 ans, à laquelle appartient le fragment restitué, fait partie d'une statue de groupe où le roi est assis aux côtés de différentes divinités égyptiennes.
Après sept ans d’absence, le Festival Algé’Rire est de retour du 12 au 15 juillet au palais de la culture Moudfi Zakaria de Kouba à Alger. Un Festival qui a déjà fait ses preuves, par le passé, par la qualité de sa programmation, engendrant une affluence des plus importantes. Cette nouvelle édition est parrainée par le ministre de la Culture et des Arts.
Dans une déclaration à l’APS, M. Tlilani a précisé que ce long métrage, produit par le Centre national de l’industrie cinématographique (CNIC), sous l’égide du ministère des Moudjahidine et des Ayants-droit, a été tourné pendant deux mois dans «les wilayas de ConstantineFin du tournage du long métrage Zighoud Youcef , Mila, Skikda et Alger».
Accueilli au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (Tna), le spectacle, mis en scène par Wahid Achour sur un texte traduit par Allaoua Djeroua Wahbi du roman éponyme de Noureddine Abba, a été programmé dans le cadre du «Mois du Théâtre», organisé en célébration du Soixantenaire de l’Indépendance de l’Algérie.
Drapés et volumes époustouflants, tenues en noir et blanc, dorées et argentées : Daniel Roseberry, le styliste américain de Schiaparelli, a proposé cette saison une interprétation «surréaliste du vestiaire quotidien féminin» devant la rappeuse Cardi B, la papesse de la mode Anna Wintour ou les actrices Gwendoline Christie et Philippine Leroy-Beaulieu au premier rang du défilé au Petit Palais.
Le cinquième volet de la célèbre saga «Indiana Jones» a démarré sur les chapeaux de roues pour sa sortie dans les salles obscures en se plaçant largement en tête du box-office nord-américain, selon des estimations provisoires dimanche.
Un programme riche et varié a été dévoilé par les organisateurs pour cette 43e édition. On y retrouve autant les spectacles payants en salles que la programmation extérieure gratuite, qui sera présentée sur les différentes scènes de la Place des festivals en présence de ténors de ce genre musical.
Accueilli au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (Tna) dans le cadre du «Mois du Théâtre» organisé en célébration du soixantenaire de l’Indépendance de l’Algérie, le spectacle a été mis en scène par Karim Boudechiche sur un texte tiré de l’œuvre Il n’y a pas de hasard (1973) du regretté Djamel Amrani (1935-2005), un traitement dramaturgique de Said Boulmerka et une adaptation et traduction de Lahbib Sayeh.
Dans le cadre du programme «Culture’Kids», Artissimo propose pour cette saison estivale un «Voyage artistique», pour initier les enfants à l’histoire de l’art.
Le réalisateur Ahmed Riad a annoncé que son court métrage Zair Dalam (Rugissement des ténèbres), sera prochainement projeté dans les salles de cinéma, où son tournage vient de s’achever et est prêt à être projeté.
Dans ce cadre, l’Office national de la culture et de l’information (ONCI) organisera des spectacles artistiques et chorégraphiques lors des soirées d’ouverture et de clôture qu’abritera le Complexe olympique du 5 juillet 1962 à Alger.
Tableau emblématique du plus grand musée du monde, La Dentellière fait partie des 28 toiles du maître néerlandais qui viennent d’être exposées au Rijksmuseum d’Amsterdam lors d’une exposition-événement qui a battu des records de fréquentation avec 650 000 visiteurs en près de 4 mois.
Les toiles des pionniers de l'art moderne irakien ont disparu après la guerre en 2003. Les galeristes et les experts tentent d'endiguer un trafic de contrefaçons.
Il a été enterré jeudi dernier au cimetière de Baïnem à Alger. Redouane Tilmati, âgé de 57 ans, est décédé en ce jour de l’Aïd El Adha laissant derrière lui une famille et beaucoup d’amis en deuil. Guitariste au sein du groupe Dzaïr, un groupe de rock qui a pris naissance en 1998, pour faire une longue aventure dans la chanson.
Après une absence de six ans, le Festival international du malouf est de retour avec un nouveau commissaire, qui n’est autre que le chanteur constantinois du malouf et du hawzi notoire, Lyes Benbakir, alias Lyés Kenstini. Lors d’une conférence de presse, animée hier matin, au Palais de la culture Moufdi Zakaria de Kouba, à Alger, le commissaire Lyes Benbakir a rappelé que le Festival international du malouf est placé sous le slogan «Le malouf, la citadelle Constantine et son école authentique».
Après un long sommeil, le CADC a décidé d’ouvrir ses tiroirs, La dernière reine et La cinquième saison d’Ahmed Benkemla, puis Abou Leila de Amin Sidi Boumediène à la Cinémathèque d’Alger. Déstabilisant et stressant, comme une séquence intérieur-nuit des années terrorisme.
Réalisateur et scénariste, Amin Sidi Boumediène s’est fait connaître par l’étrange avec Al Jazira, en 2012, étrange court métrage avec l’étrange Kader Affak. Après d’autres courts métrages dont Serial K. (2014) avec toujours l’excellent Samir El Hakim, où il ébauche déjà le mouton, il réaliste Abou Leïla en 2019 qui atterrit directement en Sélection officielle à la Semaine de la critique à Cannes. Il ne parle pas beaucoup mais répond.
POÈTE ET COMBATTANT 5 mois de tournage et clap de fin pour Benkhlouf, film de Mohamed Chouikh autour des étapes de la vie du poète et moudjahid Sidi Lakhdar Ben Khlouf, maître soufi du XVIe siècle joué ici par Hassan Kechache. Fondateur des éléments essentiels du melhoun, et combattant, Bataille de Mazagran (1558) à laquelle il a participé et sur laquelle il a écrit des poèmes, de son nom complet Belkacem Lakhal Ben Abdellah Ben Khlouf El Maghraoui, considéré comme l’un des poètes algériens les plus populaires de son siècle et encore aujourd’hui, l’Algérie célèbre ce genre poétique à travers les poèmes de Ben Khlouf lors du festival du melhoun qui s’organise chaque année à Mostaganem.