L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) est profondément préoccupée par l’exode massif de civils à Ghaza, ainsi que par les informations faisant état de nouvelles évacuations vers des zones déjà surpeuplées.
La récente visite de la Rapporteuse spéciale des Nations unies, durant laquelle elle a fait part de ses préoccupations (et recommandations) concernant la situation des droits de l’homme en Algérie, a suscité une réponse favorable de la part du gouvernement.
Tous les regards, en France et en Algérie, étaient braqués, jeudi dernier, sur l’Assemblée française. Un événement important s’y est déroulé. Il s’agit du débat et du vote sur la résolution, la première du genre, visant à dénoncer l’accord conclu entre l’Algérie et la France en 1968 sur l’immigration.
Dans sa dernière livraison du mois de décembre, la revue El Djeich assure que rien n’arrêtera la marche de l’Algérie vers le progrès et la prospérité. Sous le titre «Algérie nouvelle, orientation nationale et positions honorables», l’édito de ce magazine mensuel, édité par l’état-major de l’ANP, souligne les avancées enregistrées sur tous les plans au cours des quatre dernières années, marquées par le règne du président Abdelmadjid Tebboune.
Le dossier de l’Entreprise nationale des tracteurs agricoles de Oued Hamimime (ETRAG) dans la wilaya de Constantine, l’un des fleurons de l’industrie mécanique en Algérie durant les années 1970-1980, a été rouvert, jeudi, par le wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda.
Les travaux du Sommet des ministres africains chargés des Start-up ont pris fin, mercredi dernier à Alger, avec l’adoption de la Déclaration d’Alger pour le développement des start-up, a rapporté l’agence APS.
Les investisseurs installés dans le parc industriel de Larbatache, à l’ouest de Boumerdès, ne sont toujours pas alimentés en électricité et en gaz naturel. Ce problème de taille pénalise beaucoup d’opérateurs, d’autant que ces sources d’énergie sont indispensables aussi bien pour l’entame de leurs activités que pour la réalisation de leurs projets.
Les accidents de travail dans les chantiers se multiplient en provoquant malheureusement des pertes humaines. Trois jeunes ouvriers y ont trouvé la mort, jeudi, aux alentours de 11h35, dans la wilaya de Tizi Ouzou.
La visite de Karim Khan, procureur de la Cour pénale internationale (CPI), à Tel-Aviv, à l’invitation des représentants des familles de rescapés de l’attaque du 7 octobre, et sa déclaration à l’issue des rencontres avec ces derniers ont suscité de vives réactions de nombreux militants des droits de l’homme palestiniens. Après l’avoir accusé de «partialité» et d’avoir «trahi son serment professionnel de défense des victimes», ils ont boycotté sa visite en Cisjordanie.
Qui arrêtera la folie meurtrière de l’armée israélienne contre les populations palestiniennes de l’enclave de Ghaza soumises, depuis près de deux mois, à un plan diabolique d’extermination et de terre brûlée élargi aux Territoires palestiniens occupés de la Cisjordanie ?
A travers le cas de deux opérations militaires exécutées par l’armée sioniste, en octobre dernier, à Deir El Balah, qui ont fait 43 morts au total, et que l’ONG a minutieusement documentées, Amnesty International accuse ouvertement Israël de «crimes de guerre» à Ghaza. L’organisation basée à Londres évoque également la complicité des Etats-Unis dans ces crimes.
Où aller ? Quoi manger ? Dans quel abri se protéger ? Ce sont les trois interrogations existentielles qui taraudent quotidiennement les esprits des Palestiniens dans la Bande de Ghaza. Sous le déluge de feu de l’occupant israélien qui intensifie ses attaques destructrices depuis la fin de la trêve humanitaire, des centaines de milliers de civils ghazaouis fuient la mort qui a déjà fauché 16 000 personnes, majoritairement des enfants et des femmes.
L’appui de plusieurs grandes puissances aux bombardements intensifs décidés par Israël, visant ostensiblement des populations civiles, ravivent l’accusation qui leur est adressée depuis longtemps, selon laquelle leurs politiques internationales se caractérisent par «deux poids deux mesures» ou «double standard».
Les investissements publics consentis en faveur des wilayas affichant des retards en matière de développement, notamment en ce qui concerne les infrastructures de base, viennent, faut-il le souligner, en appui des programmes destinés précédemment aux zones dites d’ombre et aux autres plans de développement des régions frontalières.
Le général d’armée Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a reçu en audience, hier au siège de l’état-major de l’Armée nationale populaire, le général de corps d’armée Mohammed Elghoul, chef d’état-major de l’Armée de terre des forces armées tunisiennes.
Dans la liste des toutes récentes mesures considérées comme «gratifiantes» pour la presse, décidées par la présidence de la République, une décision en particulier était attendue depuis longtemps par les médias parce que vitale et infiniment cruciale pour leur existence en tant qu’entreprises socioéconomiques.
L’urgence est de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Une priorité absolue pour la planète afin d’éviter que le changement climatique ne devienne incontrôlable.
Rencontré à la 28e Conférence des parties sur les changements climatiques (COP-28), qui a bouclé hier sa cinquième journée, Jean-Paul Adam, directeur de la politique du plaidoyer au conseiller spécial de l’Afrique à l’ONU, reconnaît, dans cet entretien, les particularités de la situation dans la région du Maghreb qui subit durement les conséquences du réchauffement climatique mais regrette de ne pouvoir mettre en place un mécanisme d’aide spécifique. Il souhaite que ces pays puissent bénéficier du fonds des «pertes et dommages», mis en œuvre lors de cette conférence.
L’hiver, cette saison tant attendue, s’installe progressivement. Les premiers signes de son arrivée se sont manifestés hier par le retour de la pluie et de la grisaille. Les parapluies réapparaissent dans le paysage urbain. La circulation routière était moins fluide, provoquant ralentissements et arrêts brusques.
L'Algérie et les Etats-Unis se sont engagés à renforcer leur coopération en matière de sécurité chimique, à l’issue d’un séminaire bilatéral consacré à la sécurité chimique, a annoncé, hier, l’ambassade des Etats-Unis en Algérie dans un communiqué. «Dans le cadre du partenariat américano-algérien, les deux pays ont eu, du 3 au 6 décembre à Alger, un échange bilatéral sur la sécurité chimique.