Vers la location des commerces non exploités au niveau des terminaux 1 et Ouest. Accélération des travaux de réalisation des boutiques hors taxes.
Une personne est décédée et seize autres ont été blessées, hier, dans accident de la circulation survenu sur la Nationale 1, commune de Ain Oussara, wilaya de Djelfa, selon la Protection civile.
Le théâtre régional Ahmed Benbouzid de Djelfa abritera, du 22 au 25 mai, un colloque national sur «Le théâtre et les formes de spectacles populaires en Algérie... dans les écrits des voyageurs arabes et occidentaux», a indiqué dimanche la direction de cet établissement culturel.
La Suède, représentée par la chanteuse Loreen, a remporté samedi soir le concours de l’Eurovision pour la septième fois, égalant le record de l’Irlande, lors de la finale organisée au nom de l’Ukraine par le Royaume-Uni, à Liverpool.
Plusieurs infrastructures routières et sportives seront également achevées et mises en service prochainement, selon le wali d’Alger.
Dix-sept personnes ont été blessées dans un accident de la circulation survenu samedi sur la route nationale n°11 au niveau de la commune de La Casbah.
Bologhine, une ancienne localité du Fahs algérois, établie entre mer et colline à seulement 3 km d’Alger, est la plus agréable et la plus élégante de toutes les villes côtières des environs d’Alger. La ville tire sa dénomination d’un des plus illustres personnages historiques de la dynastie Ziride, appelé Bologhine Ibnou Ziri Ibn Menad as-Sanhadji, le fondateur d’Alger vers le milieu du Xe siècle de l’ère chrétienne.
Le ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique œuvre avec les autres départements concernés à aplanir les obstacles entravant les projets d’investissements.
Ahmed Rabbani a été incarcéré dans la prison américaine pendant vingt ans sans jamais avoir été jugé. Il n'a jamais cessé de peindre tout au long de sa détention et présente ses œuvres pour la première fois à Karachi.
En grève depuis le 2 mai, les scénaristes craignent que l'intelligence artificielle ne les remplace. Le syndicat Writers Guild of America (WGA) réclame des garanties pour que les productions ne puissent pas utiliser.
Qadous (*) est le nom d‘un des plus anciens et des plus illustres quartiers mauresques du fahs algérois. Localisé à moins d'une dizaine de km de la capitale, ce dernier jouissait, d’une grande réputation pour ses vestiges romains, ses carrières de pierres ainsi que sa source d’Aïn Ezzebboudja, littéralement la fontaine de l’olivier sauvage qui jaillissait au fond d’un profond ravin. Autrefois, c’est dans ce hameau historique des environs immédiats d’Alger que les maures fabriquaient grâce aux fours traditionnels, des buses de canalisation à base d’argile connues localement sous le nom de Qadous, d’où d’ailleurs le toponyme de cette localité. El Qadous est également le nom d’un petit affluent de l’oued el Kerma qui sillonne les vallons et les vallées du Sahel algérois.
La ville de Draria est assise dans l’un des sites les plus luxuriants de la banlieue algéroise, à une altitude variant entre 190 et 205 mètres au-dessus du niveau de la mer. On dénombrait trois célèbres tribus du Fahs algérois qui vivaient en permanence dans le Fahs de Draria et ses environs, à savoir les Draâriah, les Béni R’biaâ et les Seghier. La principale fraction des Draâriah était jadis installée dans l’actuel village auquel elle légua son appellation, le deuxième groupe, celui des Béni R’biaâ, vivait dans l’antique quartier El Qadous, la troisième et la dernière plus connue sous le nom des Ouled Essghir avait, à l’époque, son campement établi près des berges de deux cours d’eau renommés, appelés successivement Oued Erromane et Oued Ettarfa.
Malgré que son existence remonte bien à des années avant la réalisation des premières unités de voisinage à la nouvelle ville Ali Mendjeli, la cité des Quatre chemins a évolué dans un cadre de regroupement complètement marginalisé.
Pour améliorer la qualité de ses prestations, la direction de distribution de la Sonelgaz à Ali Mendjeli, dans la daira d’El Khroub, wilaya de Constantine, a entrepris 1743 interventions durant le premier trimestre de l’année en cours, avec une bonne partie pour le service électricité qui a recensé 880 interventions, suivi par celui du gaz avec 659 interventions, alors que la direction s’est chargée de 204 préoccupations en matière de prestations commerciales sur le territoire couvert par cette direction.
Hussein Dey (*), une commune située à 5 km de la capitale, établie au centre de la baie d’Alger. Sa fondation remonte au 23 mai 1835, alors simple quartier de la ville d’El Qûbba. Elle décroche son autonomie administrative au moment même où elle fut distraite de la commune mère le 20 mai 1870, suite aux requêtes de ses administrés qui avaient sollicité l’érection de leur petite bourgade en municipalité distincte. La petite agglomération primitive, qui se développa à cet endroit, était constituée de quelques maisons coloniales, des fabriques et des fermes environnées de jardins potagers.
Le petit Anouar Berkaoui, âgé de 5 ans, souffre depuis des mois d’une myéloméningocèle (hernie de tissu nerveux malformé) grave et multiopérée.
La cadence des travaux se poursuit à un rythme soutenu à la trémie d’El Khroub, dans la wilaya de Constantine. L’excavation du tunnel est menée comme prévu, alors que les autres parties de l’ouvrage connaissent un taux d’avancement appréciable, selon les témoignages des automobilistes de passage par les lieux, mais aussi les habitants de la ville d’El Khroub qui n’ont pas manqué d’exprimer leur satisfaction sur les réseaux sociaux.
Berceau d’une importante localité nichée dans le Fahs algérois, Baba Hassen est un ancien domaine de l’époque ottomane, devenu aujourd’hui une grande banlieue de l’Algérois. A une époque donnée, on pouvait toujours voir dans le territoire du Fahs algérois quelques rares édifices à moitié en ruine, des maisons dégradées et surtout des fermes qui avaient jadis appartenu à de riches maures, des janissaires, de hauts dignitaires, ou encore au beylik. Le souvenir des anciens propriétaires de ces vieux domaines revient aujourd’hui dans les noms de certaines de nos villes de banlieue à l’instar d’Hussein Dey, Dély Ibrahim, Baba Ali, Bou Ismaïl, Bir Mourad Raïs et Baba Hassen. Cette dernière localité tient son nom d’un dey qui a régné à Alger entre 1791 à 1798. Ce fut un souverain qu’on connaissait aussi sous d’autres appellations telles que Sidi Hassen, ou encore Pacha Hassen. Son prédécesseur, Baba Mohamed, mourut le 12 juillet 1791 à l’âge de 81 ans. Il le remplace aussitôt sur le trône. Il était son fils adoptif et occupait la fonction de khaznadji, ce qui équivaudrait de nos jours à un poste de ministre des Finances.
Les stratagèmes adoptés par certaines personnes qui tentent de bénéficier de logements sociaux, en passant pas la case des constructions illicites sont toujours en vogue. Deux cas ont été débusqués à la cité Bidi Louiza, dans la commune de Constantine, où des personnes ont réussi à déjouer la vigilance des services de la commune en parvenant à ériger deux maisons précaires, qui semblent remonter à plusieurs semaines au moins, avant d’être la cible d’une démolition menée, lundi 24 avril, suite à des instructions du wali de Constantine et sous la supervision du chef de daira et du délégué du secteur urbain de Belle Vue et en présence des forces de l’ordre.
Hydra dépendait primitivement du territoire de Bir El Khadem lequel était au temps des Turcs, l’un des sept cantons les plus peuplés du fahs algérois. Plus tard, à l’issue de l’organisation administrative du 22 avril 1835, les collines verdoyantes d’Hydra furent rattachées à la commune de Bir Mourad Raïs qui conservait, jusqu’ici, son aspect campagnard. Avant l’occupation française, son espace géographique se résumait à la campagne vallonnée et boisée qui bordait la rive droite de l’oued El Kniss et qui s’étalait au départ de l’aqueduc turc, jusqu’au marabout et cimetière de Sidi Yahia, au sud. Elle n’aura sa toute première mairie qu’en 1984, constituée alors de quelques anciens et nouveaux quartiers tels que le Val d’Hydra, Le Paradou, Saïd Hamdine, La Colonne Voirol, Djenane El Malik et Sidi Yahia en souvenir d’un illustre saint personnage. Son véritable nom est «Haïdra» (*), tel qu’il était autrefois prononcé par les banlieusards. L’expression tire vraisemblablement son origine du qualificatif hadri, qui se traduit en langue française par «citadin». Difficilement prononçable par les Européens, le mot Haïdra avait été au fil du temps altéré en Hydra. Les anciens habitants du fahs ou la proche campagne d’Alger étaient surnommés «Ness zarb el m’dina» ou «Ness El H’dar», littéralement «les citadins».