Le chef-lieu de wilaya, Tiaret, qui compte près de 400 000 habitants, dispose, officiellement, de 180 cafés ou autres établissements du genre. Des commerces qui obéissent à une règlementation stricte car impliquant la santé, la sécurité et la salubrité publiques nonobstant les impacts sur le voisinage et sur l’environnement.
Le centre d’enfouissement technique de Hamadia (ex Victor Hugo), situé à 70km au nord-est de Tiaret, vient d’être officiellement fermé par Ali Bouguerra, wali de Tiaret et ce en marge de sa visite à cette région.
Plutôt une sortie du tunnel qui se profile à l’horizon et dont tout un chacun ne peut que s’enorgueillir de voir cette lourde pathologie s’étoffer en générateurs et aussi en stations de traitements des eaux.
Un flop magistral a eu lieu mercredi en marge de la visite officielle du wali au niveau du centre équestre Emir Abdelkader communément appelé par les Tiarétis «petite jumenterie».
Une des préoccupations majeures qui indisposent les citoyens de la ville de Tiaret reste sans conteste, après la dégradation de la chaussée et ses nids-de-poule, l’éclairage public.
Le nouveau chef d’exécutif a décidé de lancer une grande opération de réhabilitation de cette cité, qu’on continue de qualifier de capitale des Hauts-Plateaux de l’Ouest et de perle du Sersou.
Un comité de la ville vient d’être institué par les pouvoirs-publics pour coordonner et mettre en pratique tous les programmes de réhabilitation et d’aménagements au niveau du chef-lieu de la wilaya de Tiaret.
Au niveau du douar Ain Sarb, relevant de la commune de Tagdempt, le chef de l’exécutif a procédé, symboliquement, en marge des festivités liées à la Journée du savoir, à la pose de la première pierre pour la réalisation d’un collège de 14 classes, un demi-pensionnat et un bloc administratif.
C’est un grand ouf de soulagement pour les autorités que d’avoir accompli, sans heurt, l’opération de relogement de 101 familles, mercredi dernier, depuis trois sites vers la nouvelle ville, sur l’ensemble urbain dit Zmala.
Un colloque national sur la santé équine, développement des races et perspectives économiques a été une autre problématique proposée à débats, trois jours durant, à l’intention d’étudiants de différents instituts nationaux, aux experts et aux personnes intéressées par le monde du cheval.
En créant l’EPIC Tiaret-Nadhafa par arrêté du 26 mars 2018, la wilaya a assigné comme missions prioritaires, l’hygiène, le verdissement et l’éclairage public. Que d’encre a coulé depuis et beaucoup espéraient voir dans cette entité un meilleur cadre de vie.
M. A. S, directeur de la CCLS-Tiaret, a été suspendu, hier, à titre conservatoire, en attendant les conclusions du travail de la commission mixte instituée à cet effet par la direction générale de l’OAIC (Office algérien interprofessionnel des céréales).
Soucieuse d’assurer à sa clientèle une qualité et surtout une continuité dans la distribution du gaz naturel au niveau du chef-lieu de wilaya, SDC-Sonelgaz Tiaret a presque achevé son projet de remplacement du réseau corrodé (anciennement du cuivre) par la pose de canalisations type polyéthylène et ce sur 11,5 km.
Un homme âgé de 61 ans, porté disparu depuis vendredi soir après la grande bourrasque qui s’est abattue sur la région, a finalement été repêché mort, enseveli sous les débris de sable et de pierre au fin fond de l’oued Touil, à Ksar Chellala.
«Le tissu associatif local n’est pas assez outillé ni formé, encore moins doté d’informations à même de lui permettre de monter des projets salvateurs et infléchir la donne en matière de dégradation de notre écosystème», dira docteur Mekki Abdelhak, directeur exécutif de la FOREM en marge des cinq journées de formation devant permettre de renforcer les capacités des associations locales œuvrant dans le cadre de l’environnemental.
Dans une lettre à destination des responsables locaux, l’association «El Yousr» des insuffisants rénaux de la ville de Sougueur alerte sur «la difficile situation des malades qui poursuivent leurs séances de dialyse au niveau de l’hôpital Mimouni Tahar de Sougueur».
Première séance inaugurale houleuse dans la salle des délibérations de l’assemblée populaire de wilaya mercredi à l’aube de ce que devrait être l’approbation du règlement intérieur, de la désignation des vice-présidents et des huit commissions.
Le sacre d’Imène Khelif, une fille du village de Biban Mesbah, à quelque six bornes de Tiaret, n’a pu se concrétiser que parce que cette dernière s’était échinée, seule, pour se distinguer après avoir intégré la section sportive de la Protection civile.