Les rapporteurs d’Equality Now, tout en saluant les quelques efforts entrepris pour remédier à toutes ces lacunes et ambiguïtés caractérisant leurs arsenaux juridiques, estiment que beaucoup reste à faire pour l’alignement des lois africaines sur le viol et autres agressions sexuelles sur les normes universellement établies.
Plus de 400 femmes accusent le défunt homme d’affaires égyptien, ex-propriétaire du magasin de luxe londonien Harrods, de violences sexuelles. Deux d’entre elles ont accepté de raconter leur calvaire.
Le rapport de la représentante spéciale du secrétaire général sur la violence sexuelle dans les conflits, Mme Pramila Patten, a suscité un débat assez houleux au sein du Conseil de sécurité, devant lequel il a été présenté.
Les violences sexuelles et les traitements cruels, inhumains et dégradants infligés aux femmes palestiniennes dans les territoires occupées par l’armée israélienne depuis le début de l’offensive sioniste contre Ghaza requièrent «des enquêtes approfondies» en toute diligence.
Saber, Mohamed, Sara, Brahim, Chaïma, Seïf El Islam, Nour et Houyam sont quelques noms d’une longue liste d’enfants agressés sexuellement durant des mois, pour certains, pendant des jours, pour d’autres. Ils ont l’âge de l’adolescence, préadolescence ou encore d’écoliers et même de bébés, entre 2 et 3 ans. Un phénomène qui prend de plus en plus de l’ampleur. A l’Unité médico-légale (UML) du CHU Mustapha Pacha d’Alger, les enfants représentent 77% des victimes de violences sexuelles prises en charge.