Rachida Dati fait, surtout, partie de ce contingent politique qui a toujours œuvré à arrimer le président Emmanuel Macron au Makhzen. Sa visite résonne comme un acte qui vise à empêcher toute possibilité de retour en arrière dans la situation de crise que connaissent les relations bilatérales.
Des unités de l’Armée populaire de libération sahraouie (APLS) ont ciblé un poste de commandement des soldats de l’occupant marocain dans le secteur d’Amgala, leur infligeant «de lourdes pertes humaines et matérielles», a indiqué un communiqué militaire de la direction centrale du commissariat politique de l’APLS.
Les médias espagnols ont fait état, ces derniers jours, d’une série d’expulsions du Sahara occidental, un territoire que l’ONG Reporters sans frontières (RSF) considère comme «un trou noir de l’information» en raison du strict contrôle policier et militaire imposé par l’Etat occupant, le Maroc.
Des membres du groupe parlementaire du Sahara occidental de Suisse ont appelé leur pays, en tant qu'Etat dépositaire des Conventions de Genève, à suspendre sa coopération économique avec l'occupant marocain qui exploite illégalement les richesses du peuple sahraoui, en attente de l'autodétermination depuis plus de cinquante ans, a rapporté lundi l’APS.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé que le soutien apporté par la France au pseudo «plan d’autonomie» marocain pour le Sahara occidental, l’un des nombreux contentieux entre l’Algérie et la France, était «une grave erreur», rappelant au président français les obligations de son pays, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, supposé garant de la légalité internationale.
La Coordination d’Etat des associations solidaires avec le Sahara occidental (CEAS-Sahara) a réitéré son soutien indéfectible au peuple sahraoui, après l’expulsion de deux militants et d’un journaliste espagnols de la ville occupée de Dakhla par le Maroc.
Une conférence intitulée «La décolonisation inachevée du Sahara occidental» se tiendra en Espagne à la mi-octobre, selon le quotidien espagnol El Independiente.
La militante climatique suédoise Greta Thunberg est arrivée samedi dernier dans les camps de réfugiés sahraouis de Tindouf. Sa visite s'inscrit dans le cadre d'une réunion de solidarité avec le peuple sahraoui, prévue du samedi au mardi. Elle a rejoint l’Algérie en restant fidèle à son engagement pour un mode de vie à faible empreinte carbone.
Le président de l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH), Aziz Ghali, a réitéré la position claire et constante de son organisation en faveur du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, conformément aux résolutions des Nations unies.
Un rassemblement en soutien au droit international au Sahara occidental devait se tenir hier, place de la République à Paris, à l’initiative de plusieurs associations de défense des droits humains et de solidarité avec le peuple sahraoui.
Le Réseau italien de soutien à la cause sahraouie, regroupant près de 240 associations, a lancé une série d’initiatives cette semaine pour alerter l’opinion publique italienne et internationale sur les tentatives du Maroc de consolider son contrôle sur les territoires occupés du Sahara occidental.
La 48e Conférence de la Coordination européenne des comités de solidarité avec le peuple sahraoui (Eucoco) a dénoncé la violation du droit international par la France, l’Espagne et les Etats-Unis d’Amérique, en soutenant les plans illégaux du Maroc au Sahara occidental, appelant les Nations unies à étendre le mandat de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso) aux droits de l’homme.
Le Collectif des défenseurs sahraouis des droits humains au Sahara occidental (CODESA) a dénoncé l'intensification de la politique répressive menée par l’occupant marocain à l’encontre des activistes sahraouis, en particulier après l'agression violente du journaliste Mohamed Mayara le 19 novembre.
Dans son commentaire sur le projet d’articles sur la responsabilité des Etats, la CDI a souligné que «[l]’existence d’une obligation de non-reconnaissance face à des violations graves d’obligations découlant de normes impératives est étayée par la pratique internationale et la jurisprudence de la Cour internationale de justice».
De son côté, la Commission du droit international a, à maintes reprises, souligné dans ses travaux le caractère impératif du droit à l’autodétermination.() Concernant la jurisprudence de la CIJ, l’impérativité du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes a été citée par plusieurs juges dans leurs opinions individuelles et dissidentes.()
Au moment où la Cour internationale de justice (CIJ) vient de réaffirmer, dans son avis consultatif historique sur la Palestine, le caractère impératif «du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes» et l’opposabilité erga omnes de l’obligation de non-reconnaissance d’une situation née de violations graves de normes impératives du droit international, le président français a décidé de reconnaître le fait colonial imposé par le Maroc au Sahara occidental, en déclarant, dans une lettre adressée au roi Mohammed VI, à l’occasion du 25e anniversaire de son accession au trône, que «le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine» et que le plan d’autonomie proposé par le Maroc en 2007 constitue désormais «la seule base» pour aboutir à une solution politique du conflit du Sahara occidental.
La Sous-secrétaire d’Etat américaine pour la Sécurité civile, la Démocratie et les Droits de l’homme, Uzra Zeya, a achevé, hier, sa visite en Algérie entamée dimanche dernier.
Sahara occidental, dernière colonie en Afrique», tel est le thème de la conférence tenue mercredi à «l’Espace Afrique» dans le cadre du programme culturel de la 27e édition du Salon international du livre à Alger (SILA).
Le régime du makhzen marocain a une nouvelle fois torturé à mort un militant sahraoui dans une prison à Laayoune occupée, dans les territoires du Sahara occidental occupés par le Maroc, des médias citant des sources proches de sa famille qui ont réclamé une enquête sur ce crime et appelé à traduire en justice ses auteurs, rapporte l’APS.
À Smara, dans les camps de réfugiés sahraouis, s’est ouvert le deuxième séminaire international de solidarité et d'échange culturel pour la paix au Sahara occidental, centré sur les luttes de libération des peuples opprimés.