Celle qui était la porte-parole de la campagne du milliardaire a été choisie vendredi par le président élu pour devenir le nouveau visage de l’exécutif américain.
Mercredi, le président sortant démocrate doit recevoir son prédécesseur et successeur républicain dans le Bureau ovale, que ce dernier occupera pour de bon après sa prestation de serment le 20 janvier.
La Maison-Blanche a annoncé un plan ambitieux visant à soutenir le géant américain des semi-conducteurs, Intel, dans l'expansion de sa production de composants essentiels. Ce plan, d'un montant total de près de 20 milliards de dollars, représente l'un des investissements les plus importants du gouvernement Biden dans le secteur des semi-conducteurs jusqu'à présent.
Comme au bon vieux temps de la guerre civile.» La boutade de certains chroniqueurs de l'actualité de ces dernières semaines aux Etats-Unis grossit certainement le trait, mais les événements récents dans l'Etat emblématique du Texas donnent à voir un des effets saillants de la polarisation politique entre démocrates et républicains.
Lundi, les autorités américaines ont arrêté une personne près de la Maison-Blanche après que le suspect a percuté la clôture de l'édifice avec son véhicule, a annoncé le « Secret Service », chargé de la protection des hautes personnalités de l'État.
Vendredi, la Maison-Blanche a accusé Elon Musk de propager une "promotion abjecte de la haine antisémite et raciste" à travers l'une de ses publications sur son réseau social X, anciennement connu sous le nom de Twitter. La réaction du milliardaire mercredi, en réponse à un post suggérant que les personnes juives nourrissaient une "haine contre les Blancs", a suscité la controverse. Musk avait simplement déclaré : "Tu as dit l'exacte vérité."
La Maison-Blanche ne jongle pas qu’avec des problèmes politiques, mais aussi canins, alors que l’un des bergers allemands du couple Biden est montré du doigt pour avoir mordu à plusieurs occasions, au point de devoir être dressé à nouveau.
Assurant que le lien de Joe Biden et Barack Obama allait au-delà de l’opportunisme politique qui guide tant de relations dans la capitale américaine, la Maison Blanche a affirmé que les deux complices se téléphonaient «régulièrement».