Le Premier ministre espagnol, le socialiste Pedro Sánchez, a accusé hier le président argentin ultralibéral, Javier Milei, d’avoir monté une pyramide de Ponzi en référence au «cryptoscandale» libra, une fraude présumée aux cryptomonnaies qui l’a éclaboussé après un bref post sur X.
Les représentants du PNR ont multiplié les rencontres avec des leaders politiques mozambicains, des responsables de parti ainsi que des conseillers du président de la République du Mozambique.
Des «millions de vies» sont en danger après «les coupes brutales» dans les financements, a averti jeudi l’Agence de l’ONU pour les réfugiés (HCR), ce qui va la forcer à supprimer des emplois.
Le dirigeant du PAM pour la Birmanie, Michael Dunford, a expliqué la semaine dernière à l’AFP que son organisation était contrainte de réduire la voilure faute de dons suffisants, notamment de la part des Etats-Unis.
Le Kremlin a accusé hier l’Ukraine d’aller «à l’encontre» des «efforts» russo-américains de règlement du conflit, lui reprochant de ne pas s’être pliée immédiatement à la suspension des frappes contre les sites énergétiques, conclue la veille par Donald Trump et Vladimir Poutine.
L’Association des familles des prisonniers et des disparus sahraouis (Afapredesa) a condamné «fermement» l’expulsion d’une délégation de juristes espagnols du Sahara occidental, samedi, par les autorités d’occupation marocaines, critiquant «la passivité de la communauté internationale» qui a «abandonné» le peuple sahraoui.
L’IA générative permet aux groupes criminels d'atteindre leurs cibles à l'échelle mondiale et dans plusieurs langues et même de générer des images d'abus sexuels sur mineurs, est-il écrit dans le rapport.
Au moins 65 réfugiés rohingya de Birmanie ont été tués l'an dernier lors de heurts entre groupes rivaux pour le contrôle des camps qui les accueillent au Bangladesh voisin, a annoncé mardi une ONG de défense des droits humains.
Le Collectif des défenseurs sahraouis des droits humains au Sahara occidental (CODESA) a condamné l’expulsion des juristes espagnols, appelant la communauté internationale à «exercer des pressions» sur le Maroc pour «lever le blocus militaire et médiatique imposé à la partie occupée du Sahara occidental» et à «mener à bien le processus de décolonisation du Sahara occidental».
La presse espagnole a pointé dimanche la passivité des autorités marocaines face à l’intensification des opérations d’entrées illégales de migrants dans l’enclave espagnole de Ceuta. Concernant ces nouvelles vagues de migrants illégaux venus du Maroc, «un des aspects les plus marquants (...) est la passivité des autorités marocaines», relève le journal électronique espagnol La Gaceta.
Les pompiers et les ambulances sont arrivés à temps, mais ce n’était pas suffisant», a déclaré une jeune femme, qui a assisté au concert, interrogée par des médias locaux devant un hôpital de Skopje.
Au moins cinq paramilitaires ont été tués et une trentaine blessés hier dans une nouvelle attaque de séparatistes baloutches contre les forces de sécurité pakistanaises, quelques jours après une spectaculaire prise d’otages qui avait fait une soixantaine de morts, a annoncé un responsable policier à l’AFP.
L’ex-président brésilien Jair Bolsonaro rêve d’un come-back à la Donald Trump, de retour à la Maison Blanche, malgré ses déboires judiciaires, et espère que le président américain, qu’il admire, usera de son «influence» en sa faveur.
Des atrocités auraient été commises par des soldats du 18e bataillon d’intervention rapide (BiR)et des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), des milices civiles.
Le gouvernement éthiopien «suit attentivement» la situation au Tigré, région septentrionale où des tensions entre deux factions du parti au pouvoir menacent d’engendrer une nouvelle guerre, a affirmé le ministre des Affaires étrangères Gedion Timothewos.
Au cœur de cette mobilisation quotidienne, une série de cas d’agressions et de harcèlement qui traduit un regain des pressions et intimidations sur les campus.
Pour la première fois depuis la chute de Bachar Al Assad, des rassemblements ont marqué, hier à travers la Syrie, le 14e anniversaire du soulèvement de 2011, dont la répression avait déclenché la guerre civile. A Damas, des dizaines de personnes se sont rassemblées, sous un important dispositif policier, sur la place des Omeyyades, où durant les années de répression seuls se rassemblaient les partisans de l’ex-Président.
«Depuis au moins sept ans, les Nations unies font face à une crise de liquidité parce que tous les Etats membres ne paient pas la totalité de leur contribution, et beaucoup d’entre eux ne paient pas à temps», a noté le secrétaire général de l’ONU.
La Russie a annoncé hier qu’elle attendait d’être officiellement informée par Washington de sa proposition de cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine, acceptée par Kiev après plus de trois ans de guerre, au lendemain d’une rencontre diplomatique américano-ukrainienne à Djeddah en Arabie Saoudite.
La commission d'enquête mandatée par la présidence syrienne pour enquêter sur les violences dans l'ouest du pays a affirmé hier sa détermination à garantir la justice et à prévenir les représailles extrajudiciaires, après la mort de plus de 1000 civils dans un bastion de l'ex-président Bachar Al Assad.