Après quinze mois d’une guerre génocidaire dévastatrice ordonnée par Benyamin Netanyahu et les suprémacistes racistes de son gouvernement, le cessez-le-feu entré en vigueur le 19 janvier dernier a été accueilli dans la joie et la liesse par la population de Ghaza.
Donald Trump a déclaré s’être entretenu avec le roi Abdallah II de Jordanie et avec le président égyptien Abdel Fattah Al Sissi au sujet de l’avenir de Ghaza, les exhortant à accueillir une partie de la population de l’enclave martyrisée. «Je préférerais m’impliquer avec certaines nations arabes et construire des logements dans un endroit différent, où ils pourraient peut-être vivre en paix pour une fois», a assuré le président américain.
L’armée d’occupation, faisant fi de la résolution du Conseil de sécurité exigeant un cessez-le-feu, poursuit ses carnages. Au cours des dernières 24 heures, l’armée israélienne a perpétré sept massacres dans la bande de Ghaza, entraînant la mort de 71 personnes et blessant 102 autres, selon le ministère de la Santé à Ghaza.