Une exposition qui se tient depuis jeudi au musée Hippone d’Annaba, consacrée au patrimoine algérien et ses prolongements africains, connaît une affluence remarquable de jeunes et de familles.
Ouverte le 18 avril à l’occasion de la célébration du début du mois du patrimoine, l’exposition a été une occasion pour le public, notamment les écoliers qui commençaient à affluer dès lundi, de découvrir des pans entiers de la culture ancestrale algérienne et africaine. «L’exposition qui comprend des objets du fonds du musée a été pensée en adéquation avec la thématique choisie cette année, à savoir ‘Le Patrimoine culturel algérien et ses extensions africaines’», explique Hicham Sekkal, directeur de l’institution.
L’artiste peintre et plasticien Hamsi Boubekeur dévoilera sa dernière collection intitulée «Kabylie de mon enfance», le 28 avril à partir de 18h30 au centre culturel algérien de Paris.
«On veut que vous vous sentiez dans l’univers d’Harry Potter et vous raconter comment il a été créé»: une exposition immersive consacrée au sorcier le plus célèbre des 25 dernières années débarque à Paris vendredi et ce jusqu’au 1er octobre.
L’exposition du patrimoine culturel immatériel africain a été inaugurée, mardi au palais de la culture Moufdi Zakaria à Alger, à l’occasion du lancement officiel des festivités du Mois du patrimoine (18 avril -18 mai).
L’éditeur et photographe Samir Djama expose une imposante collection de photos sur toiles, et ce, jusqu’au 8 octobre prochain à la galerie Baya du palais de la culture Moufdi Zakaria à Alger. Si par le passé l’artiste photographe Samir Djama a participé à quelques expositions dans un cadre intime, aujourd’hui, il signe sa première exposition de photos sur toiles individuelle. Intitulée «Ombres et lumières, La passion du patrimoine», l’exposition en question grandeur nature se décline sous la forme d’une série de photos à thèmes suavement sélectionnés. Quatre vingt photos en couleurs et en noir et blanc attirent le regard de tout visiteur. Les sujets sont à la fois captivants et parlants. Le cadrage est des plus étudiés.
Ils sont à peine âgés d’une vingtaine d’années et ils sont déjà talentueux. Ils sont tous les trois, des potes et de surcroît des étudiants au niveau de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts d’Alger. Intitulée «Aie ! Ça pique», c’est de l’art, l’exposition en question est axée sur la thématique des pointes, des épines et des oursins. Un thème qui a été consciencieusement appliqué à la lettre par ces jeunes artistes, et ce, avec un style picturale bien personnalisé.
Une très belle exposition se tient en ce moment aux Ateliers Sauvages : « Alger, Autoportrait(s) ». Une véritable expo-événement qui réunit six œuvres de l’artiste Amina Menia ,dont une réplique de sa dernière pièce, «Material For a Landscape» (Variation pour un paysage) qui est exposée actuellement au Mucem, dans le cadre de l’exposition «Abd El Kader». Immersion sensible dans l’univers visuel d’une artiste au langage singulier, et dont les créations ont sillonné le monde, de New York à Lahore.
Après s’être essayé à des tableaux classés dans le mouvement du réalisme, du surréalisme, du cubisme et même de l’expressionnisme, cet artiste affirme avoir trouvé sa voie en s’investissant corps et âme dans l’abstrait pur et intégral.
L’Agence nationale d’appui au développement de l’entrepreneuriat (ANADE) organise à partir de lundi une exposition de textile au niveau du Jardin de la commune de Baraki (Alger) à l’occasion de l’Aid El Fitr, indique, dimanche, un communiqué de l’Agence.
Le plasticien algérien Hamza Bounoua participera du 24 au 30 avril aux journées «Al Riwaq Art Days», en Jordanie.
Jusqu’au 26 mars, le centre culturel Mustapha Kateb à Alger ouvre son espace aux œuvres de l’artiste plasticien Nacer Eddine Douadi.
Une exposition temporaire de bijoux, regroupant une collection de parures représentatives de différentes régions d’Algérie, a été inaugurée en présence de la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji.
Multiples sont les résonances du titre de l’exposition : il évoque pour mieux la détourner l’expression populaire au Maghreb pour conjurer le mauvais sort : «Ma main sur ton œil». «Son œil dans ma main» suggère au contraire la rencontre voire le bonheur de cette rencontre entre un photographe -Raymond Depardon - et un écrivain - Kamel Daoud - : tous deux évoquent l’histoire de l’Algérie, le premier par une série de photographies, le second par des textes qui résonnent avec les photographies.