Des robinets secs dans une zone désertique qui cultivait un écosystème oasien ou chacun trouvait son compte avec une économie d’eau érigée en règle du groupe, la sonnette d’alarme a été lancée par le mouvement associatif local depuis quelques années, avec une prise de conscience remarquable des enjeux de la rareté de l’eau et de l’indispensable mise en place d’un système d’économie.
La 3e édition de la formation des ambassadeurs de l’environnement au profit de 20 jeunes acteurs associatifs à la responsabilité citoyenne en matière de l’environnement s’est clôturée le 31 décembre 2021.
Les avis des spécialistes divergent sur l’impact négatif du dessalement de l’eau de mer. On manque encore de recul et d’étude, mais les premières recherches révèlent d’ores et déjà des conséquences sur le sol et le milieu marin.
«A quelque chose malheur est bon», dit-on. C’est le cas du tri sélectif qui a trouvé dans l’informel la raison d’exister, faute d’une véritable mise en place d’une récupération intelligente des déchets.
La force d’attraction touristique de certains sites naturels peut devenir une menace pour les écosystèmes. Et bien souvent, le tourisme de masse a des répercussions négatives sur la population locale et l’environnement. A titre d’exemple : Taghit fait face chaque année à l’incivisme de certains touristes, venus passer le réveillon. Des sites naturels et préhistoriques sont alors défigurés.
La qualité de l’air à Pékin s’est nettement améliorée ces dernières années, selon des chiffres officiels, même si le niveau de pollution reste supérieur aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).