Dans ses lettres, l’organisation a insisté sur la nécessité d’«ouvrir une enquête internationale indépendante sur les crimes systématiques subis par le secteur de la santé à Ghaza».
La situation chaotique au Proche-Orient et sur les territoires occupés prend une nouvelle tournure et une énième escalade.
Tandis qu’on assistait, ce vendredi 12 janvier, à La Haye, à la poursuite des audiences qui se tiennent devant les 17 juges de la Cour internationale de justice, suite à la plainte déposée par l’Afrique du Sud devant la CIJ contre Israël pour génocide, l’armée sioniste persiste cyniquement dans son entreprise exterminatrice en narguant la communauté internationale.
Hier, de la fumée s’élevait après un bombardement au-dessus de la grande ville de Khan Younès, dans le sud de Ghaza, où Israël a annoncé concentrer désormais l’essentiel de son offensive contre le Hamas et qui abrite de nombreux déplacés ayant fui le Nord
L’enquête de la Cour pénale internationale (CPI) sur les crimes commis par l’entité sioniste à Ghaza «avance sur de bonnes bases», a indiqué, hier, l’avocat français Gilles Devers. Dans une déclaration à l’APS, Me Devers a expliqué que l’équipe chargée par le procureur de la CPI poursuit «activement» son travail et s’est déjà réunie à deux reprises avec les représentants du collectif d’avocats ayant déposé la plainte contre l’entité sioniste le 9 novembre dernier.