«Le sang. Reprend racine. Oui, nous avions tout oublié. Mais notre terre. En enfance tombée. Sa vieille ardeur se rallume. Et même fusillés, les hommes s’arrachent la terre. Et même fusillés, ils tirent la terre à eux comme une couverture. Et bientôt les vivants n’auront plus où dormir.»
L’association des Amis de Miliana arts et culture organise une rencontre avec l’écrivaine Aïcha Kassoul suivie d’une vente-dédicace de son nouveau roman Belvédère, aujourd’hui à partir de 14h au théâtre communal Mahfoud Touahri, à Miliana.
Écrivaine et femme de théâtre sous le nom de Hajar Bali, elle est aussi comédienne et joue dans le dernier film de Karim Moussaoui, par ailleurs de son vrai métier professeure de mathématiques à Alger.
Le Salon du livre de Francfort, qui démarre cette semaine, s'est retrouvé lundi au cœur d'une controverse à la suite du report d'une remise de prix prévue pour une autrice palestinienne en raison de la guerre entre Israël et le Hamas.
l Après la publication d’un recueil de nouvelles La demoiselle du métro en 2018, la journaliste et auteure Meriem Guemache récidive dans ce genre en gratifiant ses lecteurs de L’Absente, publié aux éditions Casbah.
Le cinquième roman de Kaouther Adimi, Au vent mauvais, publié aux éditions du Seuil, revient avec force et détail sur l’histoire de trois Algériens. Leïla, Tarek et Saïd grandissent dans un village de l’est de l’Algérie, au début des années 1920.
C’est l’œuvre de l’écrivaine Aldjia Mezouari, originaire de la commune d’Aghbalou, au nord-est de la wilaya de Bouira. Aldjia est aussi doctorante et enseignante de tamazight à l’université Akli Mohand Oulhadj de la même wilaya. «J’étais et je demeure fascinée par les romans policiers, notamment ceux de la célèbre Agatha Christie.