L’adoption d’un projet de résolution confirmant le droit du peuple palestinien à l’autodétermination fait référence à l’avis consultatif de la Cour internationale de justice (CIJ), qui a affirmé que l’occupation israélienne des terres palestiniennes «est illégale» et «doit prendre fin rapidement».
L’OIT a soutenu que «les travailleurs migrants sont indispensables pour remédier aux pénuries mondiales de main-d’œuvre».
Le Parti pour la laïcité et la démocratie (PLD) dénonce, à l’occasion la Journée internationale des droits des femmes, célébrée le 8 mars de chaque année, le maintien depuis quatre décennies du code de la famille.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a affirmé samedi, lors du Sommet du Mouvement des non-alignés en Ouganda, que «le droit du peuple palestinien à construire son propre Etat doit être reconnu par tous» et que tout «déni» est «inacceptable».
Ottawa a annoncé hier qu'il va contester une fois de plus les droits compensateurs et antidumping imposés par Washington sur le bois d'œuvre résineux du Canada, une nouvelle étape dans ce conflit bilatéral qui perdure depuis «des années».
Un nouveau rapport du Comité de l’ONU pour la protection des droits des travailleurs migrants (CMW) a épinglé le Maroc pour les traitements discriminatoires réservés aux migrants, tels que les arrestations, expulsions et destruction de biens privés et de nourriture.
Le 1er Mai est un des événements les plus déterminants dans l’histoire du monde du travail, vu que la fête du travail est largement célébrée à travers le monde par des marches pacifiques de grande envergure. Incontestablement, la fête du 1er Mai est donc historiquement un jour, symbolisant la lutte pour l’émancipation sociale, notamment une journée de célébration des combats des travailleuses et travailleurs.
Nous avons perdu Keltoum Rekhila, Fatima Rahmani, Tinhinan Laceb, Hafida Mansouri, Kenza Sadate, Rahima et sa fille de 10 ans, Linda Belharet, Dehbia Cherif, Meissem Bouazzizi, Maria Ben Madani, pour ne citer que les crimes les plus récents, sans oublier Amira Merabet, Chaïma, Amal et tant d’autres assassinées par des proches.
La résistance des femmes, leur mobilisation et leurs engagements citoyens et pour la cause nationale ont une mémoire qui plonge ses racines au plus loin de l’histoire algérienne. Cette mémoire est le patrimoine et la référence de générations de femmes du temps présent et futur.